Beau papa ou t’es?
9 octobre 2023Elle décide de mettre son beau père dans son lit pour le piéger mais finit par avoir une jouissance avec celui-çi.
La branlette espagnole de Seb
Je vis actuellement chez ma mère, en attendant d’avoir assez de fric pour me payer mon propre appart’. C’est hyper relou, surtout qu’elle a installé son mec chez nous il y a six mois. Il s’appelle Seb et il a 40 berges, soit dix de moins que ma daronne. Ça ne l’empêche pas de se prendre pour mon père et de me donner des ordres, et ma mère le soutient parce que soi-disant « j’ai manqué d’autorité dans ma vie ». Ils me gavaient tellement que j’ai décidé de leur faire les pieds. Je vous raconte mon histoire de sexe.
Je savais que Seb aimait plaire aux meufs. Je le voyais souvent en train d’envoyer des SMS à des poules, ou bien de reluquer les petits culs quand on allait aux courses. Je me doutais aussi que j’étais son style, vu que je ressemble grave à ma daronne mais avec des plus gros seins. On avait une bonne base pour le séduire… Pour ça, j’ai commencé par me balader dans la maison en nuisette sexy. Je n’arrêtais pas de croiser Seb « par hasard » dans la salle de bain ou le couloir. Chaque fois, j’ai bien vu son regard : excité par mon corps et la situation. Ensuite, je me suis mis à lui faire des compliments (sur ses fringues, sur son humour…). Du coup, il est devenu beaucoup plus sympa avec moi. Pour finir, j’ai laissé la porte de ma chambre de plus en plus souvent entrouverte et j’ai capté qu’il me reluquait dès qu’il passait devant. Un soir que ma mère était avec des copines, j’ai carrément laissé ouvert. Puis je me suis foutue en petite culotte sur mon lit.
Ça a marché au-delà de mes espérances : dès que Seb est passé devant la chambre, il a bloqué. Il est resté à me regarder pendant dix secondes et j’ai fait genre que je ne l’avais pas capté, jusqu’à ce qu’il me dise « Heu, Linda… Tu fais quoi ? » Je me suis tournée vers lui et j’ai rigolé : « Putain, sorry ! Je croyais que tu étais parti avec Maman. Tu veux que je me rhabille ? » Il est entré dans la chambre et a répondu : « Ça serait peut-être mieux, vis-à-vis de ta mère. Mais t’as l’air à l’aise, comme ça… » Je me suis levée et, plantée devant lui, j’ai fait : « Oui, y’a juste ma culotte qui me serre un peu. Je devrais l’enlever, tu crois pas ? » Le mec a capoté : ses yeux étaient braqués sur ma poitrine et son cerveau avait l’air déconnecté.
Je suis obsédée par l’idée de rebaiser avec mon beau père
J’ai commencé par ouvrir sa chemise puis son pantalon et il s’est retrouvé à poil, lui aussi. « Hum, tu fais quoi, là ? », il a demandé en me mettant la main aux nichons. J’ai baissé ma petite culotte en faisant : « Je sais pas, j’ai envie… Pas toi ? » Comme réponse, il m’a collé sa bite sur l’abricot et s’est mis à me caresser le clito du bout du gland. J’ai gémi, surprise par mon propre plaisir… Le mec était peut-être un bon coup ? Mais je n’étais pas là pour me faire du bien, je voulais juste prouver que ce mec était un connard. Alors je lui ai proposé de s’allonger sur mon lit et j’ai entrepris de lui lécher la queue. Le truc, c’est que ça m’a grave excitée… J’avais quand-même la bite de mon beau père en bouche ! En plus, il était très réceptif et lâchait des « T’es bonne, suce encore ! » en même temps qu’il me guidait avec ses mains. Toujours bloqué sur mes seins, il a alterné la pompe avec des moments de branlette espagnole hyper chauds.
A ce stade, j’avais très, très envie de mon beau-père… Alors je lui ai demandé de s’allonger et je me suis mise à califourchon pour me frotter sur sa queue. Plus je gémissais, plus elle gonflait. Seb n’en pouvait plus, lui non plus. Alors il m’a renversée sur le lit et a ouvert grand mes cuisses en grognant : « Il faut que je te la mette, putain ! » Je n’ai rien pu faire, à part prendre son gland épais dans la minette. C’était si bon que j’ai demandé qu’il l’enfonce plus, mais il a voulu jouer comme ça pendant un moment, à entrer et sortir son bout de bite. J’étais en mode fontaine de mouille… Tant mieux, car Seb a finalement décidé de me prendre en levrette, et vu la taille de son engin, j’avais intérêt à assurer.
Quand il a commencé à l’enfoncer, impossible de me retenir. Je me suis mise à crier : « Oui, prends-moi comme une chienne ! » Mais mon beau-père a pris tout son temps. Tout doucement, centimètre par centimètre, il a glissé son pieu dans ma chatte en me disant : « Là, tu aimes ça, hein ? Tu es encore plus serrée que ta mère… » Ses paroles m’ont rendue hystéro. Je me suis entendue crier : « Seb, défonce-moi, s’il-te-plait ! » Moi qui pensais lui faire une petite pipe puis tout balancer à ma daronne, j’étais en train de le supplier de me faire jouir… Ce qu’il a fait ! Quand il m’a attrapée par le cul et s’est mis à me pilonner dans les règles, j’ai enfoncé ma tête dans l’oreille et j’ai gueulé jusqu’à ce que l’orgasme arrive, tandis qu’il m’ordonnait : « Vas-y, crie bien fort !
Voilà, tu jouis, hein ? » J’ai mordu l’oreiller avant d’éclater.
Malgré son excitation, Seb n’est pas allé jusqu’au bout. Je suis obsédée par l’idée de rebaiser avec lui et j’attends la prochaine soirée entre filles de ma mère avec impatience !
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