Cuisine à domicile
8 février 2025![](http://interstron.ru/javfull/wp-content/uploads/2025/02/histoire-de-sexe-cuisine-a-domicile.jpg)
À cinquante ans passés, je suis divorcé et, mis à part les surgelés et les œufs au plat, je ne sais absolument rien faire en cuisine. Pourtant, avant l’été, j’ai invité quelques amis à manger à la maison. N’ayant aucune compétence en la matière, j’ai donc fait appel à une cuisinière à domicile. Soukayna proposait une gastronomie marocaine alléchante. J’ai payé les arrhes et nous avons convenu d’un tajine aux pruneaux et aux amandes. Voici mon histoire de sexe amateur.
Partie de foutre pour le dessert
La soirée s’est divinement bien passée, le feeling avec ma « maître-queux » était évident, je lui ai proposé de se joindre à mes amis et nous avons dîné tous ensemble. La suite a coulé de source, après le départ de mes hôtes, elle a regroupé son matériel. Lorsque nous nous sommes retrouvés accroupis face à face, nous nous sommes embrassés. Je l’ai soulevée de terre et l’ai emmenée dans ma chambre. Elle s’est tout de suite relevée du lit, j’étais affolé, avais-je commis un impair ? Mais non. C’était pour mieux s’agenouiller devant moi et abaisser mon pantalon pour entamer une pipe absolument magnifique. J’ai eu le temps d’attraper mon téléphone portable, impossible de ne pas garder des photos souvenirs de cet instant incroyable, elle était d’accord, j’ai commencé mes prises de vue.
Elle m’a chopé la bite, l’a branlée doucement. Elle la regardait comme si elle n’en avait jamais croisée de sa vie, mais lorsqu’elle l’a enfournée au fond de sa gorge, j’ai vite compris qu’elle avait déjà une longue expérience de la fellation malgré son jeune âge. Nous avons toutefois réussi à nous installer sur le lit. Elle a saisi ma queue à deux mains cette fois-ci, ses doigts allaient et venaient sur ma hampe en tournant dans un sens pour monter et dans le sens contraire pour descendre, quel pied … je n’avais jamais connu cela ! Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit, elle s’est défaite de son jean, et je ne sais trop comment, elle m’a enfourché telle une amazone farouche et s’est empalée sur ma colonne tout en me faisant face.
J’ai découvert la suite de sa collection de piercings, elle en avait partout, sur la langue, les tétons, le nombril, le nez, les lèvres … elle m’a demandé de jouer avec ceux qu’elle portait sur ses seins. Heureuse situation de mon lit qui donne sur une immense armoire à glace, j’ai pu capturer ces instants hors du temps, son joli pubis orné de poils bien taillés, ma bite fichée dans sa fente qui dégoulinait de mouille, ses mamelons gonflés et dressés d’orgueil ! Soukayna s’est menée seule au plaisir, sans même se toucher le clito, juste le regard fixé sur son reflet, une mèche de cheveux entre les lèvres. Je l’ai vue dans son ascension, accompagnée dans cet aboutissement et le feu d’artifice a pris vie devant moi. Son visage de déesse s’est déformé, son ventre s’est contracté, ma queue a été expulsée de son vagin devenu impénétrable et elle a joui au-dessus de moi.
Ma bite a été inondée, je n’ai plus su quoi faire tant tout son être était empreint de vagues successives qu’elle goûtait jusqu’à la lie. Épuisée par cette extase, elle s’est Iivrée à moi, me demandant de lui faire ce qui me plaisait pour accéder au plaisir. J’étais dans un état second, Soukayna a ôté son tee-shirt, allongée sur le dos et a écarté les jambes, relevant ses fesses pour me faire comprendre que j’avais tous les droits sur elle à ce moment précis. J’ai perdu la tête, je me suis étendu sur elle pour lui dévorer la bouche, mes mains partant en exploration jusqu’aux moindres parcelles de son corps. Ses lèvres étaient fraîches, ses nymphes brûlantes, son petit trou s’est révélé ouvert et tout à fait docile, j’y ai glissé un doigt tout en offrant ma langue qui a été rejoint par celle de mon amante providentielle.
J’ai fini par décider de continuer sur le même chemin, qui sait, peut-être une autre fois pourrais-je enculer cette beauté si sensuelle ? Le con s’est effacé au passage de mon chibre, ma belle brune était toujours aussi serrée, toujours aussi trempée. J’ai inséré mon glaive dans ce fourreau idéal et je me suis mis à le limer comme si ma vie en dépendait. Je n’avais pas pour but de refaire jouir Soukayna, c’est néanmoins ce qui s’est passé, puissance dix ! Je ne m’étais pas rendu compte de mon engagement dans l’acte. Mon pubis claquait encore et encore, nos chairs se rejoignaient et s’éloignaient à un rythme effréné lorsque les yeux de ma cuisinière se sont révulsés et un geyser de cyprine a ébloui ma bite !
Je me suis retiré en hâte. Il était temps, mon foutre a été expulsé avec une force incroyable et j’ai fini d’éjaculer en me branlant, mon frein caressant le velours de son mont de Vénus tout doux.
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