Colin-maillard

La rédaction 5 décembre 2018

Bientôt l’été et, déjà, le soleil réchauffe les corps. Brian en profite pour improviser une petite partie de Colin-maillard avec la sublime amie de sa sœur. Le jeu va vite prendre une tournure toute particulière et nos deux tourtereaux ne tarderont pas à profiter de l’herbe pour s’ébattre fougueusement.

Il m’avait passé le bandeau sur les yeux comme certains nouent une cravate autour de leur cou : avec fermeté et sensualité.

J’étais raide dingue de Brian, le frère de ma meilleure amie, mais je le savais inaccessible. C’était le genre de mec qui mettait toutes les filles dans sa poche avec son humour ravageur et son regard de braise. Et là, il avait décidé « pour me punir de l’avoir battu aux cartes » un peu plus tôt, que je devrais les 5 prochaines minutes, avoir les yeux bandés.

Camille, mon amie, était partie faire une petite sieste après le jeu de cartes, et nous étions donc que tous les deux dans le jardin familial. Brian s’amusait à me faire marcher, en me provoquant. « Viens jusqu’ici si tu l’oses ! »

L’animal m’a même arrosée alors que j’étais à quelques centimètres de lui ! J’ai hurlé en retirant mon bandeau, énervée : « Ce n’est pas drôle ! J’ai eu super peur, tu sais ? ». Penaud, il m’a prise dans ses bras, pour me rassurer.

J’ai failli tomber à la renverse au contact de son corps près du mien. « Je vais t’aider à t’enlever ce tee-shirt trempé, tu vas attraper froid » m’a-t-il dit en retirant mon haut.

Comme par hasard, c’était pile le jour où j’avais oublié d’enfiler un soutien-gorge et je me suis retrouvée les tétons à l’air. Les yeux de Brian étaient exorbités, il me regardait comme s’il avait vu un fantôme, la bave aux lèvres.

À ce moment précis, j’ai su que je ne le laissais pas indifférent et qu’il était tout autant attiré par moi.

J’avais du mal à y croire ! Peut-être que cela faisait des années et des années que nous fantasmions l’un sur l’autre mais par timidité, aucun n’avait eu l’audace de se lancer.

J’ai donc démarré les hostilités ! Je me suis collée à son torse, la peau encore trempée par les perles d’eau fraîches, et je l’ai embrassé à pleine bouche. « C’était maintenant ou jamais » ai-je pensé. Comme il a tout de suite enfoncé sa langue poisseuse au fin fond de ma gorge, j’étais maintenant obligée de lui rendre la pareille. J’y allais joyeusement alternant entre des mordillements et une salivation plus que nécessaire.

Vous ne trouvez pas qu’il est toujours difficile d’embrasser quelqu’un pour la première fois ?

Moi oui, j’ai souvent tendance à m’arrêter au baiser chaste et réservé, mais j’ai très vite senti qu’avec Brian je pouvais me lâcher totalement.

« Mets-toi toute nue, Sylvia, je veux voir tout ton corps au soleil. Je suis certain que tu es une vraie Déesse… » Si les mots de Brian me touchaient énormément, j’ai hésité quelques minutes avant de retirer, je n’étais pas de nature très exhib et j’avais peur que l’on ne nous surprenne.

Face à mon air mi apeuré, mi amusé, Brian s’est mis à rire : « On voit que tu ne connais pas Camille aussi bien que moi ! Quand elle dort, il est impossible de la sortir de ses rêves. Allez, tu peux te mettre nue l’esprit tranquille, ce n’est pas elle qui va te l’empêcher… » J’ai compté jusqu’à trois dans ma tête, et j’ai baissé ma culotte. Ça y est, j’étais cul nu dans le jardin !

Brian s’est immédiatement emparé de mes fesses, les tâtant comme deux melons bien mûrs. « Qu’est-ce que tu es bien faite, Sylvia ». Je me suis mise à rougir.

Il m’a demandée très poliment s’il pouvait s’occuper de ma petite chatte. Je lui ai répondu par l’affirmative, je mouillais déjà à grandes eaux, et pas seulement parce qu’il m’avait arrosée un peu plus tôt !

Brian s’est approché de ma moule comme s’il s’agissait d’un trésor : avec un mélange de grande curiosité et d’extrême attention. Il a manipulé mes deux lèvres gonflées et rasées de près avec une grande délicatesse. Il ne s’agissait pas d’y aller comme une brute, et je sentais bien que Brian prenait son temps pour trouver son rythme. C’était très agréable et tout à son honneur. Une fois qu’il s’est familiarisé avec la partie externe de mon sexe, il a bien écarté mon coquillage pour masser la partie interne. Mon clito’ était gonflé à bloc, le moindre effleurement sur cette zone me provoquait des décharges électriques complètement dingues.

Naturellement, mon bassin effectuait des petits mouvements de reculs lorsque le majeur de Brian m’effleurait, mais celui-ci me retenait fermement par la hanche pour que je reste bien à ma place, à la merci des mouvements de ses doigts.

Cette torture était diaboliquement efficace, mais il fallait que j’y mette fin au plus vite avant de m’abandonner entre ses doigts ! Il ne fallait pas qu’il s’imagine que je sois une « jouisseuse précoce ».

Pour faire diversion, je lui ai demandé de retirer tous ses vêtements : je ne devais pas être la seule à prendre le risque d’être surprise nue sur le gazon.

