Les baiseuses d’Ibiza
10 octobre 2025
Je viens de rentrer de vacances et je peux vous dire un truc, les amis : c’est pas demain que je vais oublier ce séjour. Pourtant, c’était mal barré. À la base, je devais partir à Ibiza avec mon meilleur pote, Dédé. On avait tout calé : bringue, rhum-coca, nanas, couchers du soleil et gueules de bois. Mais ce gland, ce blaireau fini, il a raté l’avion. Ouais. Il a confondu l’heure, s’est pointé à Orly comme une fleur, le vol était déjà en l’air, avec moi dedans. J’étais vert. Du coup, j’y suis allé tout seul. Pas envie d’annuler. Et franchement, Dieu, le destin, ou je sais pas quoi, a bien fait les choses. J’ai pas mis trois heures à comprendre que j’allais passer les vacances de ma vie. Peut-être même de ma putain de vie. Voici mon histoire de sexe érotique.
Un couple de voisine du tonnerre
On avait loué un petit appart dans une résidence sympa, avec vue sur la mer. Une terrasse commune, du carrelage chaud sous les pieds, les grillons qui chantent, et le petit bruit des vagues en fond. Bref, même sans Dédé, je me suis dit : « C’est carré. » Et puis j’ai vu les voisines. Deux bombes. Deux blondes. Deux Suédoises au corps de rêve. Une grande, bronzée, petits seins, un physique de pub pour l’huile solaire des années 80. L’autre un peu plus pulpeuse, avec des nibards à damner un saint et un regard à te faire bander sur place. Oh, et le détail qui tue : elles sont en couple. Je pensais mater de loin, discrétos. Mais non. Ces nanas, elles s’en foutaient royalement que je sois là. Elles s’embrassaient sur la terrasse en maillot de bain, elles se pelotaient la chatte par-dessus la culotte…. J’en revenais pas. Moi, je sortais ma bière et mes chips, je faisais mine de regarder la mer… Mais j’avais les yeux rivés sur leur show permanent. Une semaine d’excitation permanente et un peu un supplice, je vais pas vous mentir, parce que la branlette, ça va cinq minutes.
Un soir, je rentrais d’un resto où j’avais un peu picolé, je passe devant leur porte… Et là, c’est ouvert. Comme ça, grand-angle. Je rentre, et dedans, spectacle de fou. Les deux sont à poil, la grande allongée, l’autre la tête entre ses jambes. Ça gémit, ça lèche, ça respire fort. Et moi ? Cloué. Laisse tomber, j’étais pétrifié, la bite dure comme un manche à balai. Je les ai regardées comme un chien devant la vitrine du boucher. Le pire, c’est qu’elles m’ont tout de suite vu, ces deux garces ! Mieux : elles m’ont regardé. Et d’un signe de la main, bim, la grande m’a fait comprendre : « Tu restes là. Tu regardes, mais tu touches pas.» J’ai obéi et j’ai juste maté tout le truc. C’était magnifique. À la fois sensuel, brutal, mouillé, sexy… Celle aux plus gros seins hurlait, pendant que la langue de sa copine la travaillait comme une machine à laver. Obligé de serrer les poings, mais j’avais qu’une envie : m’en mêler. Un nouveau regard de la grande m’a calmé net. J’étais toléré, pas invité.
Le lendemain, j’étais hyper frustré, mais content comme jamais. Je me disais : « Bon, t’as pas trempé la nouille, mais t’as au moins des souvenirs plein la tête. » C’était mon dernier jour avant le départ d’Ibiza et j’avais prévu un p’tit apéro solo, en mode adieu les princesses. Ce fameux dernier soir, je rentre à la résidence après la plage, bien chaud, bien prêt à mater. Les Suédoises sont sur la terrasse, juste en culotte de maillot, l’une assise avec ses grandes guiboles croisées, l’autre debout à prendre le soleil, nichons face caméra. Elles me voient débarquer, elles se marrent. Sans prévenir, la grande me fait un petit signe du doigt et me lance un truc, genre : « Viens, mon mignon ! », mais en suédois.
Trio gagnant
Je croyais rêver. J’ai lâché mon sac, traversé la terrasse au petit trot et elles m’ont laissé les suivre jusqu’à la porte de chez elles, comme si c’était entendu entre nous. Une fois dedans, elles se sont direct mises à poil. Pas un mot, juste des regards de chiennes en chaleur. La pulpeuse m’a embrassé direct, à pleine bouche, après avoir demandé l’accord d’un coup d’œil à sa copine. Sa langue s’est enroulée à la mienne, j’ai senti ses seins contre mon torse et ses mains sur ma queue déjà raide. La grande s’est glissée derrière moi, elle m’a caressé la nuque, le dos, et puis, sans prévenir, elle a foutu sa langue sur mon oreille. J’étais comme un ouf, j’ai pensé à Dédé qui ratait ça… Tant pis pour toi, mon con ! Les deux m’ont aidé à me déshabiller en rigolant, puis elles m’ont poussé sur le lit.
Je vous passe les détails techniques. Quoique non, je vais pas vous en priver ! Elles m’ont sucé à deux, en se passant ma bite comme un bonbon bien visqueux. Je savais plus où donner de la caboche, entre leurs lèvres douces comme du velours, leurs mains partout, leurs baisers entre elles, puis à nouveau sur mon chibre…. J’aurais dû prendre plus de photos, mais que voulez-vous : ça faisait des jours que j’attendais ça ! On a baisé pendant deux heures. En duo, en trio, dans toutes les positions. Je les ai prises l’une après l’autre, parfois en même temps, l’une empilée sur l’autre, et que je te pine la grande, et que je fourre sa copine… Elles gémissaient comme des chattes en furie, l’une jouissait, l’autre voulait que je lui mette la même chose… Heureusement que je suis endurant (et aussi, que je m’étais pignolé tous les soirs en pensant à elles), parce que j’avais deux sacrées gloutonnes en face de moi ! Elles m’ont vidé, au sens figuré et au sens propre. Au bout de deux plombes à les limer, la pulpeuse a parlé à sa copine dans sa langue, puis elle s’est mise à quatre pattes sur le lit pour me faire la pipe du siècle avec finition bien avalée s’il-vous-plaît !
Le matin, je suis parti sans bruit. Les bombasses dormaient l’une dans les bras de l’autre au milieu des draps en vrac, leurs cheveux emmêlés, l’air hyper heureuses de leur coup. J’ai laissé une petite note :« Merci pour tout, votre French boy. » Moralité ? Faut pas hésiter à profiter des vacances, même quand ça pue au départ. Allez, je file, j’ai une histoire à raconter à ce couillon de Dédé !
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