Sexe : moins faire l’amour, meilleur pour la santé des hommes ?
16 octobre 2018Une récente étude chinoise conclue qu’avoir une vie sexuelle suractive serait nocive pour les hommes.
Une récente Le nombre de partenaires sexuels et l’âge du premier rapport seraient également des facteurs de risque supplémentaires.
Plusieurs histoires vécues pour lesquelles les hommes aiment se vanter seraient, selon l’étude, corrélés aux risques de développer ce cancer.
Ces chercheurs ont étudié les cas de près de 15.000 patients comparés à plus de 40.000 cas « témoins ». Les chercheurs ont observé qu’une fréquence hebdomadaire modérée d’éjaculation, c’est-à-dire entre 2 & 4/semaine, était associée à un risque moindre de . La croissance des cancers de la prostate serait sans doute lié proportionnellement aux (mal)chances de contracter une IST/MST.
Les données soulignent que plus un homme a connu sa « première fois » jeune, plus le risque est important compte tenu de ses éventualités à avoir depuis cumulé les conquêtes.
Des résultats qui viennent contredire ceux de plusieurs
D’autres moyens de préventions moins inhibiteurs ?
Des conclusions, en somme, à prendre avec précaution au moment où ce type de cancer est le troisième le plus répandu chez la gent masculine en France.
Il est nécessaire que la recherche soit plus approfondie pour comprendre comment l’éjaculation modifie l’environnement de la prostate mais, certains moyens de prévention de la maladie sont à connaître : réduire sa consommation de viande rouge ou de charcuterie. Le surpoids et l’obésité étant considérés comme des facteurs de risque possibles, et puis, il y a la loterie génétique en cas d’antécédents familiaux…
(Image à la une : Gettyimages)
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