L’hospitalité Marocaine

La rédaction 27 février 2023

Suivez le guide ! Bienvenue à Marrakech, la Koutoubia, la Ménara, les jardins Majorelle, la place Jemaa el-Fna. Je m’appelle Karim, j’ai 48 ans et voici mon histoire de cul.

Deux coquines à l’eau

Je me souviens encore de ce printemps, c’était il y a dix ans déjà. Comme tous les samedis matin, j’étais à l’aéroport et j’attendais les touristes pour les emmener au riad dans lequel je travaillais. Mon petit panneau affichait deux noms de famille, comme toujours j’avais opté pour le van afin de mettre tout le monde à son aise, parents et enfants. À ma grande surprise, je n’ai pris en charge que deux femmes, la blonde, Nathalie et la brune, Catherine. Il n’a pas fallu longtemps pour rompre la glace et arrivés au portail de la propriété, je savais que les deux trentenaires étaient fraîchement divorcées et qu’elles venaient profiter d’une semaine de bon temps au Maroc.

À peine les valises déposées dans leur chambre qu’elles me demandaient si elles pouvaient se baigner sans soutien-gorge de maillot. Je leur ai adressé un grand sourire. «Vous êtes ici comme chez vous, il n’y a pas de vis-à-vis et personne d’autres à part moi et Mustapha, le cuisinier. Vous pouvez même vous mettre nues si vous le désirez, vous éviterez les traces de bronzage disgracieuses».

Aurais-je invoqué le fameux « Sésame ouvre-toi ! » devant la caverne des quarante voleurs qu’il n’en aurait pas été autrement ? Nath et Kathy se sont dénudées entièrement face à moi et ont dévalé les escaliers en riant. J’ai entendu deux grands bruits d’éclaboussures en contrebas et suis vite allé sur le balcon pour les regarder. Elles s’ébrouaient joyeusement, se frôlant, se caressant presque. J’ai porté la main à mon pantalon de costume et je me suis touché quelques instants en me régalant du spectacle.

Elles ont passé l’après-midi à bronzer et à se baigner en tenue d’Eve. J’ai prévenu Mustapha de ce qui se déroulait et, bizarrement ce dernier a dû faire de multiples allers-retours entre la réserve et la cuisine, le bassin se trouvant entre les deux. En hôte de qualité, je me suis empressé d’aller m’enquérir de leurs besoins, jus de fruits, cocktails, cornes de gazelles, thé à la menthe. Ma condescendance n’avait d’égal que mes regards à la dérobée vers leurs seins, leurs fesses et, puisque décidément ces deux-là n’avaient aucune pudeur, sur leur sexe. Épilées toutes les deux, leurs chattes étaient comme deux chabakias, des pâtisseries marocaines crénelées, sirupeuses et appétissantes.

Après tout, on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre. Au même titre que j’ai toujours été attiré par les femmes européennes, j’ai remarqué que la réciproque était vraie.

Des spécialités Marocaines pour les divorcées

Le soir, autour d’une pastilla préparée par Mustapha, elles nous ont demandé de venir à table partager un verre afin de nous féliciter pour la perfection de notre accueil.

Leurs robes de bain collaient à leur corps et l’ambiance avait quelque chose d’électrique, la chaleur étouffante de la ville est parfois éprouvante même pour les autochtones. J’étais toujours en costume-cravate, c’est Nath qui, la première a porté les mains sur moi afin de me «mettre à l’aise». La suite est assez floue dans mon esprit, les baisers ont précédé les caresses, nous sommes allés tous les quatre dans ma petite chambre juste à côté. Les filles se sont dénudées et ont commencé à s’embrasser et à se cajoler entre elles.

Je n’avais jamais vu de lesbiennes faire l’amour et notre présence à Mustapha et moi nous paraissait, d’un coup, superflue. Mais les deux amantes nous ont retenus, elles nous espéraient comme partenaires. Mon ami a décliné l’invitation, jeune marié il ne voulait pas tromper son épouse, mais il s’est proposé de rester pour mater. Nathalie, décidément la plus effrontée des deux gazelles, lui a demandé de nous prendre en photo. Devant le sourire idiot de notre cuisinier, je me suis déshabillé à mon tour, un peu gêné qu’il me découvre nu, mais je n’allais pas rater une occasion pareille.

Nathalie et Catherine se sont embrassées avec passion, je me suis branlé debout devant le lit en les observant quand la première a sorti un objet que je n’avais jamais vu auparavant : un gode-ceinture. Kathy s’est allongée sur le dos et a relevé les cuisses comme le ferait une femme attendant l’assaut d’un homme, le gland noir du phallus en plastique s’est logé dans sa chatte et Nathalie a commencé à dispenser de grands coups de reins. J’étais fasciné par ce que je voyais, j’ai quand même réussi à m’extraire de ma torpeur et je suis enfin entré en scène. J’ai été embrasser Catherine qui a saisi ma bite pour la branler doucement.

Elle m’a ensuite sucé en appréciant mon sexe circoncis, elle avalait ma queue entière tout en léchant mes couilles. Suite à ses exploits buccaux, je n’en pouvais plus, j’avais envie de les baiser toutes les deux. Mais je n’ai pu pénétrer que Nath. Elle m’a accueilli par tous les orifices, elle adorait la sodomie et je l’ai fait jouir aussi bien par-là que par devant. Pendant ce temps Catherine me caressait les bourses, embrassait son amie, lui donnait son sillon rose à lécher. Lorsqu’elle s’est penchée pour me montrer toute sa féminité, j’ai eu le droit de goûter son petit trou et d’y glisser un doigt.

C’en était trop pour moi, j’ai exulté en criant des grossièretés en arabe sous les encouragements de mes deux amantes. Kathy n’avait pas encore pris son pied, j’ai été invité à rejoindre notre photographe pour libérer de la place. Les filles ont alors collé leur chatte l’une à l’autre, je voyais mon sperme couler de celle de Nathalie. Entre leur mouille et ma semence, la lubrification était idéale, elles ont frotté leurs clitos contre leur vulve et ont explosé d’un orgasme quasi simultané.

Mustapha a quand même fini par sortir son sexe de sa braguette pour se soulager. Bien mieux monté que moi, Catherine et Nathalie ont accueilli avec plaisir son éjaculationimposante sur leurs seins et leur ventre. Leur semaine a été paradisiaque, pour elles comme pour moi. Le mot qu’elles ont laissé dans le livre d’or ne me contredira pas : « Bravo ! L’hospitalité marocaine n’est pas une légende, tous nos désirs ont été comblés… »

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