Le roi de la bricole

La rédaction 11 février 2025

Fraîchement divorcée, il a fallu que je déménage et que je décore mon nouveau nid. Seulement voilà, le bricoleur, c’était mon ex. C’est ainsi que, me voyant dépourvue, Michel, mon voisin, est venu à ma rescousse. Fort bien équipé, il m’a tout fait – dans tous les sens du terme –, et j’ai conservé quelques clichés de ses interventions. Voici mon histoire de sexe amateur.

Un amant et des préliminaires

C’était en plein mois de juillet, et ce jour-là je portais un débardeur échancré sans soutif en dessous, lui travaillait torse nu. De fil en aiguille, nos regards se sont croisés et j’ai vu la grosse bosse qui déformait son bermuda. Ma libido était au zénith, voir un corps d’homme musclé, habile et en sueur m’a fait mouiller comme jamais, je me suis jetée sur lui ! Cette première s’étant passée à merveille, évidemment il y en a eu d’autres et nous avons commencé à baiser dès que nous le pouvions, j’ai même pris l’initiative d’acheter une perche à selfie pour prendre en photo nos ébats devenus quotidiens.

Michel a une bonne queue, moins épaisse que celle de mon ex-mari, mais plus longue et dure comme du bois et il bande sur commande ! Ce qu’il aime par-dessus tout ? Que je sois entièrement nue, sans dentelle, sans fanfreluche et que je me donne à lui ainsi, dans le plus simple appareil. Il apprécie tout particulièrement mes talents de suceuse, il faut dire que rien ne m’excite plus que de prendre un sexe d’homme en bouche, de promener ma langue partout, sur toutes les circonvolutions du gland, de m’amuser à agacer le frein, le méat, tout en empoignant la paire de couilles qui se tend au contact de ma main.

Mon 95 C l’occupe beaucoup. Il peut passer des heures à me peloter les nichons. Il aime tout spécialement en asticoter les bouts, faisant bander mes tétons, étirant mes mamelons, jouant avec mes « grosses mamelles » comme il les appelle. À ma grande surprise, dans sa bouche, je trouve cela follement excitant !

Bien sûr, après ces mignardises que d’aucuns nomment préliminaires, je me laisse toujours butiner la craquette. Michel est tout autant habile de sa langue que de ses doigts. Il lape mon coquillage et ma petite pastille, instillant un appendice curieux dans chacun de mes orifices avant d’y faire pénétrer ses phalanges légèrement rugueuses. Cela aussi, j’adore ! Les callosités apportent une friction et un stimulus supplémentaire qui me mettent dans tous mes états.

Prise partout et par tous les trous

Je coule alors de désir, lorsque je ne jouis pas une première fois, et alors seulement il me possède. Nous goûtons à faire ça dans le salon, sur le canapé, nous posons le téléphone quelque part pour nous filmer, et c’est délicieusement cochon et excitant, ensuite, de visionner nos galipettes. Je savoure de voir sa bonne bite aller et venir au fond de ma chatte ou de mon cul, car, oui, monsieur m’a initiée à la sodomie, pratique que je me suis toujours refusée à accepter avec mon ex-époux.

Avec Michel, je ne sais jamais à quoi m’attendre, ce qui rajoute du piment à notre relation, il peut très bien se décider à me masturber avec le goulot d’une bouteille en verre, me soulever littéralement de terre pour me ficher sur sa queue au fond de mon trou comme si j’étais la boule d’un bilboquet ou bien encore m’attraper en levrette, ma position préférée, tout en m’enfonçant l’un de ses gros pouces dans le derrière. La finalité est toujours la même, il me mène à l’orgasme en moins de deux. Il est doué le petit salaud, il a tout de suite compris mon rythme de prédilection et a découvert en un rien de temps l’ensemble de mes zones érogènes. Mes pieds, mes oreilles et un point très précis un peu à gauche de ma nuque, lorsqu’il s’applique à me faire un suçon à cet endroit, il sait que je vais défaillir dans l’instant.

Souvent, néanmoins, c’est moi qui le chevauche, Michel m’a posé un grand miroir juste en face du sofa, il peut ainsi reluquer mon cul tout à loisir, d’ailleurs il ne se prive pas de bien m’écarter les fesses afin de regarder son vit planté dans mon vagin ou dans mon anus dilaté. Et plus il est cochon et voyeur, plus je mouille et lui en montre encore davantage. Après tout, il me fait jouir comme personne, je ne vois pas pourquoi je le priverais de mes petites exhibitions, lui qui adule « mon corps de déesse », tel qu’il se plaît à l’appeler.

Je lui en mets donc plein les mirettes, lui m’embrasse partout, et ses mouvements de bassin se font plus amples. Je devine à son œil fiévreux qu’il est aux portes de l’orgasme. Il sort de moi en hâte et me tend sa queue, j’arrache le préservatif qui emprisonne son beau gland et, selon mon humeur, j’avale le sperme qu’il éjacule en jets puissants au fond de ma gorge ou je le laisse venir sur mes seins avant de me tartiner avec son foutre.

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