Garçon de vestiaire… au théâtre
22 novembre 2020Mathieu, 27 ans, travaille comme garçon de vestiaire dans un théâtre et en pince pour la barmaid… jusqu’à ce qu’il ose aller chez elle.
Tout d’abord, bravo pour ce magazine que j’ai découvert récemment mais que j’achèterai régulièrement dorénavant. J’apprécie particulièrement vos histoires de sexe.
Je m’appelle Matthieu, j’ai 27 ans et je suis technicien à Colmar. Il y a environ six ans, quand j’étais étudiant, je bossais en extra comme garçon de vestiaire dans un théâtre. L’avantage de ce job, c’était que je pouvais réviser mes cours tranquille pendant la durée des spectacles.
Enfin, c’était sans compter sur la barmaid du théâtre. Elle s’appelait Vanessa, c’était une belle brune de 32 ans, plutôt petite et vaguement rondelette, mais toujours habillée très sexy. Ses larges décolletés laissaient toujours apparaître le haut de son opulente poitrine fendue telle un cul de princesse. Nous avons vite sympathisé.
Un soir, elle m’a demandé de la suivre à la réserve pour l’aider à réapprovisionner le bar. Une fois dans la pièce, elle a fermé la porte. À peine m’étais-je penché pour prendre une caisse de bière que j’ai senti une main me palper les fesses.« Joli petit cul ! », s’est-elle exclamée. Je me suis redressé instinctivement, un peu gêné… « Euh, merci… »
Ni une, ni deux, sa main est venue se poser sur ma braguette. « Ce côté-là m’intéresse aussi ! », a-t-elle ajouté, visiblement très contente de sa connerie… Nous avons échangé un regard complice, nous nous sommes souri et nous sommes remontés pour travailler. À la fin de la soirée, je savais qu’elle allait rentrer chez elle à pied. Je lui ai proposé de la ramener en voiture :
» – Ça me fait seulement faire un petit crochet, en plus… ?
– OK, mais tu monteras quand même boire un café en vitesse, alors ? »
Bien sûr que j’allais monter pour un café ! On est restés à discuter deux heures chez elle. Puis je suis parti.
Mais, sur le chemin du retour, j’ai reçu un sms : « Je pensais que tu tenterais quelque chose !! » J’ai fait demi-tour sans même réfléchir et j’ai sonné chez elle. Quand elle a ouvert, elle ne portait plus qu’un grand T-shirt en coton délavé. Ses tétons durcis apparaissaient à travers. Elle n’a eu que le temps de dire : « T’es fou ! » avant que je ne l’embrasse goulûment.
Nous nous sommes dirigés vers sa chambre, enlacés, en mélangeant nos salives. Elle s’est débarrassée de son T-shirt et enfin, elle était là , nue devant moi. Cette nana était mon aînée de onze ans, mais elle était bandante au possible. Elle m’a offert ses magnifiques et énormes seins que j’ai engloutis sur-le-champ.
Puis elle a ouvert les cuisses. J’ai découvert une jolie chatte coiffée d’une toison courte et élégante. Je me suis empressé de goûter à cet abricot déjà luisant de mouille. Rien que de repenser à cette odeur enivrante, j’en bande encore !
Mes mains parcouraient tout son corps que je sentais se cambrer sous mes mouvements de langue. Dans un ultime râle, elle s’est abandonnée à la jouissance qui guettait en elle depuis notre baiser fougueux. Ses sécrétions intimes se sont répandues dans ma bouche. Alors que je commençais à remonter sur son corps, elle m’a prévenu d’un ton doux, mais ferme : « C’est tout ce que tu auras ce soir, mon mignon ! » Je me suis retrouvé tout penaud.
Une semaine plus tard, après un autre spectacle, je lui ai proposé de la ramener chez elle à nouveau. Devant sa porte, elle m’a jeté un petit regard rempli de promesses lubriques… « Un café ? » Nous nous sommes installés sur son canapé avec nos boissons brûlantes. De but en blanc, elle m’a sorti : « Alors, qu’est-ce que tu attends ? Viens là, baise-moi ! » Il ne fallait pas me le dire deux fois ! J’étais tout fou !
Nous nous sommes déshabillés avec sensualité tout en nous caressant. Sous mes mains, je sentais ses formes généreuses pendant que je suçais ses tétons. Elle s’est mise à quatre pattes sur le canapé et a pris ma bite dans sa bouche. Quelle pipe ! Sa langue s’enroulait autour de mon gland cramoisi de délice. Elle était si menue que je pouvais continuer à masser sa chatte et son cul.
Sentant son trou s’humidifier de plus en plus, j’ai décidé que c’était à mon tour de jouer de la langue. J’ai plongé sur son minou. Je me suis appliqué à lécher ses grandes lèvres et j’ai poursuivi en travaillant vers le centre de sa fente. Je n’ai pas oublié de faire une longue léchouille sur son clitoris durci par l’envie et les câlins.
C’est à ce moment-là qu’elle m’a ordonné dans un souffle : « Prends-moi maintenant ! » Ma queue a enfin pu goûter à son intimité si douce et si chaude. Je l’ai d’abord limée en levrette. J’y allais aussi fort que possible, qu’elle me sente bien au fond de sa chatte. Je l’ai comblée quelques instants de la sorte.
Puis, elle m’a demandé de m’asseoir. Elle s’est approchée, féline, et s’est empalée sur mon dard avec une lenteur de sucre qui fond. La vision de son sexe qui avalait ainsi le mien a fait gonfler ma bite encore plus fort.
Elle ondulait de la croupe dans tous les sens et m’offrait ainsi le spectacle de ses deux gros nichons qui se balançaient en cadence, tandis que son visage grimaçait de bonheur. Je l’ai vue jouir encore plus intensément que la semaine précédente. Elle était superbe. Elle m’a laissé décharger sur sa poitrine. J’ai gardé un merveilleux souvenir de cette image : mon foutre dégoulinant sur sa peau légèrement hâlée.
Depuis que je ne travaille plus au théâtre, je n’ai plus de nouvelles d’elle… Je le regrette. Vanessa, si par hasard tu lis ces lignes et que tu te reconnais, n’hésite pas à me contacter. Depuis cette période, je rêve de pouvoir coucher avec des femmes plus âgées que moi… Pourquoi pas cette belle blonde BCBG qui travaille au même endroit que moi ? Toujours en jupe courte et en talons, celle-là … Je vous raconterai ça ! En attendant, bisous à tous et n’hésitez pas à faire un tour sur mon blog : toietmoi.erog.fr !