Black magic woman
23 mai 2019Steeve, 32 ans.
Je me nomme Steeve, 32 ans, je travaille dans la communication. J’ai découvert interstron.ru à l’âge de 17 ans. Magazine dont j’ai collectionné les numéros au fil des années. J’ai aimé tant de choses dans son contenu, allant des récits érotiques aux dossiers, infos pratiques et conseils. En tout cas, interstron.ru a bien éveillé et transformé ma vie sexuelle, et je lui fais un coucou spécial.
Un peu porté sur le sexe, je ne suis pas trop fana de situations formelles ou mécaniques dans la quête du plaisir. Ce qui fait de moi une personne à la recherche perpétuelle de nouvelles expériences.
Il y a quatre ans, alors que j’étais en couple, j’ai rencontré Leïla, 21 ans, étudiante, mignonne, élancée, avec un cul à réveiller un mort. Tout de suite nos sujets ont viré sur le sexe. J’ai senti en elle une fille capable de transcender ses limites, mais qui avait sans doute besoin d’avoir un peu d’assurance et de quelqu’un de confiance pour se lancer. Leïla et moi avons expérimenté bien des choses, mais l’histoire que je vais vous raconter est bien particulière.
Un dimanche ensoleillé de novembre, Ali, un ami à moi, est venu me chercher en voiture pour effectuer une course. La course terminée, nous avons eu la superbe idée de faire un tour à la plage. Et pour ajouter une coloration féminine à notre compagnie, je lui ai proposé de passer chercher Leïla qui a accepté de se joindre à nous pour profiter de cette magnifique journée.
Nous avons embarqué dans un petit fourgon, assis sur la même ligne tous les trois, Leïla au milieu. J’avais souvent parlé de mon ami à Leïla qui rêvait de vivre une expérience avec deux hommes et je la sentais tout excitée à travers les yeux doux qu’elle me faisait. Pendant le trajet, on parlait de tout et de rien en buvant quelques canettes de bière. De temps en temps, je ne pouvais m’empêcher de caresser les jambes de cette fée et de l’embrasser chaudement pendant que mon ami, lui, était concentré sur la route. À vrai dire, il n’était même pas si concentré que cela en fait, mais il n’avait pas le choix. Nous avons échangé un sourire.
Une fois arrivés, nous avons pris un repas local léger appelé « alloco » (bananes plantain et poulet frit) dans un restaurant à ciel ouvert situé en bord de mer. Il faisait vraiment chaud, et la piscine qui se présentait à nous était très attirante, mais au lieu de cela, Leïla et moi avons choisi de nous retirer pour aller nous installer sur un transat, pendant qu’Ali discutait avec un couple qu’il connaissait et qu’il avait rencontré là.
Le transat était confortable. Leïla s’est rapprochée de moi, et sa langue s’est perdue tout de suite dans ma bouche qui prenait grand plaisir à lui rouler des pelles très humides. Leïla me flattait de câlins adorables. Pendant ce temps, mes mains parcouraient cette sculpture vivante pour venir se poser sur sa cuisse. Occasion pour moi de prendre la température de son corps à travers le fin tissu de son joli string rose… que j’ai fait rouler tout doucement et de façon discrète le long de sa courte robe. Je l’ai soigneusement rangé dans la poche de mon jean.
Un grand vent soufflait dans notre direction et venait frapper son entrejambe. Cette caresse naturelle arrachait quelques petits soupirs sereins qui se transformaient en gémissements chaque fois que mes doigts humectés de sa salive se baladaient sur sa foufoune et se fourraient tout doucement dans chacun de ses trous.
Un homme du Moyen-Orient étendu sur un transat juste à côté ne perdait rien du spectacle, et Leïla semblait bien apprécier la situation. Les regards de certains passants sur la plage ne faisaient que mettre le feu à la belle ambiance et décupler le plaisir. Oh, qu’est-ce-que je bandais, bon dieu ! De temps en temps, Leïla frottait ses mains sur ma braguette et tentait de les glisser dans mon pantalon, mais c’était peine perdue. Mon jean était trop serré pour y entrer. Je n’en pouvais plus, elle non plus. Il fallait trouver un endroit où nous mettre à l’abri pour donner libre cours à nos galipettes. J’ai regardé à gauche puis à droite, et j’ai repéré un endroit caché derrière un bungalow. Je me suis levé pour aller vérifier si l’endroit était bel et bien discret. Dès que j’en ai eu la confirmation, j’ai envoyé un texto à Leïla qui m’a rejoint tout de suite dans le coin. Le SMS disait : « Quartier libre ! ».
