Mission soumission

La rédaction 5 janvier 2025

Voici mon histoire de sexe amateur. Mariée depuis vingt ans, j’ai un amant ! Je suis affamée de sexe et ma gentille moitié n’est pas à la hauteur de mes attentes, encore moins de mes fantasmes. Il m’a donc donné son blanc-seing pour que j’aille me faire plaisir ailleurs. Le premier a été le bon, Richard est un baiseur fabuleux, doublé d’un dominant à l’imagination débordante lorsqu’il s’agit de gaudriole !

Un amant dominant

La dernière séance a été des plus hard, monsieur a pris soin de tout photographier afin de faire partager notre expérience. J’ai dû sonner chez lui entièrement nue sur le palier, simplement vêtue d’un collant noir, mes affaires pliées sur le paillasson, moi à genoux, la peau agressée par les picots rêches du tapis.  J’ai frémi par deux fois en entendant l’ascenseur se mettre en marche, par bonheur personne n’a débarqué à son étage ! La porte s’est ouverte et Richard m’a immédiatement apposé un bandeau sur les yeux et je me suis retrouvée dans une obscurité absolue.

J’ai senti le métal froid du collier dont il a ceint mon cou, puis le bruit de la chaîne de la laisse et j’ai été promenée dans son appartement à quatre pattes. J’ai deviné qu’il prenait des photos, car à plusieurs reprises il m’a intimé l’ordre de ne plus bouger et de garder la pose.

L’excitation s’est emballée dans mon cerveau comme dans mon bas-ventre, le nylon du collant s’est retrouvé trempé par une mouille abondante, c’est l’instant que mon maître a choisi pour le déchirer à l’entrejambe afin de libérer l’accès à mon sexe. Il m’a enfilé des cuissardes en vinyle et m’a bâillonnée tout en enfonçant dans ma bouche la boule en inox d’un plug « queue de cheval ». La séance allait être dantesque, j’en ai alors eu la certitude.

Une fois le jouet bien sucé et correctement lubrifié, Richard l’a introduit dans mon cul. Mon sphincter s’est soumis de bonne grâce à cette intrusion et j’ai eu, cette fois, les poignets attachés dans le dos, m’empêchant ainsi de me tenir à quatre pattes, le visage plongé dans l’épaisse moquette de la pièce où nous nous trouvions. Ses mains m’ont aidée à me redresser et il a déposé de la salive sur mes aréoles, j’ai su dans l’instant ce qu’il allait me faire. La première ventouse s’est plaquée sur mon mamelon gauche, la petite pompe a été actionnée et mon téton s’est gonflé et allongé dans le tube de verre, douleur lancinante et coulure de mon sexe, encore. Tant de plaisir se cache au fin fond de la souffrance.

Fellation et pénétration

Après quelques bons coups de lanières de cuir sur mon fessier pour qu’il se teinte d’un carmin vibrant, j’ai été détachée et il m’a ordonné de ramper à l’aveugle jusqu’au mur en face de moi afin d’aller simuler une fellation sur un gode collé à la paroi par une ventouse. Je m’attendais à ce qu’un goût de latex envahisse ma bouche, il n’en a rien été, Monsieur avait dû se servir du jouet avec une autre femme quelques heures avant, car je percevais nettement les fragrances d’un autre vagin que le mien et même, sans doute, des relents poivrés de son anus.  Une fois le dong nettoyé de toute souillure, j’ai dû continuer de le sucer avec cette fois, une seconde copine de jeu, le membre de Richard. Aussi gros ou presque, j’ai pompé alternativement l’appendice artificiel et la vraie bonne grosse tige de mon maître.

Réinstallée sur le canapé, j’ai reçu l’ordre d’écarter les cuisses et de tenir mes jambes bien haut. J’ai obéi et attendu la suite avec des frissons qui m’ont donné la chair de poule. Sa longue bite au pubis généreusement orné d’une jolie pilosité blonde s’est alors enfoncée en moi, enfin ! Ma récompense après d’interminables instants de sévices et de châtiments corporels, mais c’était sans compter sur son esprit retord. Une dernière pompe est venue se poser sur mon clitoris bandé. Quelques pressions sur la poire en caoutchouc et mon bourgeon a été aspiré dans un fin tube de verre. J’ai compris, à rebours, pourquoi Richard m’avait imposé une épilation intégrale du maillot !

Mes seins pulsaient, mon bouton me faisait mal à chacune de mes pulsations cardiaques, l’afflux de sang dans ma perle me coupant le souffle, le reflux me transperçant d’aiguillons de plaisir. J’ai joui sans même qu’il ne me lime ne serait-ce qu’une seule fois !

Le final s’est fait plus librement, mon harnachement a été retiré, j’ai recouvré la vue et c’est en levrette et par le cul que Richard m’a possédée une dernière fois. Enculée jusqu’à la garde, j’ai eu un orgasme libérateur et j’ai pu crier mon extase autant que je l’ai voulu. J’ai recueilli le sperme de Richard dans la bouche et j’ai tout avalé avec gourmandise avant de rentrer auprès de mon petit mari docile.

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