Jeune fille « aux paires »

La rédaction 6 mars 2025

Tiphaine, 27 ans, nous raconte ses ébats tumultueux avec Jean-François, père de famille chez qui elle est fille au pair. On dirait qu’il n’y a pas que les enfants qu’elle doit surveiller !

Bonjour à toutes et à tous, je suis Tiphaine, j’ai 27 ans et je vais vous raconter ma tumultueuse histoire de sexe qui s’est déroulée à Montreal il y’a peu. Pour se faire un peu d’argent et apprendre l’anglais, ma sœur est partie en Angleterre en tant que jeune fille au pair. Elle en est revenue bilingue et … dépucelée ! Pour ma part, je ne suis plus vierge depuis mes dix-sept ans, mais ce genre de job m’intéressait pour améliorer mon anglais et, s’il y avait un petit plus au bout de compte, je ne disais pas non. C’est ainsi que je me suis retrouvée pour un semestre à Montréal ! Je conseille à toutes les jeunes femmes qui me lisent de faire cela au moins une fois dans leur vie !

Du sperme avalé

Je suis tombée dans une famille aisée. Elle, directrice de communication et lui, patron de sa boîte, beau comme un dieu et chaud comme la braise ! Les deux vivaient à poil la moitié du temps et Christine était souvent absente, je m’occupais des enfants tranquillement et très vite, je me suis occupée de Jean-François. Il m’a rejoint un jour sous la douche, cela s’est fait naturellement, j’avais autant envie de lui que lui de moi. Il m’a baisée debout, les mains appuyées contre la vitre et j’ai joui fort avant de boire son foutre. La suite de mon séjour a été ponctuée d’histoire de sexe plus intenses les unes que les autres.

Le dernier jour, il m’a proposé de garder un souvenir intemporel et j’ai accepté qu’il nous filme et prenne des photos pendant que l’on faisait l’amour. Je l’ai sucé, j’adore ma tête de petite bourgeoise sage avec mon bandeau alors que j’avale sa bite et que je me la fourre bien au fond de la gorge ! Il m’a ensuite déshabillée, installée à quatre pattes, de loin sa position préférée. Il avait ainsi une vue sublime sur mon derrière. Il éprouvait un malin plaisir à écarter largement mes fesses pour faire bâiller ma chatte et mon petit trou.

Quand je pense qu’on a fait ça sur le lit de leur fils !

Du BDSM soft en initiation

Il m’a initiée aux pratiques BDSM soft, attachée sur le lit conjugal, il me fouettait gentiment, me claquait les fesses, il était fou de mon petit cul ferme. Mon jean n’était pas totalement baissé qu’il glissait déjà sa grosse « graine » (un des noms pour la bite en québécois) dans mon vagin serré ! Cette queue, elle m’a rendue folle de plaisir. Longue et rasée de près, elle m’a fait grimper au rideau par tous les orifices. Jean-François m’a tirée jusqu’à ce que j’aie le cul en dehors du lit et il a repris sa pénétration, debout, bien stable. Ses coups de reins m’ont fait fermer les yeux, ma mouille lubrifiait à foison son beau chibre, je n’ai eu qu’à effleurer mon clito et l’orgasme est arrivé ! J’ai joui en mordant l’oreiller et en gémissant un « C’est trop bon … encore, encore ! ». Ces injonctions avaient le don de le stimuler à l’extrême, je sentais instantanément sa queue prendre du volume et la fierté dans son regard, alors qu’il me mitraillait le popotin, sa pine toujours fichée en moi.

Il m’a demandé de me retourner et de baisser les bretelles de mon top pour voir mes totons (mes nichons). Il en a happé les bouts et m’a fait mouiller derechef, il avait très vite découvert que mes mamelons étaient un point hyper sensible de mon anatomie. Une fois, il m’a emmenée au cinéma, autant vous dire que je ne sais même plus quel film nous sommes allés voir. Il a passé deux heures à me tortiller les aréoles et les tétons, j’ai joui juste en serrant mes cuisses, mon bourgeon pile sur la couture de mon jean slim !

Encore et encore

Il a pris quelques photos de mon sexe et de mon cul en gros plan, cela aussi a eu le don de raffermir encore un peu plus son érection. Il m’a soulevé les jambes et s’est glissé entre, à genoux, sa queue est entrée en moi centimètre par centimètre, il la ressortait régulièrement pour en faire coulisser lentement la hampe sur toute ma fente huileuse et taquiner mon clitoris. Il m’a ensuite baisée comme j’aime, longtemps, en massant ma perle avec son pouce. Cette sensation de vide lorsque son membre s’échappait de mon vagin pour mieux me remplir de nouveau avec une langueur calculée, je n’ai pas été longue à jouir une fois de plus.

Puis il s’est installé à califourchon au-dessus de ma poitrine. Il a joué encore avec mes seins tout en m’intimant l’ordre de le sucer. Lui aussi a été rapide à venir dans ma bouche, il me l’a emplie de sperme onctueux à souhait. J’ai avalé tout son sirop d’érable sucré.

Mais monsieur bandait toujours après avoir éjaculé, alors je l’ai supplié de me défoncer le petit. Jean-François a basculé mes chevilles de part et d’autre de ma tête, a craché sur ma pastille et m’a enculée jusqu’à la garde ! Cette sodomie a été la meilleure de ma vie, j’ai pris un pied terrible et lui a joui une seconde fois, balançant sa purée au fond de mon anus ouvert.

Voici comment s’est déroulée l’une des histoires de sexe qui m’a le plus émoustillée.

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