Je suis candauliste !

La rédaction 5 juillet 2021

Avec ma compagne Amélia, nous avons voulu jouer à un petit jeu pour raviver la flamme entre nous. Nous sommes très amoureux depuis plus de dix ans, mais nous avions comme tous les couples, je pense, quelques baisses de désir qui nous posaient question. Amélia avait envie de se taper un autre mec, mais surtout pas dans mon dos. J’ai réalisé quand elle m’en a parlé que l’idée, loin de me rendre jaloux, m’excitait beaucoup. D’ailleurs, pendant qu’elle me parlait de comment son amant la prendrait, je me suis mis à bander comme jamais et nous avons baisé comme des fous après ça. En voyant l’effet que ça avait sur moi, elle m’a proposé de se taper le mec en question devant moi. L’effet que me faisait l’idée de la voir grimper aux rideaux avec un autre ne faisait que confirmer tout le désir que j’avais pour elle et mon souhait de la voir épanouie. J’ai dit oui tout de suite, mais je voulais que l’homme soit différent de moi. Je m’appelle Farid, j’ai 42 ans et voici mon histoire porno.

À la recherche de l’amant

Je suis d’origine maghrébine et je sais qu’elle craque sur les bruns à la peau hâlée comme moi. Mais je préférais qu’elle se tape un Blanc, un roux ou autre, quelqu’un qui ne me ressemble pas. Elle était tout à fait d’accord et elle a cherché le premier péquin qui mordrait à l’hameçon sur une appli de rencontres. Il y avait de quoi faire car avec le confinement, les mecs étaient encore plus en chien que d’habitude ! Elle a un peu choisi le premier qui lui paraissait potable. Elle avait surtout envie de quelqu’un qui pourrait l’exciter et ce mec-là avait de la répartie dans les échanges par textos et des mots qui la branchaient bien sur ses désirs et ses pratiques. Il était tout à fait ok que je les regarde, ça lui faisait même plaisir d’aider à relancer notre couple. Grand seigneur, quoi ! Le jour J a fini par arriver. Nous avions choisi d’aller chez lui où il avait une chambre mansardée, au calme. Ça nous changeait aussi un peu de cadre et ça nous excitait de ne pas savoir à l’avance où nous allions mettre les pieds.

Grand seigneur !

L’homme, Hervé, nous a tout de suite mis à l’aise et nous avons vraiment eu un coup de cœur pour lui. On s’est dit qu’il pourrait presque être notre sexothérapeute de couple, avec la mise en pratique comme cerise sur le gâteau ! Après un dîner très agréable, nous sommes montés dans sa chambre. Amélia a demandé à ce que je photographie tout pour documenter ce moment tant attendu. Il était plus que ok, fier de s’exhiber sur les photos avec ma magnifique femme, une trentenaire blonde toute fine et grande, très sexy. Elle a d’abord voulu nous faire un petit show pour se mettre dans le bain et elle a commencé à effeuiller ses vêtements pour se retrouver en string. Elle avait bien choisi sa lingerie, avec des bas-résilles, un minuscule string noir et un caraco de soie assorti. Elle s’est déhanchée devant nous, qui étions assis en face d’elle, bombant les seins et arquant son cul pour nous donner l’eau à la bouche. Ça n’a pas loupé et Hervé était complètement sous son emprise. Elle s’est mise à quatre pattes et a joué avec son string pour l’écarter et dévoiler progressivement sa chatte. J’ai commencé à la prendre en photo dans cette posture de féline qui nous faisait la danse de l’amour, avec sa petite vulve parfaite et si bien faite dont le rose ressortait encore plus entre ses cuisses habillées de ses bas de coquine.

Elle ne me quittait pas du regard

A son invitation, Hervé s’est mis tout nu pour la rejoindre dans le cadre. Il s’est mis à écarter le string lui aussi pour découvrir, émerveillé, le sexe de ma femme. Celle-ci l’a regardé par-dessus son épaule avec un air mutin. Amélia s’est ensuite débarrassé du string, sa petite chatte à l’air, et elle était si belle, si pleine d’assurance. J’adorais la voir aussi joueuse. Elle me regardait plus qu’Hervé, me faisant l’amour par le regard à travers l’objectif de l’appareil photo de mon téléphone, tout en ayant empoigné la bite de notre cobaye pour la rendre la plus dure possible. Lui profitait et prenait ce qu’il y avait à prendre, s’en remettant aux mains de ma femme et s’excitant lui-même de l’énergie sexuelle qui circulait entre elle et moi, malgré le fait qu’on ne se touchait pas. Ma compagne l’a invité à se mettre à côté du lit et elle s’est mise à le sucer, mais là encore j’avais l’impression qu’elle le faisait plus pour moi que pour lui. Il a fini par s’allonger et elle a pris sa queue. Elle le regardait vite fait, puis elle tournait son regard vers moi et me lançait des regards qui en disaient long sur ce qu’elle ressentait. Peut-être s’imaginait-elle que c’était ma queue et peut-être qu’elle aimait, en même temps qu’elle tétait une bite, voir mon corps en face d’elle, me voir moi en train de me branler et de la mater tout en la photographiant. A la fin, elle le pompait sans discontinuer tout en gardant le visage tourné vers moi. C’était beau ! Je voyais son corps sublime s’agiter et sa bouche prendre l’homme qui se faisait gober sans moufter, et il était vraiment plus notre accessoire de laboratoire sexuel qu’un vrai partenaire qui se serait mis entre nous… Mais ça avait l’air de lui convenir. En même temps, tu m’étonnes, avec une nana pareille ! Elle nous vendait du rêve par sa liberté et sa libido exacerbées. Finalement, elle a fini par se mettre à quatre pattes pour qu’il la prenne en levrette, un pied sur le sol et un genou sur le lit. Ils ont posé pour moi en souriant tous les deux et ils formaient un beau duo, je dois dire. Mais Amélia n’avait d’yeux que pour moi et elle guettait ma main qui montait et descendait sur mon érection. Hervé s’est mis en branle pour la sauter enfin et plus il la sautait, plus je me branlais ardemment et plus Amélia avait du mal à soutenir mon regard et plissait les yeux et la bouche sous la force du plaisir… C’était juste un magnifique cadeau qu’elle me faisait et je l’ai regardée changer sous les pénétrations répétées jusqu’à ce que sa bouche se torde sous l’orgasme qui l’a envahie… L’espace de quelques minutes, ils m’avaient oublié tous les deux pour jouir à l’unisson. Quand ils se sont décollés l’un de l’autre, ils m’ont regardé et j’avais, moi aussi, en les voyant aussi épanouis, connu une jouissance extraordinaire qui me rendait plus amoureux que jamais.

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