La sodomie : Un orgasme dans les anales
8 février 2025![](http://interstron.ru/javfull/wp-content/uploads/2025/02/grand-format-sodomie-orgasme-anal.jpg)
Pas question pour nous de traiter la sodomie de manière théorique. Nous nous sommes plutôt intéressés à celles pour qui la pénétration anale procure de telles sensations qu’elles parlent d’une véritable jouissance et parfois même d’orgasme. Petite plongée au pays des plaisirs de Sodome avec des témoignages de grandes adeptes. Pénétrez la porte de derrière !
L’orgasme anal, mythe ou réalité ? Aujourd’hui la question ne se pose plus. Bien plus qu’un plaisir intense, voire très intense, la stimulation anale est capable de provoquer une réelle jouissance comme l’explique la sexologue Céline Vendé : « L’anus fait partie des zones génitales qui composent l’ensemble du plancher pelvien. Il stimule en même temps la partie interne du clitoris. C’est une zone fortement innervée qui, si elle est stimulée et suffisamment érotisée, peut donner du plaisir, voire un orgasme anal »
De son côté, Pauline Schilacci, également sexologue, précise : « Sans compter que la pénétration anale induit un plaisir psychologique important chez certaines personnes qui l’associent à un sentiment de soumission, de digression ou de grande liberté. »
Tous les spécialistes parlent d’une jouissance particulière, d’un type d’orgasme différent par rapport à l’orgasme vaginal ou clitoridien, mais qui peut être d’une intensité incomparable où le corps et l’esprit restent toujours étroitement liés.
Babyjolie : plutôt deux fois qu’une !
Babyjolie, 33 ans est une grande adepte de la sodomie et des plaisirs qu’elle lui procure : « Pourtant, la première fois, je n’avais pas du tout aimé. Mon petit copain de l’époque m’avait mis juste un doigt entre les fesses et j’avais eu très mal. »
Quelques temps plus tard, elle rencontre Stéphane et elle découvre une nouvelle manière de jouir : « C’est vraiment lui qui m’a dépucelé du cul, il y a un an. La première fois, j’étais trop tendue, les sensations n’étaient pas très agréables. Et puis un jour, quand il m’a pris par-derrière, ce fut un bonheur total. Et j’ai joui du cul. Ce fut le début d’une longue série de sodomies. »
Aujourd’hui, cette pratique pour Babyjolie est quasi quotidienne. C’est même souvent elle qui la réclame. L’anus est devenu une zone très présente dans leur sexualité : jeux de langues réciproques, sextoys, plugs… Il lui arrive fréquemment, pour exciter Stéphane, de porter des rosebuds dans son petit trou quand elle sort en ville ou qu’elle va à la salle de sport. Mais son plus grand plaisir reste quand même le sexe de son compagnon : « Sa grosse queue me rend folle. Pendant qu’il me prend par-derrière, j’aime qu’il m’insulte. Faut nous entendre… Je me sens dominer, je suis sa soumise et j’éprouve des orgasmes incroyables. »
Son plaisir est tel qu’elle est prête à se faire sodomiser n’importe où et les lieux insolites apportent parfois encore plus de piment : « Stéphane m’a sodomisée un jour dans les toilettes d’un avion… C’était wouaaaahhh ! Tout le monde attendait dehors, c’était très gênant, mais très drôle et très excitant aussi ! »
Élodie (analecple77) : patron, une double anale !