Ma queue black dure pointait déjà dans le vent à son approche. Leïla, position accroupie, ne s’est pas fait prier pour la gober dans sa bouche gourmande et lui donner de grands coups de langue pendant que ses doigts longs et joliment vernis s’insinuaient dans sa chatte trempée. Telle une pro, elle suçait avidement, avalant ma tige jusqu’à la racine, ou presque, et libérant quelques bribes de crachat qui coulaient le long de ma bite nerveuse sur le sol. J’étais aux anges. À un moment, j’ai dû stopper Leïla et je l’ai retournée sur une échelle de secours qui se trouvait là. Je me suis accroupi, j’ai relevé sa robe, puis j’ai fendu ses fesses de mes mains et collé ma langue sur sa rondelle, je faisais des huit. De temps en temps, je l’enfonçais dans son anus avec un peu de salive. La belle Black lâchait des petits sons à peine audibles qui montraient bien l’effet que lui procurait cet organe magique.
Ma langue est ensuite descendue de trois centimètres, et là m’attendait un fleuve de mouille et une fente béante dans laquelle j’ai plongé mon visage. Le goût était quelque peu salé mais ô combien agréable. J’ai enfoncé mon index gauche dans l’anus coulissant de Leïla tout en lapant la saillie de sa chatte bombée, et quand ma langue a atteint son clito gonflé, un jet de mouille a jailli sur mon visage. Je l’ai accueilli avec plaisir dans ma bouche et l’ai avalé. Leïla venait de jouir en disant : « Coule ma fontaine, coule, j’adore. »
Et là, sur le champ, elle m’a ordonné : « Baise-moi maintenant, je la veux tout au fond. » Je ne me suis pas fait prier et j’ai pointé ma queue raide à l’entrée de sa chatte poisseuse. Je l’ai enfoncée avec désir. Il était bien chaud le volcan, peut-être 38 °C de température. Je me suis agrippé à sa hanche et j’ai massacré son trou de cochonne tout en lui donnant mes doigts à lécher un à un. Mes coups étaient violents, et la sueur abondante sur mon torse me rappelait l’époque des travaux forcés. Leïla hurlait de plaisir, en multipliant jouissance sur jouissance. La fontaine n’arrêtait pas de couler. J’ai sorti ma bite que je l’ai enfoncée d’un trait dans son cul divin. Une réaction éclair s’est emparée d’elle, mais très rapidement, la surprise a cédé place à des hurlements sauvages, surtout quand j’ai sorti de son sac à main un vibro que j’ai enfoncé dans sa chatte.
Nous étions deux à l’intérieur d’elle, le membre humain chaud dans son cul de garce et l’objet fou dans sa chatte. Ma bite entrait et sortait de son cul avec une facilité déconcertante maintenant. Preuve qu’elle avait réussi à le dilater en conséquence. Pendant ce temps, le vibro faisait tournoyer les reins de Leïla dont la respiration et les gémissements s’accéléraient davantage. Je pensais que la fontaine avait tari, mais quelle ne fut ma surprise de sentir de nouveaux jets puissants entre mes jambes. Leïla venait encore de jouir et elle n’arrêtait pas.
J’ai continué à défoncer son cul black jusqu’à ce que, sentant monter ma jouissance à la lisière du frein, j’ai sorti ma queue de son cul, et Leïla s’est accroupie pour s’en emparer. J’adore ce truc (ass to mouth). Leïla m’a sucé sur deux bonnes minutes en nettoyant totalement ma queue, puis m’a fait une branlette jusqu’à ce que je me vide entièrement dans sa bouche dans de longs râles en libérant des paroles insensées. Peut-être quelque chose comme ça : « Wowmaisputainpatateaaaha », je ne m’en souviens plus, j’avais complètement perdu mes repères. Leïla a entièrement avalé mon sperme. Elle s’est relevée, m’a donné un baiser doux, puis nous nous sommes rhabillés et avons dégagé des lieux en riant.
Nous avons ensuite rejoint mon ami avec qui nous avons mis le cap sur une petite ville à proximité, et là-bas, nous avons baisé à trois jusqu’à épuisement avant de regagner notre ville dans la soirée. Contre toute attente, le fantasme de Leïla venait d’être ainsi réalisé. Je vous confie quelques clichés de ma petite fée black prises dans une chambre avant le trio infernal. Leïla et moi continuons toujours de nous voir et de vivre de nouvelles expériences que nous avons maintenant décidé de partager avec vos nombreux lecteurs. Si cela vous tente, n’hésitez pas.
(Photo à la une : Getty Images)
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