Céleste, Amélie et la piscine

La rédaction 19 avril 2021

Adam se retrouve embourbé dans un triolisme avec deux belles femmes au bord de la piscine ! Un récit érotique et idyllique…

Je ne suis ni très beau, ni très dragueur, ni très hâbleur, mais j’ai trois ingrédients à ma disposition qui forment un atout maître en termes de séduction : un peu d’humour, beaucoup de patience et … une piscine. Tous les ans je passe huit semaines dans le Var (oui, je suis prof) et j’invite des ami(e)s. Dans l‘après-midi c’est jeux aquatiques, le soir c’est apéritif et parties de cartes, karaoké ou bien musique et danse. Tout cela dépend de l’ambiance et du nombre de personnes présentes.

L’arrivée de ma belle inconnue

Le fameux jour dont je viens vous parler ici était un jour « sans » comme on dit. Les copains de la semaine étaient repartis et les suivants pas encore arrivés. Aussi ai-je été étonné quand j’ai entendu les coups de klaxon devant le portail. J’ai enfilé mes espadrilles et suis allé nonchalamment chercher la télécommande. Les deux vantaux se sont ouvert avec une lenteur qui donne une certaine majesté à ce morceau de PVC ! Je ne reconnaissais pas la voiture, le reflet du soleil sur le parebrise m’empêchait de distinguer qui était au volant, mais l’étiquette régionale de la plaque d’immatriculation m’a offert instantanément la clef du mystère. 68 : le Haut-Rhin. Ça ne pouvait être que Céleste, mon amie alsacienne !
Le gravier a crissé sous les pneus et elle est sortie, tout sourire comme à son habitude, un cache-cœur bayadère en guise de top et un micro-short qui mettait son petit cul en valeur. Elle a balancé ses lunettes de soleil sur le siège passager et est venue se jeter dans mes bras en repliant les jambes derrière elle. Je l’ai soulevée du sol et nous nous sommes fait un câlin interminable.

Lorsque je l’ai reposée, elle m’a expliqué qu’elle avait des clients à voir quatre jours plus tard et qu’elle avait décidé de passer ce long week-end avec moi. Céleste sait qu’elle est ici chez elle, elle a même les clefs au cas où je serais absent. Je l’ai aidée à sortir sa valise, c’est une fille-garçon, lol, elle voyage léger sans la moitié de sa garde-robe dans ses bagages.

Elle venait de taper huit cents bornes, elle m’a fichu ses aisselles sous le nez en réclamant une pause douche.  Moi je lui ai répondu que ça sentait bon, mais elle n’a pas été de mon avis, elle a dénoué son cache-cœur, dévoilant ses jolis petits seins blancs et a tourné les talons en se secouant le popotin pour s’extirper de son short décidément vraiment mini ! J’ai vu une jolie lune d’albâtre assortie aux nichons puis le jet de l’eau a retenti en provenance de la salle de bain. J’ai défait le sac de mon amie et j’ai rangé ses fringues dans les tiroirs libres de la chambre. Le temps de refermer ces derniers et de lui préparer une paire de tongs, Céleste se matérialisait devant moi comme par magie, à poil avec son petit ticket de métro perlé de gouttelettes et me lançant enjouée « Je suis prête ! on va se baigner ? »

On est amis depuis vingt ans et on s’est toujours changés dans les mêmes pièces, on se connaît par cœur, aussi j’ai viré mon maillot et on est allé se jeter à la baille. On a joué comme des gamins, à se couler, à faire « la course ». Une petite chose m’a quand même émoustillé, équipé de lentilles depuis peu, je porte des lunettes pour aller sous l’eau. C’est fou ce qu’une femme qui brasse peut être sexy lorsqu’on nage derrière elle !

Après une bonne heure et demie de baignade, nous sommes sortis pour prendre un rafraîchissement et Céleste a annoncé son programme pour la suite « Allez hop ! Séance bronzette ! Il faut faire caraméliser le blanc de poulet ! » tout en se donnant une claque retentissante sur le cul ! et comme toujours elle m’a demandé de lui étaler sa mixture personnelle, mélange d’huile d’olive et de jus de citron.

Elle s’est allongée à même le sol sur une serviette et m’a indiqué dans quelle poche chercher le petit pot magique. Je l’ai secoué pour émulsionner le cocktail et j’ai ouvert le couvercle précautionneusement puis je suis venu m’installer à califourchon au-dessus d’elle. J’ai fait couler un peu de cet onguent au creux de ma paume et j’ai commencé à l’appliquer sur son dos. Sa peau était déjà chaude, toujours aussi souple et soyeuse que dans mon souvenir, j’ai pris garde à bien la protéger sur les épaules et les omoplates, là où le soleil tape le plus fort en général puis ça a été le tour de sa chute de reins.

