La lettre à Élise

La rédaction 21 décembre 2025

Ce soir-là, il faisait trop chaud pour dormir. On avait laissé les portes-fenêtres grandes ouvertes, et les verres sur la terrasse se remplissaient encore, une fois la nuit tombée. On était six, trois mecs, trois filles. Six à partager cette grande maison de vacances où nous avait invités un ami commun. On ne se connaissait pas vraiment intimement, je crois qu’il avait fait exprès de proposer ce week-end à la campagne à plusieurs personnes dont il savait qu’elles étaient ouvertes, intellectuellement et sexuellement, disons-le. Je pense que l’idée était de créer une sorte de mélange de gens d’horizons différents mais qui tous, nous le comprendrions plus tard, étaient joueurs, voire libertins. Tout le monde était beau, jeune, attirant. Disons que ça sentait le cul et d’ailleurs, personne ne voulait aller se coucher, visiblement. Voici mon histoire de sexe amateur.

Trio libertin

Vers minuit, on a commencé à faire des jeux type “Action ou vérité” et c’est très vite parti sur des trucs sexuels. J’étais en robe fine, sans soutien-gorge. Je n’étais pas la seule. L’alcool aidant, on riait plus fort, on parlait plus près. Et peu à peu, la soirée a glissé. Quelqu’un a mis de la musique. Je me souviens de la paume d’Élise, une autre fille présente, sur ma hanche. De la chaleur de son souffle quand elle m’a dit : « Tu danses bien. » Je me souviens aussi de la façon dont Julien, un convive, a effleuré le bas de mon dos pendant que je dansais avec elle. Nous avons bougé en rythme tous les trois, nous rapprochant jusqu’à nous frotter les uns contre les autres.

Élise se tenait devant moi, les jambes encastrées dans les miennes, j’en mouillais tellement on était proches, et Julien derrière, moi, caressait mes hanches et se frottait contre mon cul, et j’aimais tout autant sentir son érection contre moi que voir monter l’excitation d’Élise. Le tissu de ma robe est remonté sur une cuisse. Les autres nous regardaient et ça leur avait donné envie, à eux aussi. On s’est rendus dans une chambre, la plus grande, il faisait si chaud. Nous nous sommes déshabillés et chacun a pris sa place, comme si on avait déjà répété cette chorégraphie tous ensemble. Avec Élise, nous nous sommes tout naturellement couchées sur le matelas, où je me suis mise à goûter sa chatte, que j’ai léchée, et dont j’ai adoré la saveur.

Orgie improvisée

Ça a donné des idées aux autres, alors la troisième fille présente s’est elle aussi foutue à poil avec Julien et elle a commencé à le sucer à côté de nous sur le lit. Nous étions déjà quatre à nous adonner à des caresses buccales sur le pieu, et j’adorais regarder ces deux-là faire l’amour pendant que je léchais Élise. Tous mes sens étaient en éveil. Un deuxième garçon, nu, est venu s’allonger entre nous, attendant que l’une ou l’autre daigne s’intéresser à lui. Avec Élise, il nous amusait et on le trouvait très beau alors on l’a pris en charge. Moi, je me suis penchée sur lui pour le prendre en bouche et Élise s’est accroupie au-dessus de son visage pour qu’il la lèche à son tour, prenant ma relève. À demi assise sur son visage, elle renversait le sien en gémissant. Il a même réussi à la faire jouir, mais il faut dire que j’avais bien préparé le terrain.

Ensuite, on s’est partagée sa bite, elle sur le gland, moi sur les couilles, pour le faire gicler, ce qu’il a fait à grands jets… Pendant ce temps, le troisième mec présent avait sorti un camescope et nous filmait tous en train de nous livrer à cette orgie spontanée. Ça ne nous gênait pas, au contraire, ça donnait encore plus de piment au moment. J’ai des images qui me restent. Une main dans les cheveux de quelqu’un d’autre. Une caresse sur un torse, un frisson qui passe de l’un à l’autre comme une étincelle. Deux mecs en train de se faire sucer par deux filles chacun de son côté, et puis les filles qui se lèchent entre elles, et puis moi, en train de me faire prendre à quatre pattes sur le lit et à côté de ma complice, aussi insatiable que moi, qui chevauchait un autre mec, dont je ne savais même plus si c’était Julien ou un autre. Les corps communiaient ensemble et c’était tout ce qui comptait.

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