Elle voit double

La rédaction 6 mars 2025

Pour célébrer Noël, Noëlle justement, a décidé de voir les choses en grand en s’accordant un cadeau de choix. Au programme, pas une mais deux belles bûches pour un merveilleux réveillon dans le fion. Mais avant de partir, il faudra vraiment jouir… Comme disait Charles !

Les fêtes de fin d’année ! Quelle joie lorsqu’on est en famille, mais ce n’était pas le cas pour Noëlle. Un problème professionnel l’avait éloigné de la sienne pour les festivités et le réveillon s’annonçait bien triste à distance des siens. Heureusement, quand elle a demandé à Sergio et à Olivier, deux collègues, s’ils avaient quelque chose de prévu de leur côté, elle comprit à leur réponse négative qu’une célébration absolument inoubliable se profilait.

C’est ainsi qu’après un dîner plaisant, le trio s’était réfugié chez Sergio. Comme pour toute nuit de la nativité qui se respecte, les garçons déballèrent leur cadeau. La robe en strass de Noëlle ne fut qu’une formalité à enlever. Puis ce fut au tour de Noëlle de découvrir ses présents, les pantalons de ces messieurs prirent la même direction et deux belles bûches firent leur apparition. Elle allait tout faire pour savoir quel goût avait leur crème, c’est tout de même le meilleur !

C’est seins nus, uniquement vêtue d’un sautoir qui rehaussait la beauté de sa poitrine, qu’elle s’agenouilla entre ses soupirants pour saisir les deux queues dressées. Par laquelle entamer ce festin ? La droite ou la gauche ? Pour ne pas qu’il y ait de jaloux, elle accola les deux glands l’un contre l’autre et enfourna les deux d’un coup dans sa bouche !

Une rapide œillade pour voir la réaction de ses amants la rassura, aucun des deux ne semblait voir d’inconvénient à ce que son sexe soit en contact avec celui de son comparse. Mais une pipe digne de ce nom se doit d’être unique. Noëlle finit donc par abandonner sa technique et suça chacun des deux garçons l’un après l’autre, les gratifiant des mêmes jeux de langues et de la même qualité d’aspiration et de léchage de leur hampe.

Sergio était sensible des boules, elle concentra son travail de gobage de couilles sur Olivier sur qui cette approche avait le plus solide effet. Celui-ci fut le premier à inviter Noëlle à s’allonger sur la banquette molletonnée, la queue de Sergio toujours en bouche, elle se laissa écarter les cuisses. La fraîcheur de la pièce vint caresser divinement sa petite chatte toute lisse. Sa mouille était déjà abondante, elle finit par s’écouler à profusion dès qu’elle sentit la langue d’Olivier à son contact.

Fichtre, le garçon était doué, pensa-t-elle en son for intérieur. Elle avait connu bien des cunnilingus dans sa vie amoureuse, mais cet homme avait de l’or dans la langue et dans les doigts ! Sûr de lui, il ouvrit les nymphes déjà glissantes tant la cyprine débordait de la fente sensuelle, index et majeurs collés et bien droits. Il foudroya le sexe féminin, se frayant un chemin dans un vagin brûlant et extrêmement étroit.

Noëlle était aux anges. Affairée à sa fellation qui lui donnait du fil à retordre, tant l’engin qu’elle lutinait avait pris du volume, elle défaillait tout à la fois, en effet, ce qui se déroulait entre ses jambes la comblait d’aise. Elle en concevait même quelques difficultés à se concentrer sur sa friandise. Il fallait qu’elle trouve une parade.

Coquine, elle rejeta la tête perdue tout contre son con, se leva d’un mouvement gracile et vint, très souplement, présenter son cul à son lécheur. Reprenant son jouet en bouche, cette fois-ci, ce fut son anus délicatement velouté qui fut la cible des vibratos mouillés.

Contrairement à ce qu’elle avait espéré, le résultat de son opération la propulsa vers son premier orgasme, Olivier n’ayant pas hésité une seconde à lui manger la rondelle avant d’introduire des phalanges roides dans tous ses orifices naturels ! Mais après tout, cette fête n’était-elle pas synonyme de cadeau et de lâcher-prise ? Après le reflux de cette première marée de plaisir, elle offrit, en retour, un accès complet à ses appâts désormais totalement dévoilés.

Sergio semblait ne plus jamais envisager que sa fellation s’arrête, mais Olivier, lui, désirait d’autres folies et, tandis que Noëlle jouait avec ses cheveux comme avec du bolduc autour de la pine qu’elle prenait en bouche tel un gros sucre d’orge, il pénétra la belle brune en un seul coup de reins.

