Trio Sapho nique

La rédaction 15 juin 2024

Thierry – 31 ans – Paris, se tape deux femmes qu’il a rencontré dans un pub écossais et vont poursuivre leur aventure dans la chambre de ses dames.

C’était en février dernier, les jours très courts, les nuits qui tombent vite, ma solitude me pesait, je suis donc allé faire un tour dans un pub écossais, histoire de me changer les idées. Vêtu d’un kilt endossé selon la tradition, c’est-à-dire sans rien en dessous, j’ai commandé un verre et j’ai scruté les hommes et femmes qui peuplaient le lieu. Quelques habitués, des couples, dont un qui a particulièrement attiré mon attention. Deux lesbiennes, jeux de regards, caresses échangées sur le visage, yeux brillants de désir entre ce binôme de bombasses qui semblait seul au monde. Elles se sont approchées de la caisse pour régler et l’une d’elles, Katy, m’a demandé si je portais mon tartan « à l’écossaise » ! J’ai répondu oui et en même temps qu’elle m’interrogeait sur la possibilité de vérifier, j’ai senti la main de sa copine, Ingrid, se glisser sous les plis. Là j’ai entendu un « Wouahou ! C’est le bon ! Il est membré comme un âne » et s’adressant à moi, un « Tu nous suis ? » Voici mon histoire de sexe.

Une baise de haute volée avec ces dames

Nous nous sommes retrouvés dans une chambre de bonne, je n’ai pas eu le temps de réaliser ce qui se passait que les deux nymphes se jetaient à poil sur un matelas et s’enlaçaient en se roulant des pelles de folie. Mains derrière la nuque, le spectacle était idyllique, les corps de ces deux femmes étaient de toute beauté et leur sensualité m’a fait bander plus dur que le bois. Je me suis affranchi de ma tenue compliquée et, à leur signal, je les ai rejointes. Elles ne tarissaient pas d’éloges sur la taille de mon sexe et se sont gentiment bagarrées pour savoir qui le sucerait en premier. Elles m’ont caressé la bite avec les cheveux longs et bouclés d’Ingrid, mon gland passait d’une bouche à une autre, les talents de ces dames étaient incontestables bien que chacune ait une technique différente ? Katy pratiquant la gorge profonde et Ingrid, les léchouilles légères pour mieux m’enfourner et loger ma queue contre l’intérieur de sa joue. J’ai osé demander si je pouvais prendre des photos et elles ont accepté. Bite au garde-à-vous, je suis allé récupérer mon téléphone au plus vite, trop heureux de pouvoir immortaliser cette folle soirée.

Je n’étais pas au bout de mes surprises, les filles m’ont capoté la bite en riant, elles passaient leur temps à s’embrasser et à glisser leurs mains partout sur leur corps et le mien. Douces, mais très crues, elles m’ont réclamé de les baiser à fond, de les démonter même, selon leurs propres termes. Elles aimaient le cul entre nanas, le cul tout court, et, même si j’ai bien compris que je n’étais qu’un « quatre-heures », je me suis appliqué à les prendre successivement.

D’abord en levrette, l’une après l’autre, les chattes étaient différentes, les corps ne réagissaient pas pareil, mais les gémissements, eux, ont grimpé au ciel pour les deux. Katy est restée à quatre pattes et sa copine s’est faufilée sous sa silhouette bronzée, j’avais les deux fentes trempées en visuel, je n’ai eu qu’à diriger ma queue, un coup dans le con du bas, un coup dans celui du haut. Je me suis appliqué à les faire jouir chacune leur tour. Quand l’orgasme montait chez l’une des deux amantes, la seconde l’accompagnait par diverses caresses et mots crus, c’était beau à voir.

Une jouissance du cul !

Toujours l’une sur l’autre, je sentais Katy très chaude, son excitation se voyait sur son vagin qui s’ouvrait et se fermait par à-coups, elle s’est foutu un majeur dans l’anus et se l’est élargi en décrivant des cercles qui lui distendait l’anneau, j’ai tenté d’approcher mon gland et le doigt s’est effacé. « Vas-y, mets là-moi bien fort dans le cul, tu as envie de m’enculer pas vrai, allez, viens ! »

Ma fraise s’est glissée dans l’œil rose, ma hampe a suivi, elle était serrée du trou de balle et je sentais la bague emprisonner mon pieu qui s’est logé au plus profond du rectum de la belle brune. Avec la taille de mon membre, la sodomie est un régal, il n’y a que là que je peux la foutre toute entière et lâcher mes coups de reins comme bon me semble. Katy était une vraie « anale », elle a joui du cul encore plus fort que lorsque je l’ai prise par devant.

Je n’en pouvais plus, les filles m’avaient usé, j’étais en sueur, la pièce sentait fort la cyprine, la transpiration, le caoutchouc des préservatifs. J’étais toujours excité et j’avais envie de gicler. Elles l’ont compris et ont entamé une fellation à quatre lèvres. On m’embrassait, on revenait me pomper, me lécher les boules, me caresser le dos et les fesses. J’ai enfin lâché mon sperme dans la bouche d’Ingrid. À ce moment, elles se sont assises en tailleur face-à-face et se sont roulée une dernière pelle en partageant mon foutre.

A lire aussi >> Manipulation anale

A lire aussi >> Un plan à trois avec une vue remarquable !

Étiquette:
À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru