La cabine du désir

La rédaction 17 août 2021

C’était au mois de juillet. On repartait de Paris, et on s’est retrouvés coincés dans un bouchon. Avec la chaleur qu’il faisait, je portais une jupe courte, boutonnée devant, jambes nues. J’ai remarqué qu’à côté de nous, le conducteur d’un poids lourd n’arrêtait pas de reluquer mes cuisses. On avait les fenêtres ouvertes, et on a entamé une discussion, des banalités qui se sont vite transformées en compliments sur ma tenue. Discrètement, j’ai défait deux boutons de ma jupe, faisant apparaître un bout de mon string en dentelle. À côté de moi, mon mari ne disait rien. Voici mon histoire porno.

Visite guidée

Le chauffeur m’a parlé de son métier, et je lui ai confié que je n’étais jamais montée à bord d’un poids lourd, et que j’étais curieuse. Il m’a dit tout simplement qu’on pourrait s’arrêter à la prochaine aire, si on le voulait. J’ai regardé mon homme, il a hoché la tête pour me faire plaisir, en ajoutant qu’il en profiterait pour se dégourdir les jambes. Ça faisait bien une heure et demie qu’on était partis, et on n’avait pas beaucoup avancé. On a vu une station-service et on est sortis de l’autoroute. Mon mari s’est garé devant, le camion s’est arrêté plus loin, à la place réservée aux poids lourds. Mon chéri est entré dans la station-service, et moi, je suis partie à la recherche du camionneur.

Arrivée à la hauteur du bahut, je l’ai appelé. Deux autres chauffeurs se tenaient debout près du camion voisin, et ils ont applaudi et fait des compliments lorsque j’ai entrepris de monter, en minijupe, dans la cabine du chauffeur. Il faut dire que j’avais dû défaire trois boutons pour pouvoir escalader… Guillaume, le camionneur, m’a fait asseoir à la place du conducteur.

Tous les pare-soleil étaient abaissés, l’intérieur était plutôt cosy et bien entretenu. Il se tenait debout derrière les sièges. Ma tête tournait, mon coeur palpitait, mon imagination était déchaînée, et je mouillais. Je n’avais pas beaucoup de temps, mais le routier n’en a pas perdu. Ses mains sont venues enserrer mon torse, des grosses mains rendues calleuses par le contact du volant, et il m’a pétri les seins en silence. On n’entendait que nos deux respirations, et des bribes de la conversation des hommes au dehors. Plus qu’une visite de cabine, ça allait être une visite de mon corps.

Avec bonus

Je me suis laissée aller sous ses caresses douces et brutales à la fois. Ses doigts pinçaient mes tétons, palpaient mes seins pour revenir sur mes pointes qui s’allongeaient alors que, délicatement, il me les avait saisis à la base et qu’il s’ingéniait à les masturber, comme s’il s’occupait de deux pénis minuscules. Mes mamelons ont pris une teinte cramoisie, foncée, et je baignais dans ma mouille.

Il a délaissé mes seins pour défaire les deux derniers boutons de ma jupe. Moi, j’ai précipitamment ôté mon fin chemisier. J’ai tenu le volant d’une main, et j’ai pivoté pour me retrouver face à Guillaume, écartant les jambes, si bien que mon string s’est fiché dans mon sexe, laissant mes lèvres intimes à l’air et sciant d’une caresse de satin la raie humide de mes fesses. Le camionneur a entrepris de me chatouiller le minou, poussant le fin tissu pour s’enfoncer d’un doigt dans mon intimité rasée, complètement en nage, et pas du fait de la chaleur extérieure…

J’ai saisi sa main et je l’ai encouragé à mettre plus de doigts. Je les ai poussés dans ma grotte trempée qui se dilatait bien. Il a ôté son pantalon et son slip, s’est placé à ma hauteur, au-dessus. Son pénis dur m’a enfin traversée. Il s’est mis à me pistonner avec une rage de vainqueur, faisant éclater des bulles de plaisir en moi. Mon string frottait contre mon anus, et j’avais l’impression que sa queue grossissait à chaque nouveau coup qu’il me donnait. J’ai eu un orgasme… bruyant. Et ça n’a pas manqué !

Des visages se sont collés à la vitre, et j’ai entendu : « On peut entrer ? ». Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais j’ai dit oui. La porte s’est ouverte sur les deux routiers rigolards. Je leur tournais le dos, mais je me suis allongée pour pouvoir les voir. L’un d’eux a sorti sa bite et s’est mis à me tapoter la joue avec. L’autre s’est masturbé presque au-dessus de mes yeux. Je voyais double. Guillaume me pilonnait sans répit, me poussant toujours un peu plus contre les cuisses des deux nouveaux venus. Je ne contrôlais plus rien. J’ai eu un deuxième orgasme, et j’ai senti une giclée de liquide chaud recouvrir mon ventre, puis une autre, et encore une autre. Guillaume s’est écroulé sur moi et m’a embrassée dans la nuque.

J’ai soudain réalisé que ça devait bien faire vingt minutes que j’étais partie, et que mon mari s’impatientait sûrement. J’ai demandé un mouchoir à mon routier, il m’a essuyée lui-même et m’a retrouvé mon chemisier et ma jupe. Les deux autres étaient un peu penauds que tout s’arrête. Mais je ne les empêchais pas de continuer à jouer dans leur propre cabine en pensant à moi… Je me suis rhabillée et je suis descendue du camion. J’ai marché à toute vitesse jusqu’à la station-service. Mon mari m’y attendait, il a dit : » C’était un peu long, cette visite ! « , j’ai juste répondu : » Oui. » Je pense que mon jules s’est un peu douté de ce que je venais de faire…

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