Gentleman Cabrioleur

La rédaction 6 septembre 2024

Louise et Tristan décident de pimenter leur vie sexuelle en s’adonnant à un jeu de rôle. Elle est l’otage et lui le kidnappeur.

Je vais vous partager une de mes plus folle histoire de sexe.

Je l’attendais assise les mains dans le dos, le bandeau sur les yeux, la jupe soulevée sur mes parties intimes, la chatte épilée, mon top relevé au-dessus de mes petits seins. J’ai attendu cinq-six minutes comme ça, dans le silence. Puis j’ai entendu ses pas et je me suis mise à frémir. Tristan s’était lancé dans un scénario des plus coquins, c’était le méchant kidnappeur, et j’étais l’otage qu’on devait échanger contre une rançon. La fille d’un multimillionnaire.

Un jeu de rôle des plus excitant

Il a commencé par me dire des horreurs, mais au ton de sa voix, j’ai reconnu une pointe d’amusement qu’il n’arrivait pas totalement à masquer. « Mmh, peut-être qu’on ne va pas te rendre vivante à ton père ? »          « Peut-être qu’on devrait se « servir » une avance, tant que ton père ne paie toujours pas ! ». J’étais épatée par toute cette imagination débordante dont il faisait preuve, pour la première fois dans une situation si sexuelle. On avait décidé ensemble de remettre un peu de piment dans notre vie de couple (nous sommes ensemble depuis 5 ans !), et je dois dire qu’il prenait sa mission très à cœur. Quelque part, je dois bien avouer que cela me rendait un peu plus amoureuse de lui et que, d’ordinaire prude, je sentais tout mon corps s’éveiller en entendant le détail de ses mots.

Il touchait mes parties les plus sensibles, l’intérieur de mes cuisses, effleurait du bout des doigts ma vulve rouge. Je faisais semblant de me débattre mais au fond de moi j’étais très excitée par son toucher, par sa façon d’essayer de m’éveiller, d’exciter mes sens avant l’action. Je sentais ma vulve battre la chamade, infuser comme un tam-tam dans tout mon corps, hurler si fort que cela remontait jusque dans mes oreilles et que mes bras, accrochés et impuissants, en frissonnaient derrière mon dos. Je hurlais des « non, non » en rigolant, mais tout mon corps implorait qu’il me prenne plus durement, plus sauvagement.

Il m’a demandé doucement, d’une voix plus basse, à l’oreille : « tu as envie d’arrêter d’être attachée et que je te prenne ? » . Et j’ai dit « OUI ! » comme s’il s’agissait d’une demande en mariage, avec un enthousiasme plein. Comme une délivrance. Il a retiré tous mes vêtements en sifflant d’admiration devant mon corps nu. Il faut dire que nous avions l’habitude de faire l’amour dans le noir complet, Tristan n’avait que rarement l’occasion d’observer mes seins et mes fesses de la sorte, ce qui m’a fait immédiatement rougir, puis il ne m’a pas posé délicatement sur la table basse : « Dommage pour vous mademoiselle, personne n’a payé la rançon ! J’ai donc tous les droits sur votre corps ! Et je vais vous prendre là, au milieu de la pièce. Comme la dernière des catins. » Je gloussais de plaisir en anticipant ce qu’il allait faire.

Et le gentleman cabrioleur me pris

Il a écarté bien grand mes deux jambes, écartelant mon intimité face à lui, et m’a massé tendrement le corps. Avec deux doigts, il a soulevé mon antre, en crochet et a doucement massé cette zone. Ça me faisait un bien fou. Il s’est immédiatement situé au bon endroit, déclenchant en moi de réelles tempêtes de plaisir. Je gémissais fort, cambrant mon corps en même temps, appréciant la douceur de ses doigts et la justesse de ses gestes. Puis, sa bite est venue remplacer sa main droite. C’était assez soudain, il me prouvait à nouveau qu’il avait la parfaite maîtrise de mon corps. Je connaissais sa queue par cœur et pourtant, j’avais l’impression de la redécouvrir pour la première fois. Elle rentrait encore plus loin en moi, ou était-ce moi qui était plus offerte ? Plus lubrifiée ? Plus sensible ? Ses couilles, imposantes, tapaient contre mes fesses et rythmaient le mouvement de ses hanches.

Il s’est accroché à mes jambes et m’a contraint à les relever un peu plus. L’angle de pénétration était alors plus profond, les sensations se sont accentuées. Je n’ai pas pu m’empêcher de pousser des râles de plaisir, comme une joueuse de tennis professionnelle. Tristan continuait sur sa lancée, heureux d’avoir trouvé un scénario qui lui plaisait : « Et j’espère que tu ne vas pas faire trop de bruit ! On a plein d’autres otages dans la salle d’à-côté, je n’ai pas envie qu’ils se fassent des films en se disant qu’ils vont pouvoir aussi goûter de mon jus. Tu es à moi, Louise, tu m’entends ? A moi et à moi seul. Il n’y a que toi qui vas recevoir mon sperme. » J’ai commencé à pouffer de rire mais Tristan a posé sa main sur ma bouche, de façon autoritaire, pour m’empêcher de continuer.

Puis, il s’est retiré, d’un coup, s’est branlé au-dessus de mes seins. En parallèle, je me suis à me masturber frénétiquement pour me « finir ». J’avais très envie de jouir et seule l’action de ma main droite sur mon clitoris me le permettait. Nous avons eu un orgasme simultané, moi vibrant entre mes doigts, lui giclant sur mes deux petits seins. « Et voilà, j’ai tué l’otage ! Dommage pour la rançon ! ». Et nous nous sommes embrassés passionnément, très amoureux : « La prochaine fois, je veux que tu sois un pompier prêt à braver le feu pour me sauver ! Tu es trop fort en scénario ! ». Peut-être l’occasion d’une autre histoire à vous raconter ?

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