Élodie, la cinquantaine aujourd’hui, s’est toujours sentie libertine dans sa tête. Elle était très jeune quand elle a vécu son premier plan à trois. Responsable d’un institut de beauté en Seine-et-Marne, la sexualité tient une grande place dans sa vie : « J’aime tout ce qui est dans l’excès, pluralité, gang-bang, bukkake… J’ai peu de limites. »
Quant à la sodomie, elle fait partie de ses plaisirs préférés : « J’ai été dépucelée par-derrière très jeune, dès mes premières rencontres sexuelles. Il faut dire que je traînais toujours avec des garçons plus âgés que moi, obsédés par les films X et qu’ils voulaient reproduire ce qu’ils voyaient dans ces films. »
Pour Élodie, sodomie n’a jamais été synonyme de douleur. Même la première fois. Rien que du plaisir ! Sa réputation de fille gourmande fera très vite le tour de la ville où elle vivait à l’époque, du coup, elle multiplie les aventures : « C’était souvent moi qui réclamais à mes petits copains d’être prise par-derrière, et mon audace les surprenait parfois. Mais j’y éprouvais un tel plaisir que je ne pouvais pas m’en passer. »
Aujourd’hui, la sodomie est pour Élodie une pratique régulière et quotidienne. Elle la pratique dans toutes les positions, en levrette, debout contre un mur… Elle adore aussi diriger elle-même les mouvements de va-et-vient et venir s’empaler sur le sexe qui la pénètre. Elle la pratique également dans de nombreux lieux insolites : toilettes de restaurant, parcs, parkings… Elle adore sortir dans la rue, perchée sur des talons hauts, un plug entre les fesses : « J’arrive à avoir des orgasmes, à jouir réellement du cul comme on dit trivialement, et je veux préciser que je n’utilise jamais de lubrifiant. L’excitation de cette pratique suffit à me détendre. »
La sodomie, pour elle, s’associe parfaitement avec des mots crus, un langage assez hard et autoritaire. L’un de ses meilleurs souvenir : une double anale avec deux amants et son mari voyeur : « Me dévoiler ainsi met tous mes sens en éveil. C’est très excitant pour moi, très jouissif. »
Myriam (Nobodise2019): la jouissance de l’interdit
La première sodomie de Myriam, alors qu’elle était assez jeune, n’est pas un agréable souvenir. Douleur, trop de précipitation, aucun plaisir… Aussi aucune envie de renouveler cette expérience. La cinquantaine, mariée à un homme qui accepte qu’elle puisse rencontrer d’autres partenaires, et vivant à Cannes, c’est seulement après avoir rencontré un amant très doué, Jérôme, qu’elle a pu découvrir, il y a quatre ans, que la sodomie pouvait procurer d’agréable sensations. Cette initiation anale a d’ailleurs fait l’objet d’un témoignage dans le magazine interstron.ru de décembre 2020.
Donc, depuis 2020 et grâce à Jérôme, Myriam est devenue une grande adepte : « L’expérience, la préparation, la douceur, c’est quelque chose de très important pour initier une personne à la sodomie. Jérôme a été parfait sur ce plan-là.
Il m’avait glissé un godemiché par-devant. »
Les sensations de plaisir furent quasi immédiates. Depuis, plus question de refuser cette pratique. Myriam apprécie aussi les jeux de langues entre ses fesses. Sa position préférée, la levrette : « Évidemment ! Je suis d’une nature assez soumise, la levrette est donc la position idéale pour moi. Quand je me fais sodomiser, j’ai la sensation de franchir un tabou et d’être complètement dominée. C’est très jouissif, aussi bien sur le plan physique que cérébral. »
Jérôme, qu’elle voyait régulièrement, arrivait à la mettre dans un état second chaque fois qu’il la sodomisait : « C’était bien plus que du plaisir. Une véritable jouissance. Hélas pour moi, Jérôme a dû déménager et je n’ai pas encore rencontré d’hommes qui me donnent autant de plaisir de cette manière. »
Nyx_Scarlett : l’orgasme anal avec une double stimulation
Nyx_Scarlett, 26 ans, est le pseudonyme avec lequel elle apparaît sur les réseaux libertins qu’elle fréquente depuis seulement deux ans. Elle habite le Gard et, elle aussi, apprécie fortement les délices de la sodomie : « J’ai aimé dès la première fois. J’avais 20 ans et mon copain de l’époque m’avait très bien préparée et l’avait fait avec une extrême douceur. Bon, au début, ça fait un peu bizarre quand même d’être pénétrée par là. Mais c’était agréable. »
Cette première expérience réussie lui a permis d’ajouter une nouvelle pratique dans ses expériences sexuelles et de la renouveler régulièrement. Elle s’est ouverte aussi à d’autres petites fantaisies anales : jeux de langues, de doigts, avec des plugs et des sextoys.