« T’oublies pas mes fesses hein ?! J’ai pas envie de me retrouver avec un cul tout rouge et de ne plus pouvoir m’asseoir ! »

Je ne me le suis pas fait dire deux fois. Céleste est menue et a un tout petit popotin, bien rebondi, mais je n’ai aucun mal à prendre un de ses globes quasi entiers dans la paume d’une main. J’ai donc allié l’agréable à l’utile et j’ai massé le bas de son dos et malaxé ses jolies pommes à l’élasticité idéale. Évidemment, mes triturations l’ont détendue, elle a laissé ses jambes s’écarter l’une de l’autre et, comme j’étreignais ses deux mappemondes, le centre du monde s’épanouissait, de plus en plus ouvert.

D’abord les stries en étoile de son anus à la carnation claire puis ses nymphes ont éclos et son petit con fuchsia m’est apparu. Je me suis mis à bander, amie oui, mais femme et être sexué aussi !

Céleste et moi avions déjà fricoté, des baisers, des câlins appuyés, des léchouilles pour goûter ses seins, mais jamais nous n’avions baisé ensemble. Et je dois bien avouer que la tentation, en cet instant, était forte.

Une deuxième coquine s’invite à la fête

« Coucou ! Et bien je vois qu’on ne s’ennuie pas ! » a lâché une voix féminine en dévalant la petite allée entre la maison et le bassin. Merde ! J’avais oublié de refermer le portail ! C’était Amélie, une amie du village. Maîtresse occasionnelle, elle me connaît fort bien aussi. Elle a jeté un regard à ma queue dure comme du bois et Céleste a levé la tête. « Ah ! Salut, Amélie, tu vas bien ? Tu viens profiter des mains en or d’Adam et faire bronzette à côté de moi ? »

J’ai écarquillé les yeux en voyant la nouvelle venue enlever sa robe d’été, elle était nue en dessous.
« Avec grand plaisir, je fais un plouf et j’arrive ! » et elle a sauté dans une explosion d’eau dont les gouttes nous ont éclaboussés.

« T’es vraiment qu’une petite salope », lui a lancé Céleste sur un ton complice lorsqu’elle a émergé de son plongeon. Deux trois longueurs et Amélie sortait, se séchait et déposait sa serviette à côté de celle de mon hôtesse alsacienne.

Cette dernière, sur un ton à la noblesse caricaturale, m’a ordonné « Adam, mon petit Adam, voulez-vous joindre notre nouvelle amie comme vous l’avez fait pour moi ? ».

J’ai joué le jeu du laquais servile et j’ai répondu très neutre « Oui Madame, avec plaisir Madame. »
J’ai abandonné ma position, bandant toujours comme un âne, et je me suis installé sur Amélie, mais cette fois-ci j’ai glissé ma queue entre ses globes charnus. Deux salles, deux ambiances. Contrairement à Céleste, Amélie est grande avec des hanches larges, des seins lourds aux gros tétons foncés et très érectiles, une chatte épilée laser et sa peau est caramel de bout en bout, on n’habite pas dans le Var sans profiter des bienfaits de la région !

J’ai recommencé mon petit manège avec la « vinaigrette » huile-citron, Amélie a soupiré au premier contact de mes mains et s’est laissée aller dans un gémissement de bien-être. Comme pour ma première « patiente », j’ai d’abord massé et graissé ses épaules puis son dos et j’ai fini par le même jeu avec ses fesses, cette dernière faisant tout pour que ses orifices me soient visibles aussi facilement que possible.
S’en est suivi une valse où chacune réclamait son lot de frivolités, j’ai donc pris l’option de glisser mon genou gauche entre les jambes de Céleste et le droit entre celles d’Amélie.

Conséquence, les deux minous de ces dames ainsi que leur petit trou étaient entièrement à ma disposition. Cela a duré un moment, tant et si bien que je bandais de plus en plus dur, je suais à grosses gouttes et que mes doigts ne se contentaient plus d’effleurer les orifices, je remontais doucement l’intérieur des cuisses jusqu’à venir caresser leur fente, mes phalanges lubrifiées n’ayant aucun mal à décoller leurs lèvres. D’ailleurs, aucun besoin d’une lotion anti-UV aussi artisanale soit-elle, je goûtais et je touchais leur mouille abondante. Le jeu fonctionnait à merveille et j’étais ravi de voir que je n’étais pas le seul que cela excitait.

Mais j’avais trop chaud, je me suis remis debout, j’ai fait le tour de la piscine, j’ai aperçu les filles jeter un œil dans ma direction lorsque je suis monté sur un des murets pour prendre mon élan. Leurs corps étaient agités de soubresauts, elles riaient de bon cœur devant ma queue dressée au ciel. J’ai fléchi les jambes et je me suis propulsé dans un arc gracieux avant d’entrer dans l’eau rafraîchissante. J’ai nagé sous la surface jusqu’au bord où se trouvaient Céleste et Amélie et je n’ai pas été étonné de voir que la séance de bronzette avait laissé sa place au bénéfice d’une dégustation de minettes !

