Cours de plongée particulier
9 août 2021L’avantage d’être prof de plongée : mes élèves sont parfois de jolis tendrons. Laura, beauté blonde d’une vingtaine d’années, était de cette catégorie-là. Le problème, c’est qu’un peu nerveuse, elle a bien failli s’étouffer lors de son baptême en eau salée. J’ai donc pris les choses en main et lui ai proposé de venir me voir après mon dernier cours. Je m’appelle Sam, j’ai 32 ans et voici mon histoire porno.
Cours particulier
Nous nous sommes retrouvés sur la plage qui borde le centre de plongée. Elle venait de faire trempette et était vraiment sublime avec son bikini rouge qui laissait deviner ses tétons pointus… Je l’ai chambrée un peu sur son raté du matin, et nous sommes rentrés dans le centre pour un petit cours de respiration.
Le vestiaire était vide à cette heure-là. J’ai dit à Laura de s’asseoir sur le banc en bois et je me suis placé derrière elle, les jambes de part et d’autre des siennes. J’ai ensuite posé ma main sur son ventre. « Il faut que tu respires par là, gonfle jusqu’à ce que ma main se soulève. » Elle a commencé l’exercice pendant que je matais ses belles cuisses fermes. Il m’a fallu reculer un peu pour qu’elle ne sente pas l’érection qui se déclenchait dans mon maillot.
Laura m’a alors expliqué que c’était surtout la présence du tuyau dans sa bouche qui l’avait gêné. Était-ce son air coquin ou son bikini sexy qui m’ont poussé plus loin ? J’ai lancé : « Comme on n’a pas les bouteilles ici, entraîne-toi sur mes doigts. » Elle a simplement hoché la tête et a entrouvert les lèvres. Toujours assis contre elle, la main sur son bas-ventre, j’ai glissé deux doigts dans sa bouche. « Ne respire pas par le nez, laisse juste entrer un peu d’air entre mes doigts. ». Quelques respirations plus loin, Laura avait trouvé son rythme. J’ai enfoncé un peu plus loin mon index… et j’ai senti sa langue s’enrouler autour. Laura s’est mise à sucer langoureusement mes doigts : j’avais une ouverture !
Démonstration grandeur nature
Je me suis rapproché d’elle, collant ma bite gonflée contre son petit cul encore humide d’eau de mer. Elle s’est mise tout contre moi, faisant en même temps descendre ma main de son ventre à sa chatte. J’entrais dans sa petite culotte, trouvant sa minette collante de désir. Sa bouche me suçotait toujours l’index, et j’ai eu envie de voir comment elle s’en sortirait avec un autre genre d’embout. La proposition l’a séduite : je l’ai sentie se tortiller contre ma bite en entendant mes mots salaces.
Une minutes après, elle me pompait le dard comme une goulue. Plus de problème de souffle, mais une belle aspiration bien régulière, ponctuée par des gémissements de chienne. Quand elle a eu son compte de coup de gland sur la glotte, je l’ai remise en position assise, mais cette fois-ci ce n’était plus sur le banc, mais bien sur ma queue…
Je l’ai enfournée tout doucement : elle était tellement étroite qu’on aurait pu la croire vierge. Plus je l’enfilais profondément, plus ses petits cris se faisaient aigus. Quand enfin elle a été bien calée sur mon chibre, j’ai pu la faire coulisser comme il se doit. Elle était tellement humide qu’on entendait le bruit de sa chatte à chaque fois que je l’empalais, et entre mes mains je sentais ses petits nichons qui tressautaient en rythme. J’ai penché son buste en avant pour profiter du spectacle. Son beau petit pétard et juste en dessous, mon gros dard ouvrant grand sa minette.
J’ai joui en la traitant de petite salope, ce qu’elle n’a pas eu trop l’air d’apprécier. Sans rancune, elle s’est quand même allongée et s’est laissé caresser. Je lui ai mis deux doigts dans la chatte et je l’ai doigtée jusqu’à ce qu’elle vienne, mon sperme s’égouttant lentement pendant que je la branlais.
J’ai eu le plaisir de revoir Laura la semaine suivante, et cette fois-ci la coquine est venue avec une amie.
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