Avec un long soupir, il a lâché mon sexe incandescent et a retiré son short et son caleçon. Son sexe était merveilleux. Une pure œuvre d’art, à la fois lisse, dure et parfaitement droite. Elle méritait clairement de trôner sur une sellette dans un musée ou dans un salon chic. Brian a eu la brillante idée d’étaler tous ses vêtements sur le sol pour créer un matelas improvisé. Il m’a déposée dessus avec douceur, comme il l’aurait fait avec une princesse dans un lit à baldaquin ! C’était trop d’honneur… Le sol était assez dur et la position pas très confortable, mais, au-delà de l’aspect « confort », c’était plus l’éventualité d’avoir un insecte coincé dans la chatte qui me gênait. Tant pis, il faut bien donner un peu de soi pour obtenir les faveurs du beau Brian.

Une fois allongée, mon aventurier des temples secrets a repris l’exploration de ma foufoune. Cette fois-ci, il pouvait m’écarter les jambes, il pouvait donc contempler à loisir mon sexe bien ouvert.

Il voulait le lécher, mais s’est retenu à quelques centimètres à peine de mon sexe, plantant son regard dans le mien d’un air de défi. Je n’avais qu’une envie : qu’il me broute le minou une fois pour toutes et que je puisse enfin jouir dans sa bouche…

Mais non ! Il soufflait délicatement dessus, bien déterminé à ne pas y toucher. Frustrée et pleine de rage, je suis venue me venger sur sa bite !

Je l’ai attrapée brutalement, en serrant bien fort à la base, et je l’ai secouée dans tous les sens.

« Oh c’est bon Sylvia, qu’est-ce que c’est bon mais… moins vite ! Tu y vas trop fort ! Je vais t’exploser entre les doigts » gémissait Brian comme un petit garçon pris en faute.

« Tant pis pour toi, mon grand ! » me dis-je en moi-même, tu avais ton heure pour me donner le cunni de ma vie.

J’ai englouti sa queue comme s’il s’agissait d’une glace au chocolat, avec appétit et gourmandise.

Son gland violacé qui était tendu vers le soleil, tel un tournesol un beau jour d’été, suintait la mouille et la transpiration. Il était temps de l’arroser !

J’ai craché dessus un gros mollard bien blanchâtre.

Je sais pertinemment que c’est très vulgaire, et que tous les garçons ne sont pas très « fans » de cette pratique quand cela vient de la fille, mais je m’en foutais.

Je voulais être cochonne, ne plus penser à « comment je devais me comporter » ou à « ce qu’il devait aimer ». Je n’étais plus qu’une femme possédée par ses pulsions sexuelles. Et là, il fallait que je le sente tout au fond de moi. Je l’ai allongé brutalement sur l’herbe, les jambes bien écartées. Un peu surpris par ma soudaine prise d’initiative, il s’est laissé faire, docile.

Son membre était fièrement érigé vers le ciel, comme un appel pour que je vienne m’empaler dessus. J’ai tout de même pris la peine de faire couler un peu de bave sur ma main et de l’étaler sur mon sexe avant de m’asseoir sur sa pine.

Le contact de nos deux sexes qui s’imbriquaient l’un dans l’autre était très intense ! Nous n’avons pas pu nous empêcher de rugir de plaisir ensemble, d’un bruit unique lancé à l’unisson. Pour que Brian puisse bien admirer mon petit abricot toute lisse, je me suis cambrée vers l’arrière, dévoilant intégralement ma vulve rougie par l’excitation. Je voyais – à son regard – que Brian était surexcité, qu’il avait envie de me dévorer.

Il m’a retournée sur son tee-shirt et m’a relevée les jambes de quelques centimètres. Il s’est enfoncé en moi comme dans du beurre, et j’ai cru que j’allais m’évanouir ; cette fois-ci la pénétration était beaucoup plus profonde et il fallait que je fasse preuve de beaucoup de concentration pour encaisser ces gros coups de bite.

Il me défonçait comme s’il était un ouvrier armé de son marteau-piqueur.

À chaque fin de mouvement, il ponctuait sa gestuelle par un « Mmmmppppfff » très rauque. Je suis certaine qui si des voisins curieux avaient écouté nos ébats, ils auraient cru que deux bêtes des bois étaient en train de copuler.

Nos bruits n’avaient plus rien d’humain. Quitte à me faire prendre de cette façon si sauvage, je me suis dit que la meilleure façon de ressentir pleinement ma nature de bête sexuelle, c’était de me mettre en levrette !

Je lui ai présenté ma croupe rebondie et ferme, en m’appuyant sur les mains. J’espérais intérieurement que cela ne serait pas trop long, la position était quelque peu douloureuse à tenir. Au vu du rythme effréné dans lequel Brian s’est lancé, je me suis apaisée : il n’en avait que pour une minute, maximum deux, avant de balancer toute la purée.

Ses mains sur mes hanches commençaient à se crisper, sa voix se faisait de plus en plus forte, et sa bite grossissait de façon exponentielle…

J’ai senti quelques gouttes tièdes atterrir sur ma croupe, il était temps, mes genoux commençaient à devenir bleus ! Je l’ai embrassé à pleine bouche, et j’ai osé lui poser cette question : « Et alors, on dit quoi à Camille, que l’on baise ensemble ? »

Je tendais bien mon cul, son foutre n’allait pas tarder à me gicler dessus. J’accompagnais la vague de ses mouvements par une danse très sensuelle de mes hanches et de mes reins, une bonne façon de le faire terminer plus vite.

Brian a eu cette réponse, qui me reste encore aujourd’hui gravée dans la mémoire : « Oh tu sais, Camille comprendra. Elle se tape ton grand frère ! »

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