Maître es-sodomie !
9 janvier 2025
Je suis très porté sur la sodomie, c’est un défaut sans doute, néanmoins ce penchant m’a récemment fait vivre une expérience inoubliable. Je vous raconte tout dans cette histoire de sexe amateur.
préliminaires orgasmiques
Un couple a fait appel à moi, un peu comme on va consulter un spécialiste, pour dépuceler le petit trou de madame. Christelle est tout à fait le type de femmes que j’adore, blonde, des seins galbés en forme de poire, un cul à damner un saint ! Son mari, Théo, voulait prendre en photo ce « passage ». Cela m’a légèrement gêné au départ, mais j’ai finalement trouvé très excitant d’avoir une élève et de m’approprier le rôle d’un maestro de la sodo !
Après une soirée au restaurant, un vin de Bourgogne nous ayant tous bien désinhibés, nous avons gagné leur chambre. Un peu intimidé de me retrouver dans leur intimité, j’ai vite gagné en confiance devant le striptease de Christelle qui m’a débraguetté dans la foulée et s’est accroupie face à moi afin de me sucer. Divinement ! Quelle bouche ! Elle s’appliquait à ne rien oublier, de mes bourses au-dessous de ma hampe en passant par les arabesques de la couronne de mon gland. Elle aimait s’adonner aux joies de la fellation et cela se sentait.
Sa culotte aux genoux, elle s’est alors allongée en écartant les cuisses et en regardant son photographe de mari, c’était mon tour. J’ai essayé d’être à la hauteur de la prestation de mon amante et je l’ai léchée absolument partout, de son anus qui libérait des saveurs poivrées et musquées, jusqu’au doux sillon de sa chatte imberbe afin de lover ma langue au plus profond de son orifice vaginal et cueillir le bouton clitoridien hyper sensible chez elle.
Je n’ai pas dû trop mal m’y prendre puisque Christelle est partie dans un orgasme soudain. J’ai été surpris de sa facilité à jouir, mais cela présageait une suite tout à fait délicieuse. Et elle le fût. J’ai ôté le string et ai eu l’idée de lui entraver les poignets avec. Déjà docile, Christelle est devenue ma chose, toujours souriante et disposée à me donner tous ses charmes, petit trou compris. Après tout, j’étais là pour ça, non ?
J’ai tout de même suivi une certaine progressivité, d’abord sa fente, qui me tentait plus que tout, l’anus attendrait, et, si j’avais bien envisagé le profil de cette femme, elle allait collectionner les orgasmes. Je ne me suis pas trompé, le regard de connivence qu’elle m’a lancé lorsque je l’ai pénétrée m’a tout de suite confirmé que j’étais sur la bonne voie.
Un maître de la sodomie
Lovée sur le côté, elle a assoupli ses fesses afin de me libérer le passage, mon pieu s’est glissé dans l’anfractuosité qui était lubrifiée par une mouille surabondante. Son sexe sentait bon, je me suis régalé à la défoncer ainsi, les mains toujours ligotées par sa culotte moite. À force de coups de boutoir énergiques, le firmament a de nouveau été atteint par ma compagne de jeu qui était déchaînée. Elle ne s’est d’ailleurs pas arrêtée en si bon chemin et m’a basculé en arrière pour me chevaucher. Libre de ses mouvements, elle a agité son derrière très ferme et s’est baisée comme si j’avais été un gode. Face à son mari, chatte écartelée par mon pieu, elle s’est emmenée toute seule jusqu’à l’extase. Je sentais sa cyprine me dégouliner sur les cuisses, j’étais ravi, mais j’avais une mission, il était temps de passer aux choses sérieuses.
D’une main je me suis branlé pour conserver une érection aussi dure que possible, de l’autre je me suis mis à travailler l’anneau sacré. Un doigt a foré l’œil de bronze, puis deux et même trois, j’ai tourné lentement afin d’assouplir le sphincter, il s’est révélé bien moins réfractaire que je ne le craignais. La suite logique était que je tente une première approche avec ma queue. À ma grande surprise, Christelle s’est laissé faire de bout en bout. Mon gland s’est présenté à l’orée de la grotte et s’est glissé sans peine dans le rond qui l’a absorbé aisément, j’allais pousser sur mes reins, je n’en ai pas eu besoin, Christelle a reculé, s’empalant toute seule sur mon chibre jusqu’à la garde !
La suite n’a été que du bonheur, j’ai entendu un « Je t’aime mon amour » derrière moi, je me suis tourné et j’ai vu Théo qui s’était rapproché de nous pour prendre quelques gros plans, Christelle lui a répondu un « Moi aussi » mâtiné de plaisir, la voix nouée par une nouvelle sensation, puis elle s’est adressée à moi « Encule-moi à fond, fais-moi jouir par le petit trou et viens-moi dedans ! » Je me suis exécuté, je l’ai enculée comme je n’ai jamais enculé une femme et j’ai éjaculé en criant, lui barbouillant l’anus et le sillon fessier d’un sperme aussi abondant que crémeux.
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