ma première soirée BDSM en tant que femme soumise

Donjon, don joncs !

Je voulais depuis longtemps assouvir un fantasme pas très politiquement correct, celui de me soumettre à plusieurs hommes dominants en même temps.Voici mon histoire de sexe.

Je voulais me faire bourriner avec des grosses queues. J’en ai parlé à mon mec, avec qui je n’avais pas trop fait ça auparavant. Il était un peu perplexe au début, et puis finalement, il s’est laissé le temps d’y réfléchir et il en a nourri lui-même de l’excitation. Il m’a proposé de m’emmener dans un donjon BDSM dont il avait entendu parler, fréquenté par la fine fleur du milieu. Il se préparait justement là-bas une soirée “soumises”, où les femmes comme moi pourraient trouver leur bonheur dans les bras de mecs dominants. Avec lui, je me sentais suffisamment en sécurité pour franchir ce cap. Il serait le garant de mon intégrité physique et le cadre BDSM garantissait un minimum d’attention au consentement. Je me suis donc parée de mille feux en prévision de ma première soirée BDSMen tant que femme soumise. J’étais bien sûr un peu nerveuse, mais dans l’ensemble très excitée à la perspective de me faire tringler sans ménagement dans un donjon avec des brutasses bien montées.

Je me suis préparée en revêtant un très beau corsage noir, des porte-jarretelles assortis, des talons et même un bandeau pour m’obstruer la vue et augmenter mes sensations si besoin.

Nous sommes arrivés au donjon. La déco était rococo, il y avait des sofas partout et des banquettes recouvertes de dentelle ou de satin. Les hommes avaient un petit air pervers, mais bienveillant. En tout cas, personne n’approchait personne sans son accord explicite. Mon mari m’a baladée en laisse comme je le lui avais demandé, au milieu de tous ces mecs qui me déshabillaient du regard. Je ne m’étais pas trompée sur mon fantasme, car je ressentais déjà le feu du désir qui me cramait l’entrecuisse. Nous avons paradé au milieu de tout ce beau monde et je sentais que l’on m’admirait pour ma beauté et ma servilité. Ce désir pour moi n’a fait qu’amplifier le mien.

Trois hommes pour mon premier BDSM

Mon mec m’a embrassée tout en tirant sur ma laisse. Ça m’a excitée. Il m’a murmuré : “Je vais te détacher, tu vas choisir tes proies, qui vont se mettre à ton service. Après, je te banderai les yeux et je te prendrai en photo pendant que tu subis leurs sévices.” J’en dégoulinais de plaisir par anticipation.” J’ai fait mon petit tour de piste et je lui ai désigné les mecs que je voulais. C’est lui qui était ensuite chargé de leur proposer de jouer avec nous, en leur expliquant ce que je voulais et ce que je ne voulais pas. Personne n’a refusé. Je ne voulais pas les regarder frontalement, je voulais vraiment vivre cette expérience sensorielle au plus profond de ma chair. J’ai alors mis le bandeau sur mes yeux avant d’être manipulée par toutes ces mains dont je ne savais pas à qui elles étaient. Je ne savais pas quelle caresse allait venir, ni par quel bout de mon corps, et je ne savais pas non plus où s’abattraient les gifles. “Alors, il paraît que tu veux te faire rosser, ma belle ?” a murmuré une voix inconnue à mon oreille.

J’ai gémi de plaisir. Trois hommes se sont mis à s’occuper de moi. L’un m’a craché dessus, l’autre m’a fessée, un autre m’a tendrement étranglée (tout ceci à ma demande préalable). Pendant ce temps, un autre stimulait mon clitoris jusqu’au bord de l’orgasme et s’arrêtait systématiquement juste avant que je jouisse. Il avait l’air expert dans l’art de l’edging, le fait de s’arrêter juste avant l’explosion. Je sentais le plaisir gonfler comme une boule de feu dans tout mon corps. Les fessées et les caresses se répondaient, comme un ping-pong charnel extrême. Plongée dans le noir à l’aide du bandeau, j’étais au coeur de mes sensations comme je ne l’avais jamais été. Malgré leurs gestes, tout était étrangement tendre et respectueux. J’ai ensuite commencé à me prendre toutes leurs bites dans mes orifices. Devant moi, une queue bien raide et douce que j’ai prise dans ma main pour la gober. Derrière moi, un homme me prenait en levrette. J’étais remplie d’eux, exactement ce que je désirais, et je me sentais pleine de vie. Mon corps caressé par la dentelle de mon costume se faisait soulever sans discontinuer, et j’adorais ça. Jesuçais fort les bites qui passaient, pendant que je me faisais tringler par-derrière dans une levrette claquée intense, et c’était exactement la vigueur dont j’avais besoin pour cette expérience unique.

J’entendais mon mec qui faisait des photos en attendant, sans avoir aucune idée de ce que ça pourrait bien donner. J’étais curieuse… Puis je me suis retrouvée à califourchon sur l’un de mes dominants, avec une bite dans ma chatte et une autre derrière moi qui est venue se planter dans mon cul. Le brasier a grandi entre ces deux pénétrations intenses, et je n’ai pas pu retenir la jouissance, née de la virulence de cette étreinte. Pour finir, j’ai retiré mon bandeau et je leur ai redistribué cette jouissance en les suçant un par un, tout en branlant les deux autres, jusqu’à recevoir une pluie de foutre sur mon corps endolori. Mon mec m’a récupérée dans un état second, mais heureuse. Il m’a caressée et câlinée tendrement.

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