Deux chiennes pour un homme mature

La rédaction 5 avril 2024

Julie, 23 ans, Paris, se lance dans un plan à 3 et se retrouve avec sa copine comme deux petites chiennes avec leur compagnon.

Avec Brigitte, nous nous sommes rencontrées à la fac, et nous avons découvert nos penchants bisexuels dans les soirées estudiantines. De petits baisers tendres lorsque nous étions pompettes, nous sommes passées à des rapports charnels complets, nous caressant le minou à travers le jean discrètement sur les bancs de l’amphi jusqu’à finir par déguster nos fruits respectifs. J’avoue que je n’étais pas super attirée par les mecs, pas plus que je n’étais amoureuse de Brigitte du reste, je me laissais porter par mes envies, et celles-ci étaient exclusivement d’ordre saphique. Voici mon histoire de sexe.

Plan à 3, le rêve devenu réalité

Un jour, mon amie m’a présenté Ulrich, un grand gaillard qui travaillait à l’ambassade d’Allemagne, la quarantaine, des yeux bleus, et malgré le fait qu’il affichait le double de notre âge, nous le trouvions beau comme un dieu. Brigitte a couché avec lui très rapidement et il n’a pas hésité à me mettre en scène dans des fantasmes oniriques pendant qu’ils faisaient l’amour. Mon alter ego m’en a parlé et j’ai passé des soirées entières à me masturber en m’imaginant les rejoindre dans leur lit. Rêve prémonitoire s’il en est, puisque nous avons baisé tous les trois ensemble pas plus tard qu’en septembre dernier.

Après un bon repas, Ulrich nous a invitées à boire un verre chez lui, lumière tamisée dans son appartement, musique sud-américaine, nous nous sommes roulé des pelles avec Brigitte sous l’œil mi-amusé, mi-excité d’un Ulrich qui n’a pas tardé à bander et à se caresser la queue à travers son pantalon. Nous l’avons intégré très vite à nos câlins, il nous pelotait les fesses et les seins très sensuellement, ses gestes étaient mesurés et doux, j’ai fini par l’embrasser alternativement avec Brigitte. Nous nous sommes dénudés dans le salon puis avons gagné sa chambre, tout était naturel, le corps de ce mâle d’outre-Rhin me donnait chaud partout, c’est vrai qu’il était beau et bien gaulé.

Deux bonnes petites chiennes

Gentleman, il nous a laissé le premier round en duo exclusivement féminin. Mon amie et moi nous sommes lovées dans les bras l’une de l’autre pour continuer à nous bécoter et à nous chauffer, puis très vite en venir à nous lécher nos petites chattes. Notre amant désormais commun nous photographiait tout en caressant sa longue tige bien rigide. J’ai senti de petits picotements entre mes jambes lorsque je l’ai vu se masturber tout en nous immortalisant. Brigitte a cambré les reins dans sa direction. C’était le geste qu’il attendait pour se rapprocher de nous. Il a sucé son pouce et l’a enfoui délicatement directement dans l’anus offert ! Je découvrais les appétits sodomites de ma copine, cela m’a encore fichu un coup au ventre, décidément, cette soirée me réservait de sacrées surprises !

Ulrich s’est alors approché de moi, son sceptre dressé se balançait à quelques centimètres de ma bouche, j’ai ouvert les lèvres et il s’est enfoncé lentement en moi. Sa bite était chaude et lisse, j’ai joué un moment avec son prépuce avant de le décalotter et de sucer son gland puis toute sa tige. Longue et plutôt fine, je n’ai pas pu lui offrir la même gorge profonde que lui a réservée Brigitte, mais il a gémi très fort lorsque nous lui avons bouffé les couilles toutes les deux ensemble, accroupies à ses pieds comme deux petites chiennes assoiffées de sexe. Ce que nous étions à cet instant précis, il faut bien le reconnaître. Il a possédé Brigitte en premier, cette dernière était allongée sur moi et elle pouvait profiter de la pénétration profonde de la longue queue tout en se délectant de mes attouchements précis. Je lui pinçais les seins, je l’embrassais dans le cou et sur la bouche, je frottais son clitoris.

Un violent plaisir

Elle a joui extrêmement rapidement de ce combo diabolique, son corps secoué par des convulsions de plaisir intense. Puis cela a été mon tour, j’ai opté pour une levrette, Brigitte m’accueillant entre ses bras pour me réserver le même traitement que je lui avais offert peu avant. Sa petite main pile comme j’aime sur mon bourgeon m’a aidé à atteindre l’orgasme, mais le braquemart d’Ulrich a fait le plus gros du travail à ma grande surprise. Il allait loin en moi et j’ai explosé quand il s’est mis à me pilonner si fort que ses burnes venaient taper contre mon pubis ! Il est sorti de mon vagin en un éclair et Brigitte m’a de nouveau entraînée à ses pieds, à genoux sur la moquette, regardant notre amant avec admiration tout en nous léchant les lèvres, nous avons reçu ses jets de sperme sur nos visages ! Une pluie de foutre qui est allée en s’amenuisant jusqu’à ce que le pénis devienne flasque et que nous le nettoyons de nos coups de langue gourmands.

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