Trio de choc

La rédaction 19 septembre 2020

Stéphane, 41 ans, va en boîte de nuit avec son amie lesbienne Emma qui trouve une jolie fille pendant la soirée. Sur le chemin du retour Emma ne va pas manquer de partager sa conquête avec Stéphane.

Hello les mecs, c’est Stéphane. La prostate, ce n’est pas votre truc ? À moi non plus. Enfin, jusqu’à ce que je tombe sur un duo de lesbiennes bien chaudes, qui m’ont fait tester de nouveaux plaisirs. C’est parti pour l’histoire de sexe !

Je suis pote avec Emma depuis que l’on est ado. Elle est mince, un peu masculine mais sexy, avec ses petits nichons et ses cheveux blonds à la garçonne. Aujourd’hui, à 40 ans au compteur, on est toujours aussi fous qu’avant : on va en club, on danse, on ramène des meufs… Elle, elle les aime jeunes et bien pulpeuses. Moi, je teste ce qui me tombe sous la main (et la queue !).

Un soir que l’on était dans notre boîte préférée de Lilles, je me suis levé de notre table et je suis allé nous chercher une bouteille. Quand je suis revenu 10 minutes plus tard, j’ai vu Emma en train de rouler des pelles à une magnifique brune, la vingtaine, gros nichons et robe ultra sexy. Je suis resté à les mater. La fille était surexcitée par les caresses de mon amie : elle se tortillait sous les léchouilles. Elle n’a même pas protesté quand Emma a glissé sa main sous sa robe, alors que tout le monde pouvait voir qu’elle se faisait doigter.

Un des vigiles a commencé à s’approcher, alors je me suis ramené à la table et j’ai embarqué les deux nénettes. Elles étaient mortes de rire. Elles se sont foutues à l’arrière de ma caisse et ont continué leur cirque. Je voyais la scène dans le rétro, sans parler des bruits… Emma doigtait toujours la fille, puis elle s’est penchée et s’est mise à lui aspirer le clito. La petite gémissait comme une cochonne… Je ne vous dis pas comme je bandais, surtout que ses gros nichons étaient sortis de la robe et que j’avais tout en plein dans le rétro !

J’ai fini par m’arrêter sur un parking. Emma m’a lancé : « Arrête de faire la gueule, on partage si tu veux ! » J’avais tellement envie de baiser que je suis descendu de la voiture et que je leur ai ouvert la portière. Elles sont sorties. La petite était à moitié à poil. Je lui ai enlevé sa robe et je l’ai allongée sur le capot pour lui bouffer les seins. Elle a couiné comme il fallait : elle aimait aussi les mecs, cette garce ! Emma, elle, était retournée entre ses cuisses et la défonçait de coups de langue.

J’ai eu envie de les voir se gougnotter, alors j’ai relevé Emma et je l’ai plaquée contre la fille. Leurs moules étaient l’une contre l’autre et faisaient un bruit mouillé très excitant. Je me suis avancé à quelques centimètres d’elles et j’ai baissé mon fute. La petite m’a attrapé la bite et s’est mise à me branler, tout en frottant son abricot sur celui de ma copine.

C’est là que j’ai senti la main d’Emma venir se poser sur mes fesses et commencer à me palper… Puis son index m’est entré dans le cul ! Comment elle osait me faire ça ? Le problème, c’est que c’était hyper bon et que sa chienne de meuf me serait la bite au maximum. Les deux se frottaient de plus en plus fort et j’ai compris qu’elles allaient bientôt se faire jouir. Je me suis détendu en me disant que cela serait juste une fois, qu’Emma n’irait jamais raconter que j’avais aimé me faire pénétrer le petit. Putain, elles étaient si chaudes à se frotter la schnek !

La brune a joui en premier et ma pote a suivi. Elles criaient super fort, j’avais le feu ! J’ai senti le doigt d’Emma qui s’enfonçait encore plus sous l’effet de son orgasme et là, j’ai tout laissé couler dans la main de la belle brune. Elle a alors lâché mon sexe, pour faire goutter mon nectar à Emma. Non seulement cette coquine a léché ses doigts collants, mais elles se sont ensuite mises à se rouler des patins parfumés au foutre ! Le kif total. Après cet épisode, j’ai mis un peu de temps avant de revoir Emma. Elle ne m’en a jamais reparlé. J’avoue que parfois, quand je me branle, j’y repense et j’ose me mettre un doigt… Mais chut, c’est notre petit secret !

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