J’ai craqué sur eux
11 avril 2019Clémence, 28 ans, Caen.
Dernièrement, mon mari n’a pu partir en vacances avec moi pour des raisons professionnelles. J’ai passé seule mes jours de congés dans notre appartement de Normandie. J’ai fait la connaissance de nos voisins du dessus, Paul et Hassan, deux jeunes qui travaillent dans le coin. Lors de mes précédentes vacances, il m’arrivait de les croiser, mais « bonjour-bonsoir », cela n’allait pas plus loin. Me voyant seule cette année, ils m’ont proposé de venir boire un verre chez eux. Malgré une certaine réticence, l’idée de me retrouver avec deux jeunes hommes me plaisait.
Je portais une jupe courte, un chemisier, un mini slip et un soutien-gorge en dentelle. Nous avons pris l’apéritif. L’atmosphère était très détendue. Paul avait mis de la musique. Il m’a invitée à danser. Je savais qu’accepter, c’était me jeter dans la gueule du loup, mais mes sens m’empêchaient de refuser. Plus la danse avançait, plus Paul se collait à moi. Hassan, lui, nous regardait avec insistance.
Lorsque les lèvres de mon danseur se sont posées sur les miennes, je n’ai pas esquissé le moindre geste pour me dégager. Ses mains sont descendues vers mes fesses qu’il a commencé à palper au travers de ma jupe. Je sentais son membre pointer sous son jean. Si ma tête me disait de refuser cette étreinte, mon corps, lui, la réclamait. Bien vite, je me suis retrouvée avec la jupe et le slip à mi-cuisses. Les doigts de Paul ont commencé à frôler mon petit oeillet avant d’investir mon intimité. Je me suis cambrée pour le laisser activer sa main entre mes cuisses ouvertes. Paul avait quatre doigts bien calés en moi. J’ai senti l’orgasme monter.
En jetant un coup d’oeil derrière moi, j’ai vu Hassan tranquillement assis, en train de se masturber. Son sexe était large et luisant. Je n’avais qu’une hâte, l’avoir dans mon ventre. Paul qui savait la partie gagnée m’a conduite jusque sur le canapé et m’a embrassée. Nos langues et nos salives se sont mêlées. Mais, j’étais loin d’être rassasiée. Il a ouvert mon chemisier et a saisi mes mamelons gonflés de désir. En quelques secondes, mes derniers vêtements se sont retrouvés par terre. Paul a enfoui sa tête entre mes cuisses pour apaiser le feu de ma chatte. Sa langue me mangeait, mais mon plaisir était décuplé par la vision d’Hassan qui continuait à se caresser en nous regardant. À nouveau, la jouissance m’a submergée…
Puis, lentement, Paul est remonté vers moi, la bouche brillante de mouille, et il m’a embrassée. Il m’a demandé de me tourner et, sans aucune pudeur, je me suis positionnée en levrette sur le canapé. Les fesses en l’air, les seins posés sur l’accoudoir du canapé, je devais ressembler à une vraie chienne, et cela m’excitait ! Paul a dit à Hassan : « Vas-y, elle est chaude ! » Avant de réaliser ce qu’il se passait, j’ai senti la grosse queue d’Hassan à l’entrée de mon vagin. Sa pine s’est peu à peu immiscée en moi.
Paul était maintenant devant moi et me donnait sa bite à sucer. Je m’étonnais car je balançais sans cesse des mots vulgaires qui contrastaient avec mon comportement ordinaire au lit, dans les bras de mon mari ! Je poussais mes fesses vers Hassan pour qu’il me défonce plus fort, tout en lapant la tige de Paul. Soudain, Hassan s’est raidi et j’ai compris qu’il se vidait en moi.
Un instant plus tard, c’est Paul qui prenait la place de son ami entre mes cuisses. « Défonce-moi le cul ! », me suis-je entendu crier. Les mots sortaient sans que je les contrôle. Comment pouvais-je demander à un inconnu de me sodomiser, chose que je refuse depuis des années à mon mari ? Paul a trempé ses doigts dans ma chatte pleine de mouille et m’a enduit l’anus pour faciliter la pénétration. Son gros gland s’est pointé sur mon oeillet, et il m’a écarté les fesses avec les mains pour faciliter la pénétration.
Je n’ai ressenti aucune douleur. Au bout de quelques minutes, ses coups de boutoir m’arrachaient des cris de jouissance. Dans un dernier élan, Paul a rempli mon cul de son jus avant de s’écrouler sur moi.
Je pensais que cela ne serait qu’une expérience sans lendemain, mais il n’en a rien été. J’ai passé mes vacances à être leur objet sexuel, repoussant chaque fois mes limites. Aujourd’hui, j’éprouve de la honte, mais pas le moindre regret. J’aime mon mari, mais le sexe « normal » avec lui me paraît bien terne aujourd’hui.
(Image à la une : Getty Images)
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