Franck, un ami qui vous veut du bien !

La rédaction 17 mai 2024

Lou, 22 ans, Toulouse, est séduit par Franck un ami bien plus vieux qu’elle. Louise met pas le paquet pour être autant satisfaisante que les anciennes partenaires de Franck.

Vous connaissez tous l’adage « en avril ne te découvre pas d’un fil » ! Mais quand les douceurs du printemps arrivent, sur les hauteurs de Toulouse, les piscines se découvrent. Comment je le sais ? Non pas que je sois déjà propriétaire du haut de mes 22 ans, mais parce que certains de mes amis le sont. Je suis étudiante en aéronautique et loge à l’année dans une résidence universitaire depuis deux ans. Un douze mètres carrés propre et impersonnel, aux cloisons fines, dans lequel je ne fais que dormir. Dès les premiers mois de ma vie étudiante, je me suis liée d’amitié à une bande de joyeux teufeurs, la petite quarantaine à peine entamée, qui m’ont tout de suite adoptée malgré la différence d’âge. Voici mon histoire de sexe.

Des avances et des regards langoureux

À l’époque, nous sortions dans des villas somptueuses, près de Montpellier ou Narbonne, nous écumions les discothèques locales, nous étions le groupe qui consommait le plus de champagne, le groupe toujours fourré dans le carré VIP. Il faut dire que ma petite frimousse et mon jeune âge les aidaient à passer plus simplement le « visio » et à avoir quelques réductions au bar, c’était donnant-donnant. Dans cette bande d’amis, il y avait Franck, 38 ans, un doctorant en informatique reconvertit dans la comptabilité, qui m’appréciait bien, je crois. Je n’avais jusque-là jamais succombé à ses avances, non pas qu’il ne me plaisait pas, mais je me méfiais de la différence d’âge. Franck avait une grande expérience de la sexualité, il enchaînait les conquêtes, se vantait de ses prouesses au lit, détaillait avec beaucoup d’admiration les corps de ses partenaires. Je pensais qu’avec moi, il serait déçu.

Un soir, pourtant, alors que nous avions trouvé un plan pour danser dans un maison superbe nichée au creux des montagnes, Franck a tenté une nouvelle approche, alors que je fumais dans le jardin : « Tu es vraiment très belle Lou, ta bouche, ton regard dur, ton déhanché. C’est fou de faire si femme alors que tu es encore à l’aube de ta vie. Tu es si mature pour ton âge. Et quelle intelligence, quelle vivacité d’esprit… » Il me mitraillait de compliments. Et puis enfin, il s’est lancé, de façon plus explicite qu’avant ; il m’a invité à terminer la soirée chez lui et j’ai accepté cette fois-ci. Il m’a pris la main devant tout le groupe d’amis alors que nous dansions sur le dancefloor du salon, et que nous savions que nous allions nous retrouver ensemble, tous les deux, chez lui, dans quelques heures. Personne n’a semblé remarquer nos regards langoureux. À ce moment-là, plus personne n’existait à par lui.

Une jeunette très coquine

Curieusement, le soir même, nous nous sommes juste endormis dans les bras l’un de l’autre, épuisés. Mais le lendemain matin a été plus torride. Je voulais lui montrer que j’étais une sacrée petite coquine, au moins du même niveau que les femmes qu’il invitait chez lui. Il s’est levé pour nous préparer un café. Sans faire de bruit, je me suis déshabillée et mise en brassière et petite culotte, avant de m’agenouiller sur le carrelage froid de son salon. J’ai essayé de la jouer femme fatale avec un regard que j’espérais profond et enflammé. Quand il est revenu, avec dans chaque main les tasses brûlantes de café chaud, il a failli tout faire tomber. Sa bouche entrouverte trahissait sa surprise. Il s’est débarrassé de son encombrant chargement, et s’est agenouillé, juste devant moi, pour m’embrasser tendrement sur la bouche. C’est la première fois que nous échangions un baiser. Et c’était si doux. J’ai alors musclé un peu le jeu. Ma langue s’est faite plus aventureuse, s’est égarée sur les commissures de ses lèvres, puis sur l’intérieur de ses joues. Sans le regarder, j’ai senti que sa main s’était baissée près de son sexe, et qu’il comprimait comme il pouvait son érection naissante. Je l’ai fait se redresser et j’ai baissé son short de pyjama. Son sexe, dur, long, bandant me faisait maintenant face. En avais-je déjà vu un si gros ? Je n’en étais pas sûre…

Franck a pris son smartphone afin d’immortaliser ce que j’allais lui faire subir. Il n’en revenait pas ! J’ai commencé à le sucer façon actrice porno. Ma langue lapait avec enthousiasme sa tige et ses couilles, et mes doigts, telles des griffes, agrippaient maintenant ses jambes contractées. Tel un prédateur sauvage, j’attaquais ma proie, cette jolie queue bien dure qui se laissait docilement avaler. Puis, il a renversé la dynamique et m’a prise, les jambes en l’air sur son canapé. Sa bite toute dure m’a pénétrée d’un coup sec, et j’ai adoré ça ! Je sentais qu’il avait l’habitude de manipuler les femmes de la sorte, de trouver facilement les bonnes positions, de s’immiscer dans des corps sans trop d’effort. Et j’ai compris que son expérience pouvait servir à mon plaisir : il était bien plus doué que la plupart des garçons de mon âge. On a vite changé de position, il voulait aussi « mater la cambrure de mon joli cul ». La levrette a été délicieuse. Il a terminé par une superbe explosion de sperme, sur mon visage. La suite de la journée fut délicieuse et je ne suis pas certaine que nous attendrons la prochaine soirée pour remettre ça.

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