Attention, ça mouille !

La rédaction 5 février 2025

Je m’appelle Lionel, je suis écrivain et j’ai 41 ans. Je vis dans un vieil immeuble au charme désuet, au quatrième étage pour être plus près du ciel. C’est un bâtiment plein d’âme, avec ses planchers qui grincent et ses murs un peu trop fins… Juste au-dessus de chez moi, pourrait-on dire au septième ciel, deux jeunes femmes partagent un appartement en colocation. Elles sont toutes les deux très jolies, insouciantes, vives. Surtout, elles aiment faire la fête et il n’est pas rare que j’entende des rires, de la musique, ou encore des conversations animées jusqu’à tard dans la nuit. Parfois, elles ramènent des garçons chez elles, et moi, de mon côté, je me contente de les écouter en espérant que le plafond tienne bon. Voici mon histoire de sexe amateur.

Mes deux voisines sexy

Un soir, alors que j’étais tranquillement installé dans mon canapé, je remarque une tâche sombre apparaître sur mon plafond. Une grosse auréole, et pas du genre angélique ! Très vite, le mur aussi commence à se détremper. Quelque chose cloche chez mes voisines du dessus. Ni une ni deux, je monte au cinquième étage et quand je frappe à leur porte, c’est la belle rousse, la plus mutine et sexy des deux colocataires, qui m’ouvre. Elle est là, devant moi, uniquement vêtue d’une serviette de bain, sa magnifique crinière dégoulinant sur ses épaules. Son visage est illuminé par un sourire désinvolte.

Derrière elle, j’entends des éclats de rire venant de la salle de bain, où son amie (la brune, habituellement plus réservée et diablement bien roulée) est encore occupée. « Oh, désolée pour le bazar », glousse la rousse mutine, « on est un peu débordées ! ». Je reste un instant figé, ne sachant trop comment réagir. La belle m’explique alors sur un ton joyeux qu’elle et son amie prenaient un bain ensemble et que, visiblement, elles avaient trop rempli la baignoire. Un accident, certes, mais qui se répandait jusque chez moi. Et qui allait m’éclabousser de plaisir… Sans perdre son sourire, la mutine m’invite à entrer et me tutoie sans ambages : « Ne reste pas planté là, tu fais du courant d’air et j’ai froid ! »

De plus en plus surpris, je franchis le pas de la porte, ne sachant pas vraiment où tout cela va me mener. Chez elles, il fait une chaleur du diable, lourde de l’humidité du bain qui, clairement, dure depuis un moment. La brune, elle, est totalement nue. Je m’en rends compte quand elle se lève de la baignoire et m’apparaît dans toute sa splendeur. Vénus épilée et gourmande qui déjà se lèche les lèvres en me regardant. « Tiens, mais c’est notre cher voisin ! On se disait justement qu’il nous manquait un accessoire pour terminer nos ablutions en beauté ! »

Un trio improvisé

Ni une ni deux, la brune saisit une serviette, se sèche en vitesse puis m’attrape par la main, pendant que la mutine rouquine part dans un grand éclat de rire. Mais où suis-je ? En plein rêve ? La moiteur de l’appartement m’engourdit l’esprit tandis que la vision de ces deux corps sublimes, luisants et déjà passablement émoustillés stimule ma virilité dans mon pantalon. Celui-ci ne résiste pas longtemps aux assauts de la belle brune : me voilà déjà en tenue d’Adam, pendant que les deux Ève me mettent en position, debout face à leur lit, planté tel un pommier devant le fruit défendu.

Comment vous décrire la suite ? Les images prises ce jour-là parlent d’elles-mêmes… Les belles qui se titillent, s’emboîtent et se baisent. Mon érection jusqu’au plafond, celui de leur chambre d’abord, puis de leurs bouches qui m’attrapent et m’enivrent, et enfin celui de leurs cons joyeux, ouverts à tous les délices, tous les délires, mes va-et-vient rendus soyeux par la salive de l’une et la mouille de l’autre. Et à la fin, un plaisir si profond que je n’arrive pas à éjaculer… Une frustration énorme que je comble aujourd’hui en partageant avec vous le récit de nos ébats tout là-haut, au cinquième étage.

Depuis, quand nous nous croisons avec les belles, elles rient et montent quatre à quatre les marches de l’escalier en se tenant la main, plus coquines et tentantes que jamais. Je rêve de les retrouver pour une soirée au paradis, en guettant au plafond les gouttes du plaisir.

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