Le trio continua ainsi un moment, « mère Noëlle » toujours bien servie par une pine qui ne débandait pas entre ses lèvres, la seconde lui ravageant le bas-ventre dans des mouvements de plus en plus amples et carillonnants.

Lorsqu’elle voulut changer de position, elle vit le regard lubrique et coquin de celui qui la baisait.

Minuit approchait et visiblement le polisson souhaitait « ouvrir » un second cadeau. Se lovant sur le corps musclé, elle enfourcha le torse imberbe tout en prenant garde de ne pas planter l’un de ses hauts talons dans les couilles de son amant, et, lentement, abaissa ses hanches tout en ­saisissant le membre viril recouvert de sa cyprine au parfum léger de poivre du Sichuan et de cumin.

Elle n’hésita pas une seconde et glissa ses doigts dans sa bouche, ces derniers prirent alors la direction de son anus où elle les enfila pour lubrifier ce petit trou rarement visité. Le gland d’Olivier suivit le même chemin et Noëlle s’encula sur toute la longueur de la queue tout en reprenant celle de Sergio au fond de la gorge.

Chute de reins cambrée à l’extrême, mamelons titillés par la main de l’homme qu’elle suçait et tété par celui qu’elle chevauchait, le plaisir ne pouvait qu’être au rendez-vous pour Noëlle et c’est en tremblant de tout son corps qu’elle accueillit son second orgasme ! Cette fête qui s’annonçait triste se transformait en un évènement inoubliable et les cadeaux qu’elle avait au pied du sapin étaient définitivement les plus fous et les plus jouissifs qu’elle ait jamais eus !

Sergio finit tout de même par craquer devant tant de sensualité, lui aussi voulait profiter des orifices d’amour de cette amante au tempérament de feu.

Il fut accepté au sein du canapé, Olivier lui laissa la place de choix et s’allongea pour recueillir la silhouette légère de Noëlle, son épais pieu se glissa dans l’anfractuosité hospitalière de sa chatte tandis que Sergio, campé juste derrière entre leurs cuisses entremêlées, poussait son propre vit dans l’œillet désormais dompté, aidant la manœuvre par un rapide léchage de l’anneau.

Pour Noëlle, il s’agissait de sa première double pénétration. Elle n’était que réceptivité à cette heure, concentrée sur ce que son corps lui envoyait comme informations et tout cela était divinement confus.

Par devant, le pénis qui la possédait semblait plus volumineux, il frottait avec toujours plus d’acuité sur les parois de son vagin, ses nymphes étaient écartelées au maximum et son bourgeon sensible se frictionnait, entêté, sur le pubis heureusement lisse, sa cyprine lubrifiant tout tant elle mouillait.

Par derrière, la queue de Sergio, sans doute encore plus imposante que celle d’Olivier, lui dilatait le puits du péché.

Elle sentait son sphincter chauffer et son muscle anal s’ouvrir de plus en plus, sans douleur, sans désagréments … Elle ne s’attendait pas au résultat de cette combinaison, elle avait déjà joui par le petit trou, mais être remplie à ce point par devant et par derrière décuplait ses sensations.

L’orgasme qui se déclencha en elle à cet instant fut comme une explosion !

Né simultanément au creux de sa matrice et au tréfonds de son anus, la boule de feu prit de l’ampleur, grossit, grossit … encore et encore, pour éclater dans un big-bang interne et silencieux, irradiant dans tout son être, de ses orteils jusqu’à la racine de ses cheveux.

Lorsqu’elle revint à la réalité, elle se surprit à être en train de crier, elle qui pensait n’avoir pas émis un son, elle s’était totalement lâchée, à en griffer les épaules d’Olivier.

Épuisée, elle se laissa glisser sur le parquet devant le sofa et invita ses amants à revenir profiter de ses talents buccaux. C’est une double fellation qui reprit avec maestria, la petite tête de poupée virevoltant de gauche à droite, attrapant un gland l’abandonnant pour aspirer l’autre, se lovant en dessous des attributs masculins pour admirer et gober les boules qui ornaient ces deux beaux épicéas de chair et de sang.

Elle voulait leur coulis, elle désirait boire leur nectar jusqu’à la dernière goutte.

Les garçons l’aidèrent alors en se masturbant, profitant de la proximité des seins bandés pour les malaxer et les pincer au passage. Les premières grimaces annonciatrices firent leur apparition, Noëlle ouvrit grand la bouche et reçu au fond de la gorge le petit Jésus en culotte de velours.

Déglutissant ce qu’elle pouvait de ces deux geysers, elle en avala le maximum, le reste venant napper sa poitrine comme un voile de neige sur sa peau diaphane

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