Rencontre au bar
24 août 2020Pat, 38 ans, est serveuse dans un bar. Elle craque sur un rugbyman depuis quelques temps et saute le pas un soir lors de fermeture du bar.
Je m’appelle Pat et je viens de la banlieue de Manchester. Oui, en Angleterre. Je vais vous raconter un truc qui m’est arrivée il y a de ça une dizaine d’années. J’étais serveuse dans le Sud-Ouest de la France, après un plan vacances en Espagne qui était tombé à l’eau.
L’ambiance du bar était très sympa. Tout le village s’y réunissait pour les grands ou les petits événements. La nourriture était simple mais savoureuse. Les mains au cul n’étaient pas rares, mais j’ai du caractère, je sais me défendre ! C’était aussi le QG de l’équipe de rugby du coin.
Quel plaisir de servir les joueurs et de les voir se disputer mes faveurs ! Le samedi, je prenais particulièrement soin de ma tenue, mettait mon plus beau rouge à lèvres et ma robe à fleurs la plus aguicheuse, car c’était le moment où venait ma « target » : j’avais un faible pour Gérard, le capitaine de la Team. Il était un peu plus âgé que les autres, un barbu baraqué et taciturne, et faisait semblant de ne pas me remarquer.
Un samedi soir que je n’étais pas tout à fait dans mon assiette (j’étais allée en boîte la veille), j’ai renversé un verre de vin sur son jersey : « Pat, fais attention ! Ils sont tout neufs, ces maillots. » Je l’ai envoyé paître : « Ça va, c’est bon, ils sont déjà plein de terre, là ». Tout le monde a rigolé. Vers 2 h du matin, Gérard était le dernier. C’était à moi de faire la fermeture. Déjà, pendant les dernières commandes, l’alcool montant, il s’était fait plus entreprenant. Une caresse sur la hanche. Une allusion à mon décolleté. Je ne voulais pas faire la fille trop facile. Il voulait jouer ? On allait jouer.
« - On va fermer, Gérard. Finis ta pinte.
- Mes coéquipiers pensent que je ne devrais pas laisser une femme me parler comme ça. Surtout pas une angliche.
- Ah oui, et qu’est-ce que tu vas faire ? Me faire un plaquage ou refuser de payer ton ardoise ?
- Tu préférerais quoi ? »
Je lui ai répondu que la première solution me bottait bien. J’ai tiré les rideaux… et c’était parti. Gégé m’a soulevée comme une plume avec ses grosses paluches pour me poser sur le comptoir et a commencé à caresser mes cuisses dorées par le soleil du Sud-Ouest. « J’adore tes petites robes à fleurs. » J’ai eu un moment de frayeur. Il faisait quoi… trois fois ma taille ? Il allait me massacrer.
Mais j’ai vite été rassurée : mon amant était d’une douceur rare… pour le moment. Il a sorti mes seins de leurs décolletés pour les palper, les téter doucement. J’ai passé une main dans ses cheveux. Il sentait la sueur. Apparemment, il avait oublié la douche après l’entraînement. Sa puanteur sportive m’excitait. Je me suis mise à quatre pattes sur le comptoir (« Tu fais le service sans sous-vêtements ? On l’avait parié avec les collègues… »). Là, je lui ai offert mon intimité toute entière. Il y a plongé sa tête avec gourmandise. Il en avait pour son argent : de quoi lécher avidement mon anus, ma chatte et mon clito d’un seul coup de langue bien appliqué !
Je sentais les poils de sa barbe me caresser partout, sa langue appuyer là où il fallait. J’avais essayé de garder une contenance de cochonne très sûre d’elle, mais je n’en pouvais plus. J’ai saisi ses cheveux et je l’ai guidé jusqu’à mon orgasme. J’ai hurlé à la lune quand j’ai joui. Puis je me suis rassise sur le comptoir, toute tremblante, et j’ai embrassé longuement Gégé, appuyant bien mes gros seins contre son torse.
J’ai vu la bosse dans son short. « Tu devrais la laisser respirer, baby. Elle étouffe là-dedans ». J’ai libéré le renflement et découvert un spécimen impressionnant. Le membre de rugbyman idéal : d’une longueur moyenne, mais étonnamment épais et velu, et puis un prépuce généreux et appétissant. Un vrai zguègue d’homme. Je l’ai soupesé puis l’ai couvert de mille attentions de mes mains fines. « Pat, je me suis tellement branlé en pensant à ce moment… », a murmuré Gérard.
C’était moi qui menait la danse face à ce géant. Le membre gonflait de plus en plus. Je suis descendue de mon perchoir et je me suis couchée à plat ventre sur une table, lui offrant mon cul à nouveau. Mais pas pour qu’il le lèche, pour qu’il l’enfile… Ce qu’il a fait splendidement.
Je ne pensais pas que mon anus pouvait accueillir un tel numéro… C’était si bon que je n’avais jamais crié comme ça. Gégé a dû me plaquer la main sur la bouche, craignant sans doute que ses collègues rappliquent et qu’il ait à me partager ! À force de me faire labourer par ce gros barreau de chaise, de plus en plus vite et fort, mon tuyau était en feu. « Oui, vas-y, encule-moi mon Gérard ! », ai-je crié entre ses doigts toujours plaqués sur ma bouche. La douleur, logique face à cette poutre, à peu à peu disparu et seul le plaisir a persisté. Quand Gérard a poussé un gros râle puis a éclaté en moi, j’ai suivi, m’affalant enfin sur la table, anéantie par cette seconde jouissance, le cul rempli comme jamais.
Il a sorti une serviette de son sac de sport et on s’est longuement câlinés à même le sol du bar. À la fin de l’été, je suis depuis retournée en Angleterre, où j’ai trouvé un gentil mari quelques mois plus tard. Mais je reviens souvent faire un tour dans ce joli village du Sud-Ouest où mon Gérard est toujours partant pour transformer l’essai !
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Onyx
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