Témoignage érotique :  » Elles ont le droit de jouir « 

Sorelle Spet 9 août 2021

Un explorateur arpente les terrains de la beauté intérieure et partage l’une de ses meilleures baises…

La phrase d’approche qui l’accroche

Tout a commencé par un flirt sur les réseaux sociaux. La fille en question avait suivi le compte Instagram de notre groupe de musique. Avec un pote et dans l’excitation, on décide de se pencher brièvement sur le dossier. En regardant son compte et en scrutant ses photos, on a eu la même réaction, plutôt enjouée : « wow, elle est jolie ! En plus, elle a l’air plutôt bonne « . Finalement, on est vite retourné à nos occupations, laissant s’écouler quelques jours. J’ai tardivement remarqué que cette même fille avait également suivi mon compte perso. Surpris et à la fois flatté qu’une meuf aussi fraîche me suive, je décide de lui rendre la pareille. La première étape étant faite, je cherchais à une phrase d’approche pour l’aborder, sans avoir l’air lourd. Il faut savoir que c’est l’une de mes spécialités, les phrases d’approche originales et rigolotes.

Au risque de décevoir, je ne me souviens plus de cette phrase… Mais il semblerait qu’elle ait été très efficace, parce que j’ai réussi à l’approcher et à l’accrocher (je ne me trompe jamais). Une fois l’hameçon lancé, on s’est mis à discuter de tout et de rien. Un sujet en particulier : la musique, nous a permis d’organiser une rencontre physique. Elle me fait savoir qu’elle a deux places pour le concert d’un artiste que j’aime beaucoup, pile au moment où son dernier album était sorti (le hasard fait décidément bien les choses non ?). Elle me propose alors une des places pour qu’on y aille ensemble. Évidemment, j’ai accepté, l’occasion était trop belle ! Je pouvais à la fois profiter du concert de l’un de mes rappeurs préférés et potentiellement soulever une meuf, qui aurait fait le difficile ?

Voilà, le premier date était lancé. J’étais content et j’ai décidé de me faire beau pour l’occasion. On s’est rejoint un peu avant le concert, histoire de faire connaissance, avant d’être noyé dans la foule et l’effervescence de l’événement. On avait prévu de boire quelques bières avant. On ne va pas se mentir, quelques verres aident souvent à enclencher le mode « drague/séduction ». Arrivé au point de rencontre, je la vois et là… je me rends compte que cette fille est une arnaque. Comme quoi les photos, filtres et les angles stratégiques ça aide ! Bon… ce n’est que partie remise et en tant que grand gentleman, je décide de ne pas prendre mes jambes à mon cou et d’aller au-delà du physique.

On boit quelques verres, on discute, on rigole et le courant passait vraiment bien ! L’heure du concert approchait et on s’est dirigés vers la salle. Une fois dans l’ambiance, j’ai été très surpris. Ce n’était pas une petite princesse pleine de manières. On sautait au rythme des musiques, on poussait les gens, on gueulait les paroles comme des malades, j’adore ce genre de personnalité ! J’ai failli oublier un détail. Le concert avait lieu à Nancy et la meuf en question habitait à Metz et on ne savait pas trop comment rentrer. C’est aussi une de mes spécialités, me lancer dans des aventures sans réfléchir à la manière dont je vais rentrer chez moi, ou pour le coup, chez elle.

La sauvageonne

Par chance, on trouve un BlaBlaCar qui faisait le trajet Nancy-Metz. Ni une, ni deux, on prend deux places et on rejoint le chauffeur. Une fois dans la voiture et en discutant avec le mec (qui soit dit en passant était aussi au concert), je lui dis que moi-même, je fais du rap. Truc de fou… Il me dit qu’il a une marque de vêtements et qu’il aimerait bien mettre en place une collaboration. Un rêve de gosse était en train de se réaliser. J’allais être sponsorisé par une marque de vêtements, à qui je devais, en contrepartie, offrir de la visibilité. Incroyable ! J’étais clairement en train de passer une soirée trop cool. Arrivés à destination, le mec nous dépose et je rentre avec la meuf. Pendant une fraction de seconde, je me suis même demandé pourquoi je rentrais avec elle. Mais bon… Mon temps de réflexion n’a pas duré longtemps. J’avais passé une soirée géniale, ça faisait longtemps que je n’avais pas couché avec quelqu’un, le calcul était vite fait.

