Le vrai sexe

La rédaction 17 octobre 2024

François 51 ans est marié depuis 10 ans. Sa libido est en berne. Au travail il rencontre Miranda avec qui il redécouvre le plaisir du sexe.

Je m’appelle François, j’ai 51 ans et je vais vous raconter mon histoire de cul. Chacun est libre de faire ce qu’il veut, mais pour moi, j’ai toujours lié le « cul » et les sentiments. C’est comme ça ! Je sais que l’on me prête souvent un comportement de « meuf » parce que j’agis de cette façon, mais c’est la façon la plus naturelle pour moi de vivre ma sexualité. Il faut que j’admire la personne avec qui je vais baiser, il faut qu’elle me fasse vibrer : par son regard, par sa personnalité, par son intelligence. Il faut que je me sente en confiance totale, et que je sois focalisé uniquement sur elle.

Un rayon de soleil

Je suis resté marié une dizaine d’années avec une femme que je n’aimais pas, et croyez-moi, j’avais la libido au plus mal ! Je pensais même que j’avais des problèmes d’érection et j’avais consulté quelques spécialistes à ce sujet. Le résultat était toujours le même : ils me disaient simplement que je manquais d’appétit pour la chose. Les photos pornographiques, les filles dans la rue, les petites chattes, les paires de loches… tout me laissait complètement insensible ! Et puis un jour, la boîte pour laquelle je travaille a fait un nouveau recrutement : Miranda. Une très belle métisse, mi-antillaise, mi-française. Elle avait une peau de soie, des yeux de braise et un cerveau extrêmement développé.

Elle venait à peine de vivre ses premiers jours au sein de l’entreprise qu’elle connaissait déjà tout le monde par son prénom – nous étions une centaine – et sa fonction. En réunion, elle déchirait ! Elle n’était pas directement affectée à mon service, mais j’avais entendu des commentaires élogieux à son sujet, et très vite, j’ai été aimanté par elle, elle devenait petit à petit le soleil de mes journées. La première fois que je l’ai invitée à boire un verre en dehors du travail, je savais que je faisais une bêtise monumentale.

Le goût du sexe

Une bêtise qui mettrait fin à mon tranquille ménage. Mais il fallait que je le fasse, au nom de ma libido ! Le feeling est très bien passé, nous rions aux mêmes blagues, nous étions sur la même longueur d’onde, nos regards ne cessaient d’être plus expressifs que nos mots. Nous n’avons rien fait après ce premier verre, mais nous nous voyons de plus en plus régulièrement au sein de l’entreprise. Nous commencions à nous bécoter amoureusement dans les couloirs, à nous envoyer des mails d’amour passionnés, ainsi que quelques photos sexy directement prises aux toilettes. Enfin, c’est elle qui faisait beaucoup ça, moi, je complexais un peu par rapport à mon torse imberbe, blanc et un peu mou. J’ai finalement pris la décision (difficile) de rompre avec ma femme, cela faisait 6 mois que je la trompais avec ma métisse, cela ne pouvait plus durer. Miranda a tout de suite accepté de vivre avec moi, dans le petit studio que je louais le temps de trouver une solution financière avec mon ex-femme.

Et nous avons vécu des moments de baise absolument fantastiques !  Non seulement elle n’avait aucune limite (pas comme ma femme qui acceptait seulement la position du « missionnaire »), je pouvais la baiser dans tous les sens, mais aussi, elle avait une parole très libérée sur le sexe, et je sentais que je pouvais absolument tout lui confier. Je me suis donc ouvert et je lui ai révélé que j’adorais que l’on me masse la bite avec les pieds. Autant vous dire qu’elle s’est empressée de se mettre un beau vernis sur les ongles, de masser ses pieds avec une petite crème hydratante, et a commencé le branlage de bite. J’ai éjaculé sur ses délicats petits orteils. C’était un moment de grâce, un instant rare qui n’aurait pu être partagé avec personne d’autre qu’elle.

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