Jouer à cache-chatte

La rédaction 29 mai 2021

Lili, 24 ans, adore le coté un peu tordu de son mec. La belle super chaude quand il lui propose un nouveau jeu coquin..

Je m’appelle Lili et j’ai 24 ans. Ça fait quatre mois maintenant que je date Marco. Il mesure 1,80 m, est plutôt musclé, châtain avec les yeux verts. Je sors avec lui parce qu’il m’attire physiquement, mais son caractère me plaît moins. Il est un peu bizarre, du genre à me mentir pour des trucs sans importance. Il faudrait sans doute que j’arrête cette histoire, surtout vu ce qu’il m’a fait récemment, mais je crois que j’aime bien son côté tordu. Voici mon histoire porno. 

L’histoire s’est passée tout début septembre. On s’était peu vus durant l’été, Marco et moi. Il m’a appelée à son retour de vacances, pour me proposer qu’on se voit chez lui. J’ai dit oui, contente de savoir que j’allais baiser après un mois d’abstinence. J’avais été fidèle, j’espérais que lui aussi. Avant d’arriver à son appart’, j’ai reçu un premier SMS.

« Je suis super excité que tu viennes. J’ai envie d’essayer un nouveau truc, tu veux bien ? », « OK, mais ça dépend quoi. » ai-je répondu. Nouveau message : « C’est un jeu. Je voudrais te regarder, mais que toi, tu ne me vois pas. » J’ai demandé des précisions : « Tu veux que je ferme les yeux ? ». Sa réponse : « Non, mais je vais laisser un foulard dans l’entrée. Tu rentres dans l’appart et tu le mets sur tes yeux. Je te guiderai. J’aimerais que tu restes comme ça pendant tout le temps que tu seras là. Tu en dis quoi ? ». J’ai été surprise, mais comme je vous l’ai expliqué, Marco est un mec chelou. J’ai donc répondu que j’étais d’accord et je me suis pointée chez lui.

Dès que je suis arrivée, j’ai pigé qu’il y avait un loup. À peine j’avais passé la porte que j’ai entendu des murmures. Marco n’était pas seul. Mais j’ai tout de même fait ce qui était prévu, en me disant que ma coloc’ savait où j’étais et que je ne risquais pas grand-chose. J’ai pris le foulard posé sur le buffet de l’entrée, je l’ai mis autour de ma tête et j’ai vérifié que je ne voyais rien. J’ai crié : « Marco, c’est bon. Je suis prête ! ».

Je l’ai entendu se diriger vers moi puis me serrer dans ses bras. J’ai reconnu son odeur, sa peau… Putain, il me plaisait, ce cassos’… Nous nous sommes longuement embrassés, contents de nous retrouver. Puis il m’a prise par la main et m’a emmenée dans le salon. J’ai reconnu la pièce aux craquements du plancher. Là, j’ai laissé mon mec me guider. Lentement, il a enlevé mes vêtements, tout en m’embrassant de haut en bas. Je gémissais tellement sous chacun de ses baisers, électrisée.

C’est à ce moment-là que les choses ont dérapé… Marco s’est redressé et m’a dit : « Je vais mettre un peu de musique, tu veux ? ». Déçue que les caresses s’arrêtent, j’ai dit oui pour être polie. C’est là que j’ai entendu des pas différents, plus légers, venir du coin de la pièce, là où il y a un grand fauteuil club. Marco a allumé la stéréo, mais un peu tard. J’avais compris ce qui se tramait : le salaud avait décidé de me prêter à un pote. Bizarrement, l’idée m’a beaucoup plu.

Un inconnu m’avait regardée me faire tripoter par mon mec, il me désirait, bandait sans doute déjà très fort… Je me suis tortillée pour lui donner encore plus envie, écartant grand les cuisses.

Quand je l’ai senti avancer et poser ses mains sur moi, j’ai eu l’impression d’une morsure de désir, un truc super violent mais très sexy… J’ai gémi et laissé l’inconnu caresser mon corps, insistant sur l’intérieur de mes jambes et sur mes seins. Il est remonté jusqu’à ma bouche et j’ai suçoté le bout de ses doigts. Son odeur, plus sucrée que celle de Marco, m’a enivrée.

Quand j’ai senti la vibration de son pénis devant mes lèvres, je n’ai pas hésité. J’ai entrouvert la bouche et il s’est glissé en poussant un soupir.

J’ai sucé l’inconnu de tout mon cœur, comme si je le faisais à Marco. Je savais qu’il m’admirait en pleine action, assis dans le fauteuil. J’ai d’ailleurs bien veillé à garder les cuisses ouvertes pendants que le mec se faisait plaisir dans ma gorge, pour que ma chatte reste parfaitement visible. S’il a finalement disparu de son champ de vision, c’est parce que l’amant mystère a fini par redescendre… et a posé son gland entre mes petites lèvres. Je me suis trémoussée pour le sentir mieux. Plus je descendais le long du canapé, plus sa verge montait en moi. Au bout de 30 secondes de ce manège, il a craqué et a donné un coup de cul pour m’embrocher.

J’ai gémi… Enfin ! Après m’être retenue des semaines, je me faisais baiser comme il fallait. Mais pas par Marco, par un de ses potes bien membrés, sous ses yeux !

En quelques allers- retours, j’étais cuite. J’ai supplié l’inconnu d’accélérer, ce qu’il a fait en mêlant ses râles à mes suppliques. Je priais intérieurement pour que Marco vienne en même temps que nous et j’ai imaginé sa main sur sa queue, puis le foutre jaillir… J’ai joui, le corps de mon amant et celui de mon homme se mélangeant dans ma tête.

Après m’être remise de mes émotions, je me suis rhabillée à tâtons et Marco m’a reconduite à la porte, avant de m’embrasser. Il enlevé le bandeau et le regard qu’il a eu, valait toutes les déclarations du monde. Nous n’avons jamais reparlé de l’épisode. En tous cas, pas encore. Car je rêve secrètement de recommencer et cette fois, je voudrais que les deux potes participent, avec moi au centre…

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