Un joli soixante-neuf était en cours, je savais les deux très bisexuelles, mais je n’aurais imaginé les surprendre ainsi se lécher la chatte sur la plage de ma piscine.
L’eau froide n’avait en rien affaibli la qualité de mon érection et je suis vite monté chercher une boîte de préservatifs, l’espoir chevillé au corps que j’avais une carte à jouer au milieu de ces délices saphiques.
Lorsque je suis redescendu, Céleste était allongé sur un transat, les jambes repliées derrière les épaules (j’avais oublié à quel point elle était souple !) et Amélie, accroupie devant elle, lui aspirait le clitoris avec des bruits de succion tout en la doigtant de partout !

Le trio commence

Je me suis rapproché de ce tableau idyllique et j’ai présenté ma bite à Céleste, ses lèvres pulpeuses se sont enroulées autour de mon gland puis elle a avalé ma tige entièrement. J’ai caressé ses seins, ses tétons glissaient à cause de l’huile, je les pinçais et ils « giclaient » de mes doigts avec un petit mouvement super sexy.

Mais l’adresse diabolique d’Amélie a eu raison d’une première vague de plaisir chez ma suceuse qui a, dans un cri orgasmique, laissé mon vit pour éructer à loisir l’élan qui l’emportaient. Cette dernière a réclamé une pause, je me suis donc tournée vers Amélie qui a tout de suite pris l’initiative de capoter ma queue.

Quelques coups de langue et elle a pris appui sur la table, le cul vers moi, cambrée comme j’aime. Je lui ai foutu une bonne claque sur chaque fesse, je me suis penché sur elle et lui ai fait un truc qui l’a toujours rendue dingue, je lui ai léché et mordillé les lobes d’oreille. C’est plus fort que tout, cette zone est hyper érogène chez elle et sa chatte s’est mise à couler littéralement. De longs filets gluants se sont échappés de sa fente, de mes doigts j’ai recueilli ce miel épais que j’ai étalé sur mon pieu. J’ai placé mon gland à l’orée de cette chatte ouverte et brûlante. J’ai fait vibrer ce jouet improvisé entre ses nymphes et contre son clito jusqu’à sentir les ondulations de la belle qui s’est lentement empalée sur moi.

J’ai attrapé ses hanches et je l’ai baisée de toutes mes forces. Elle guidait la manœuvre et le rythme avec des « Oui, oui .. », « Là, oui, là, comme ça … c’est bon … », « je vais jouir … » et elle a joui, debout, en éjaculant abondamment sur moi et sur les dalles de la plage. Je me suis retiré rapidement et j’ai remplacé ma bite par mes doigts, elle a plaqué ses seins sur la table et je l’ai masturbée jusqu’à voir ses jambes prises de tremblements irrépressibles, sa fontaine a de nouveau giclé, éclaboussant tout autour d’elle.
Céleste ayant recouvré ses esprits est venue derrière moi, une main glissée entre mes cuisses elle caressait mes bourses. « Tu veux m’enculer ? ».

Moi qui doutais quant à son désir de passer le cap avec moi, j’ai affiché un sourire béat et je l’ai aidée à s’installer sur le matelas entre les transats. Elle aussi est très sportive, elle a remonté les jambes très haut, s’est doigtée sa petite pastille en me fixant dans les yeux. Je me suis agenouillé, j’ai posé une langue gourmande sur son anus rose et désormais ouvert et je l’ai sodomisée en douceur. Amélie nous a rejoints et a embrassé Céleste, elle lui a mordillé les tétons puis a glissé deux doigts dans son fourreau libre. Je sentais les mouvements dans le vagin, l’anneau du petit œillet dans lequel j’étais fiché jusqu’aux couilles m’enserrait délicieusement la base de la hampe. « Vas-y, baise-moi le cul … faites-moi jouir … ».
Pas la peine de me le dire deux fois, j’ai commencé à limer sa pastille, les phalanges s’agitaient de plus en plus vite devant. Les yeux de Céleste se sont révulsés et elle a pris un pied d’enfer, elle aussi en libérant un mascaret impressionnant.

J’étais en nage, j’avais chaud, impossible de balancer la purée. Les filles m’ont accompagnée dans la piscine, nous nous sommes caressés dans l’onde fraîche et elles m’ont branlé là. J’étais aux anges, mes doigts jouaient avec leurs fentes et leurs petites rondelles, j’ai penché la tête et j’ai vu mes jets de sperme crémeux se diluer dans l’eau, un, deux trois, ça ne s’arrêtait plus. J’ai eu un merveilleux orgasme en roulant une pelle à l’une puis à l’autre.

Nous sommes sortis pour aller nous doucher, on a préparé le barbecue et Amélie a envoyé un SMS à son homme, Xavier. Et j’avoue qu’un renfort masculin n’a pas été de trop pour venir à bout de l’insatiable désir de ces deux magnifiques Salopes. Nous avons baisé toute la nuit et les parties carrées se sont succédé les jours suivants. Amélie a adoré nous voir nous sucer, entre autres, avec Xavier.
Nous avons prévu un second long week-end à la fin du mois. Je pense que nous serons six cette fois ! Ça promet !

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