Fais dodo, papa est en haut !

La rédaction 26 mai 2020

Paul, 52 ans.

Salut les interstron.ruistes, moi c’est J-D, un beau petit quinquagénaire sur qui les femmes d’un certain âge aiment se retourner ! Je suis un célibataire endurci et je vous l’avoue, j’en suis ravi. J’en profite à fond.

Ce que je ne savais pas, c’est que je faisais aussi fantasmer les petites jeunettes… Et maintenant que j’y ai goûté, je ne suis plus sûr de pouvoir m’en passer. Je vous raconte l’histoire de cul mémorable que j’ai vécu avec Mylène dans les Pyrénées. Pour la faire courte, je suis parti avec mes deux garçons de 18 et 21 ans dans un petit chalet, et, au bout de quelques jours, ils ont commencé à ramener des amis (filles et garçons) à la maison. Cela ne me dérangeait pas, le chalet était assez grand pour tout le monde… Et ils passaient les meilleures vacances de leur vie ! Mylène faisait partie de leur bande, et très vite, j’ai vu qu’elle n’était pas intéressée par mes deux fistons. Elle avait l’air beaucoup plus mature qu’eux, elle se contentait de sourire poliment à leurs blagues (un peu débiles, je dois l’admettre), et avait des réflexions qui les laissaient souvent sans voix. Au cours d’une soirée où nous jouions tous ensemble à la bataille corse (une version de la bataille à laquelle je suis particulièrement fort), Mylène et moi avons commencé à nous rapprocher, à faire équipe contre les autres. J’ai vu que mes gamins commençaient à mal prendre notre complicité soudaine, alors j’ai remis un peu de distance. Malgré tout, Mylène est venue me voir avant de partir du chalet en me disant à l’oreille qu’elle logeait dans une petite tente, et qu’elle aimerait beaucoup que je la rejoigne. Vu son petit cul et sa gueule d’amour, je n’ai pas hésité longtemps et nous avons échangé discrètement nos « 06 ». Une fois mes fils endormis, je me suis éclipsé du chalet pour la rejoindre. Elle m’avait donné des indications pour que je puisse la retrouver facilement, elle logeait avec ses amis à quelques pas, un peu plus en hauteur.

Quand elle m’a vu avec ma lampe torche, elle m’a tout de suite dit de l’éteindre, elle avait l’air ravie de me voir et très excitée par ce qu’elle faisait en cachette. Elle m’a avoué qu’elle ne savait pas trop ce qui lui avait pris… Et avant qu’elle ne réfléchisse trop et qu’elle ne fasse marche arrière : je l’ai embrassée. Un tendre baiser, mais très intense, pour l’exciter. Elle a tout de suite refermé sa tente derrière elle, et nous avons commencé à nous déshabiller à la hâte. Je bandais comme un fou, elle avait vraiment un corps de rêve, cela me changeait des femmes de ma génération. Elle est venue me pomper le dard comme une gloutonne, comme une affamée. J’appuyais bien sur sa tête pour qu’elle la prenne entièrement en bouche, elle avait l’air d’adorer. Je ne sais pas si les jeunes de son âge la prenaient avec autant de bagout, mais en tout cas, moi, je ne me suis pas gêné. Elle me pompait tellement fort, la cochonne, que j’allais lui éjaculer à la tronche. J’ai repris ma bite en main et j’ai commencé à la doigter, pour qu’elle se concentre sur une autre partie de son corps. Son adorable petit ventre se tortillait devant moi au rythme de mes doigts. C’était superexcitant. J’avoue que j’ai eu du mal à me contenir plus longtemps et j’ai balancé toute ma sauce sur son visage et sur ses seins. Un paquet de Kleenex neuf traînait à côté de son sac de couchage et il nous a bien fallu utiliser les dix mouchoirs pour effacer toutes les traces de mon foutre. On s’est un peu câliné dans les bras l’un de l’autre, pour la forme, mais j’ai eu l’impression que l’on trouvait tous les deux la situation un peu bizarre. Tout ce qu’on voulait c’était du cul, point barre.

Je suis donc reparti dans le froid de la nuit retrouver mon petit lit sur la pointe des pieds.

Depuis, je suis complètement obsédé par cette histoire ! Je n’arrête pas de regarder les jeunes femmes dans la rue et d’imaginer ce qu’elles feraient si elles étaient nues sous une tente avec moi.

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« Mais, quand je me suis penché pour lui faire la bise, j’ai senti sa main se poser sur ma queue. Elle l’a sortie pour me caresser. C’était tellement bon que mon gland brillait d’envie. Elle m’a dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu l’occasion de toucher une bite et qu’elle ne savait plus comment s’y prendre. Je l’ai rassurée, c’était délicieux ! Je ne voulais pas qu’elle s’arrête. J’ai attrapé sa tête pour la faire aller et venir sur mon engin. » Camille, 50 ans.

La cougar et le chaton

« Elle a commencé à onduler, à descendre vers mes doigts, à les inviter plus loin… Ses yeux se sont fermés. Elle a ouvert la bouche et a soupiré de plus en plus fort, jusqu’à la jouissance. Quelle coquine ! Je l’ai rejointe sur le transat et je me suis faufilé dans sa petite fente encore toute humide. Je l’ai baisée à fond de cale et je me suis fini en jouissant sur son postérieur adorable. » Francis, 26 ans.


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