Sa position préférée : tout simplement à plat ventre avec un sextoy qui vibre sur son clitoris. C’est une condition indispensable pour un réel orgasme anal : « Je finis avec la sensation d’une double jouissance, anale et clitoridienne, ce qui est fabuleux. »
Mais sa jouissance sera encore plus intense avec le sentiment d’être totalement dominée : « Je suis d’une nature très soumise. Alors si on me fesse, si on m’attache, si on me traite avec des mots crus et un peu de brutalité… et toujours une stimulation sur mon clitoris alors là, le double orgasme anal clitoridien est quasiment garanti. »
Nasta_Zya : encore meilleur en double !
44 ans, styliste, Nasta_Zya partage sa vie entre Londres et Paris. Cela fait seulement quatre ans qu’elle fait vraiment partie du monde libertin. Elle fonctionne au gré de ses envies et des tentations qui lui sont proposées et recherche des partenaires avec un réel feeling. Sa première sodomie ? Un peu par surprise : « Mon mari s’est glissé derrière moi en se collant contre mes fesses tout en appuyant sur ma nuque pour que je sois bien cambré. Il m’a juste dit de lui faire confiance. Je ne me doutais de rien et je me suis laissé faire. J’étais déjà dans un état d’excitation très intense. »
Elle a vite compris ce qui allait lui arriver. C’était la première fois, mais elle avait très envie de faire ce cadeau à son mari : « Et je l’ai laissé me pénétrer par fantasme, par envie, par désir… Je sentais sa queue progresser, gagner du terrain centimètre par centimètre. J’étais dans un tel état que je n’avais qu’une envie : être possédée entièrement. »
Ça y est ! Le pas était franchi comme si elle perdait sa virginité une deuxième fois : « Je me souviens encore du premier orgasme anal qu’il m’a offert, la sensation était si forte, l’abandon tellement intense que nous avons joui en même temps, très fort. Je n’aurais jamais pensé obtenir mon plaisir de cette façon. »
Depuis, la sodomie est devenue une pratique assez régulière, que ce soit avec son mari ou ses amants. La levrette reste, pour elle-aussi, sa position préférée. Il lui arrive aussi de sortir en club ou dans la rue avec un rosebud entre les fesses : « La crainte de le voir tomber m’excite au plus haut point. »
Finalement, Nasta_Zya a réussi, peu à peu, à se libérer de tous ses tabous : « Je n’ai plus peur de passer pour une salope parce que j’aime le sexe. J’aime que l’on me touche, que l’on me caresse, et que l’on me pénètre au plus profond de mon corps et de mon cul. Sentir mon partenaire me pénétrer par-derrière, me posséder de la façon la plus exposée, soumise et surtout apprécier sa jouissance à cet endroit-là… C’est si excitant… Un mélange de peur et de désir, d’appréhension et de confiance. Un petit goût d’interdit qui a pour résultat des orgasmes bien plus forts que lors de pratiques plus conventionnelles. »
Pour elle, la sodomie offre un plaisir plus intense, plus complet : « En fait, je crois que j’ai l’impression de jouir avec tout mon corps, c’est un feu d’artifice et je m’envole dans les étoiles… C’est fantastique ! »
Et un plaisir qui se fait encore plus violent au cours d’une double pénétration : « En situation de double, je peux en arriver à avoir envie de hurler de plaisir. »
Son meilleur souvenir, une soirée dans un appartement où elle est accompagnée de plusieurs inconnus : « Le premier homme derrière moi, m’attrape les fesses, me bascule en avant. J’avais la croupe surélevée, les cuisses bien écartées. J’ai senti sa langue me lécher, un doigt s’enfoncer dans mon anus, puis deux. Avant de sentir sa queue s’introduire dans mon cul. »
Derrière elle, les hommes se passent le mot en chuchotant : « Elle veut qu’on l’encule. Pas par la chatte, rien que par-derrière. »
Elle ne sait même pas combien d’hommes l’ont sodomisée cette nuit-là, une bonne dizaine sûrement : « Je ne sais pas non plus combien de fois j’ai joui, mais je sais que c’est l’une des meilleures expériences que j’ai vécues. »
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