Amour de jeunesse

La rédaction 4 mai 2020

Mimi, 49 ans.

J’ai 49 ans et je suis mariée depuis 24 ans. Cela fait plus de 20 ans je lis interstron.ru et je me suis enfin décidée à vous écrire. Pendant toutes ces années, je n’ai jamais trompé mon mari. Mais voilà : son intérêt pour le sexe diminuait de jour en jour. Or il me semble que ma propre
libido augmentait.

Au printemps 2016, nous avons donné une fête dans notre village. Nous avons eu besoin de bennes et j’étais en charge de nous les faire livrer. Quelle ne fût pas ma surprise quand j’ai réalisé que le livreur n’était autre que mon premier amour de jeunesse ! Il était là, dans l’encadrement de la porte, avec ses cheveux poivre et sel et une belle carrure. Cela faisait près de 20 ans que nous ne nous étions pas vus et je ne pensais pas que j’aurais autant de plaisir à le revoir. Il me plaisait, je retrouvais une petite étincelle familière dans ses yeux. Nous avons parlé de tout et de rien et nous nous sommes promis d’aller boire un verre ensemble. Après cela, je me suis remémorée des émois enfouis depuis bien longtemps et je n’y étais pas insensible…

Dès le lendemain, un SMS m’attendait à la sortie de mon job. Nous avons commencé par une discussion banale au début, puis nos échanges sont devenus érotiques, au détour de quelques sous-entendus faisant référence à notre relation passée. Encouragée par ses messages, je me suis mise à lui écrire ce que je voudrais lui faire et vice-versa, sans oublier quelques photos coquines. Il voulait voir comment mes seins avaient évolué après tout ce temps. Il me demandait comment se portait mon désir, comment j’imaginais que nous ferions l’amour aujourd’hui. J’avais l’impression de redevenir la jeune femme émue que j’étais, et je ne cessais de mouiller lors de nos discussions virtuelles. Tout cela a duré tout l’été. Un jour, n’y tenant plus, nous avons décidé de nous rencontrer pour concrétiser nos dialogues. Mais… cela a été un fiasco total. Nous étions très agités, il m’a prise très rapidement et a joui tout
de suite.

Notre rencontre avait peut-être été un peu précipitée et nous avions besoin de temps pour nous apprivoiser à nouveau. Nous ne voulions pas en rester là et avons décidé de nous revoir. Cette fois-ci, j’ai passé une heure magique, moi qui me contentais de me masturber depuis des mois en m’imaginant des scénarios avec cet amant perdu et idéalisé.

Nous étions chez lui. Nous regardions la vue depuis la fenêtre et il s’est installé derrière moi, son souffle dans mon cou. Sa queue tendue à travers son pantalon, que je distinguais très nettement sous le tissu, me mettait déjà dans tous mes états. Il m’a retournée pour me faire face et m’a déshabillée. Quand il a dégagé mes seins et les a pris dans ses mains, je mouillais déjà énormément. Il les a mordillés, pétris. Il les a trouvés encore plus beaux que dans ses souvenirs. Tous ses mots de tendresse me comblaient, me faisaient me sentir désirable à nouveau. Il pouvait faire ce qu’il voulait de moi, j’étais à sa merci. Je l’ai longuement sucé en faisant de courtes pauses, savourant l’instant. J’aurais aimé le mordre ou le griffer, tellement j’avais contenu le désir sauvage qui sommeillait en moi pendant que mon mari se désintéressait de mon corps. Il a commencé un lent va-et-vient dans ma chatte trempée. Ça m’avait tant manqué !

Ses coups de reins se sont fait plus intenses et plus forts à mesure que je gémissais et lui murmurais de me baiser comme la jeune demoiselle timide que j’avais été. Nous avons changé de positions plusieurs fois et mon bonheur d’avoir enfin quelqu’un qui s’occupe de moi me faisait frémir de plaisir. Il m’a retournée et prise en levrette. Je lui offrais toutes mes parties, reconnaissantes et glissantes de toute ma satisfaction… Il m’a mise des claques de temps à autre sur les fesses, relevant encore le palier de mon plaisir. J’ai joui une première fois en serrant les poings. Il m’a ensuite couchée sur le lit, a pris mon gode et l’a enfoncé dans ma fente encore avide de nouvelles expériences. Puis, ce sont ses doigts qui l’ont remplacé et j’ai joui à nouveau. J’étais tellement abandonnée sous ses assauts que je voulais qu’il me foute sans discontinuer, pour rattraper tout ce temps durant lequel je n’avais pas eu de bite pour combler ce vide en moi. Pour terminer, je l’ai sucé et il a joui sur mes seins. J’étais tellement heureuse que j’aurais pu l’aspirer, le lécher et en faire un gode vivant pendant des heures encore.

Nous nous sommes revus encore deux fois et depuis, plus rien. Aujourd’hui, j’ai envie de lui écrire : Reviens-moi, je t’attends.

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Premiers émois

« Je léchais sa tige dure, j’absorbais son gland. Je savais déjà par ses très nombreux SMS curieux, hésitants, excités et excitants, qu’il cherchait un dominateur. Il se présentait comme passif, il souhaitait que je le pénètre, je le savais. Ses silences et soupirs discrets en disaient long. J’ai allongé le siège passager et, pendant que je le pompais j’ai commencé à doigter son orifice. » Yall, 29 ans.

L’aubergine a goûté la mienne

« J’ai senti sa grosse poitrine retenue par un soutien-gorge en dentelle à la mode de l’époque, qui faisait des seins triangulaires. Elle devait avoir une trentaine d’années, ça m’excitait beaucoup de faire ça avec une femme mature. J’ai soulevé sa jupe, retiré sa petite culotte satinée auréolée de mouille, et je lui ai dit de se pencher un peu plus. » Gilbert, 59 ans.

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