Extase entre les étages
12 septembre 2025Julia, 25 ans, Rennes
Voici mon histoire de sexe amateur. Il y avait depuis quelques jours, dans mon immeuble, un homme qui réparait l’ascenseur. Impossible de l’éviter, il investissait l’espace. C’était un jeune homme noir, super charismatique, et je louchais sur lui comme une chatte en chaleur !
Fantasme de triolisme
J’en ai même parlé à mon compagnon, Vincent, et nous avons caressé ensemble l’idée de trouver un moyen de l’inviter dans l’appartement afin de le séduire. C’est devenu un petit scénario fantasmatique entre nous… Ce jour-là, je l’ai vu par la cage d’escalier. Accroupi devant les câbles, concentré, les bras enfoncés jusqu’aux coudes dans le ventre de l’ascenseur, il ne m’a pas remarquée tout de suite. Je me suis accoudée à la rambarde et j’ai laissé traîner ma voix dans le vide, presque comme un jeu. « Vous voulez un verre d’eau ? Ou… quelque chose de plus fort ? » Il a levé la tête. Pendant un instant, il m’a regardée sans rien dire. Puis il a esquissé un sourire. « Pourquoi pas. S’il n’y a pas de piège. » J’ai ri. Pas pour le rassurer, mais parce que j’aimais déjà cette tension-là. « Je m’appelle Julia. Et lui, c’est Vincent, mon compagnon. Il est en train de servir l’apéro. » Mon homme l’a salué depuis le pas de la porte.
Je n’ai pas attendu sa réponse. Je suis remontée sans me presser. Je savais qu’il viendrait. Ou plutôt, j’espérais qu’il aurait la curiosité de venir. Ce n’était pas prémédité, pas vraiment. Mais depuis que l’ascenseur était tombé en panne, quelque chose s’était mis en mouvement entre Vincent et moi, et j’espérais que notre fantasme se réaliserait. Dans l’appartement, Vincent avait déjà sorti trois verres. Adrien est arrivé et nous avons échangé des banalités. L’homme nous regardait avec curiosité et semblait commencer à voir plus clair dans nos intentions. Je pense qu’il n’était pas bête, et lui-même tenté, car son sourire s’élargissait. Après quelques verres et alors que la discussion était de plus en plus complice, Vincent s’est mis à me caresser la cuisse. Adrien a fixé sa main qui glissait sur ma peau lisse. Sans détourner les yeux mon conjoint a demandé : « Tu veux toucher ? ».
La conversation avait pris une tout autre tournure. Incité par un signe de la main de Vincent et mon hochement de tête, Adrien est venu sur le canapé s’asseoir à côté de moi. « Je peux toucher aussi ? » a-t-il demandé. J’ai dit oui, aux anges. Mon homme et le Adrien se sont mis à me caresser les deux cuisses en même temps, chacune la sienne, et à faire remonter ma jupe sur mes jambes, jusqu’à ma culotte, pour se mettre à effleurer mon sexe. J’étais frémissante, j’ai écarté les cuisses en grands. Leurs mains sont venues me caresser de concert. J’ai fermé les yeux. Adrien a commencé à me doigter et mon compagnon Vincent l’a guidé, en lui montrant sans parler les gestes que j’aimais. Je ne pouvais que gémir, emportée par la sensualité de ce moment. Vincent est allé chercher notre appareil photo. Je savais qu’il avait toujours voulu me voir aux mains d’un autre homme. Le flash s’est mis à crépiter. J’étais dans le canapé, le dos cambré en arrière, jambes ouvertes, paupières closes. Adrien a glissé entre mes cuisses pour me lécher. Je sentais la peau de ses joues contre celle de mes cuisses.
Couple ouvert et candaulisme
Mon excitation était à son paroxysme, je n’aurais jamais cru que notre fantasme se réaliserait. J’ai profité longuement de ce moment avant de me laisser aller complètement et d’accueillir un orgasme long et profond. Les hommes étaient patients, comme fascinés. Quand j’ai enfin rouvert les yeux, je me suis levée pour me mettre nue et déshabiller Adrien, révélant sa peau d’ébène. Je l’ai emmené par la main dans la chambre conjugale, Vincent sur nos talons. Et là, nous y sommes allés sans retenue. Je me suis agenouillée pour le sucer, sa queue était un délice de douceur. Il bandait comme un fou et il m’a prise sur le lit. J’étais sur le dos, à sa merci, et lui à demi couché entre mes jambes. Il est entré en moi pour limer ma chatte. J’ai pris ses mouvements de queue avec la plus grande joie, des frissons me remontaient le long de l’échine. Il m’a baisée avec force, et moi j’étais de nouveau cambrée, les yeux fermés, gémissant sous l’objectif de l’appareil de mon mec qui nous photographiait. Il s’est défoulé sur ma chatte, me remplissant comme jamais, mais je fais partie de ces femmes qui aiment la sodomie et pour qui le cul est une zone éminemment érogène. Je me suis retournée, lui offrant mon meilleur profil.
Mon mec n’en pouvait plus de me voir prise ainsi par cet inconnu. Je voyais sa bite raide et tremblante tandis qu’il m’aidait à me mettre à quatre pattes sur le lit. Nous avons bien préparé le terrain, je me suis masturbée en frottant mon clito et en me doigtant en même temps, pendant qu’Adrien massait mon cul. Il me stimulait et faisait jouer ses doigts sur ma rondelle avec du lubrifiant, jusqu’à me pénétrer. J’en criais de plaisir dans l’oreiller. J’implorais qu’il vienne et il a enfin approché sa queue pour me sodomiser. Il a procédé d’une façon douce et langoureuse car, oui, c’est possible d’être très doux avec une sodomie. J’ai adoré cette fusion de nos corps, dont mon amoureux n’a pas raté une miette. Au gré des va-et-vient, j’ai senti son chibre gonfler encore dans mon fondement jusqu’à sa reddition qui m’a rempli le cul.
À ce moment-là, j’ai, l’espace d’un instant, espéré que l’ascenseur ne serait pas réparé de sitôt !
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