On arrive chez elle, on s’installe sur le lit dos à dos et après un petit silence de 5 secondes, on se retourne pour se jeter l’un sur l’autre. On s’embrasse sauvagement, on se déshabille, non… on arrache quasiment nos vêtements tels des animaux. On peut dire que l’un comme l’autre, on avait la dalle et on comptait bien se rassasier mutuellement. Tout en se mangeant la bouche, elle est descendue vers mon entrejambe pour me sucer. J’étais clairement en pleine puissance, tout le sang de mon corps avait dû se concentrer dans ma bite tellement elle était dure. Franchement, elle savait y faire, parce qu’elle s’est délectée de ma queue comme d’une sucette gourmande à la saveur inédite. L’échauffement fait et la queue bien lustrée, on s’est mis à baiser tout aussi sauvagement. Honnêtement, c’était incroyable. Cette meuf, sans exagérer, savait y faire. Au point de le refaire plusieurs fois dans la même nuit et les deux jours qui ont suivi. Oui, je suis resté chez elle pendant deux jours et franchement, je ne regrette pas. C’était une vraie SAUVAGE qui m’a fait prendre mon pied pendant 48h !

Quelque temps après, je suis parti en Erasmus en Belgique. Toujours en contact avec elle, elle me confie qu’elle souhaite venir en Belgique et par la même occasion, voir ses quelques potes qui étaient sur place. Ouf ! J’allais la revoir et elle n’allait pas forcément rester chez moi ( j’avoue que ça m’aurait un peu fait chier…). Arrivée au plat pays, on se retrouve pour aller dans un bar. Une fois installés, on prend un verre, puis deux, puis trois et forcément, on est un peu éméchés. Sous l’emprise guillerette de l’alcool, des idées coquines nous sont venues.

Metz-Belgique

C’est à ce moment, qu’elle me dit » viens, accompagne moi aux toilettes « . Assez naïvement et sans forcément comprendre ce qu’elle avait en tête, je lui ai dit » d’accord » et l’ai accompagné dans les toilettes du bar. Une fois dans la pièce, elle m’a poussé dans une cabine, me plaquant contre le mur et s’est mise à me sucer. Wow ! Je ne m’étais jamais fait sucer dans les toilettes d’un bar et je me suis bien évidemment laissé faire (faut être difficile pour refuser une opportunité si excitante). Elle termine sa gâterie (et me termine par la même occasion), puis on quitte les lieux. Je pense qu’un des serveurs du bar a compris ce qu’il venait de tramer. En même temps, il fallait être bête pour ne pas, au moins, s’en douter. On est sorti de là avec des vraies têtes de détraqués sexuels, enfin… On transpirait le cul quoi !

Le bar fermait, on n’avait donc pas le choix de quitter les lieux (et franchement ça nous arrangeait). Sur le chemin du retour, enivrés d’alcool et d’excitation, on a commencé à se toucher furtivement. Mes mains effleuraient ses fesses, et parfois, les agrippaient. Elle m’a soudain entrainé dans une ruelle sombre, derrière un buisson. Elle a spontanément baissé sa culotte. C’était clairement une invitation. Elle était tellement impatiente, elle voulait que je la soulève maintenant, dans cette rue calme où les habitants dormaient sûrement profondément. On a cru se faire surprendre, alors on s’est arrêtés pour reprendre notre chemin. La scène s’est répétée au moins deux fois, jusqu’à ce qu’on arrive dans la rue où j’habitais. À aucun moment, nous nous sommes dit que nous allions finir cette baise chez moi, dans un lit, de manière tout à fait normale. Non, il fallait, parce qu’on le voulait, le faire là, maintenant.

On s’est calés dans une allée de garage d’un voisin. Une maison tout à fait familiale, avec un petit tracteur à roulettes (ce qui sous-entendait qu’il y avait des enfants dans cette maison). On n’en avait strictement rien à faire. On voulait seulement reprendre cette baise qui n’a cessé d’être interrompue (ce qui soit dit en passant, avait permis de faire monter la température d’un coup, la preuve…). Elle était à genoux, par terre, dans l’allée de garage. Je la prenais en levrette, et vraiment on s’y donnait à coeur joie ! Je la tartinais à un rythme effréné et elle prenait autant son pied que moi. Jusqu’à ce que je lui dise : « Merde… je crois que je vais finir « . Il était beaucoup trop tard pour que je me retienne. En me retirant d’elle pour éjaculer, mon jet s’est projeté sur le sol de cette allée de garage. Juste derrière le monospace familial, à côté du tracteur pour enfant et surement sous les fenêtres d’une chambre à coucher. On peut dire que j’ai su laissé une trace (de sperme) de mon passage en Belgique !

Honnêtement, elle m’a fait prendre conscience que les filles les moins attirantes sont parfois les meilleurs coups, même très souvent ! J’ai pu vérifier cette théorie à plusieurs reprises (ce n’est pas basé que sur cette expérience) et je leur dois mes meilleures baises.

Alors mesdames, merci à vous d’être aussi satisfaisantes et ne changez pas, vous savez comment nous régaler. Les mecs, essayez d’aller parfois au-delà des critères physiques, car les moins charmantes ont aussi le droit de jouir !

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