Au premier rang

La rédaction 10 août 2021

J’ai une histoire porno assez dingue à vous raconter. Je suis un jeune étudiant en affaires internationales et je me suis retrouvé en stage à New York pendant l’été. J’étais en colocation avec une jeune femme, appelons-là Lola, qui m’intriguait beaucoup. J’étais très absorbé par mon stage et ma nouvelle vie new yorkaise et je n’avais pas vraiment le temps de m’intéresser aux filles car je finissais en même temps un mémoire sur lequel je planchais le soir. Une des seules femmes de mon entourage était donc cette Lola, jeune femme blonde de mon âge assez mignonne et toujours à se balader en petite tenue. Je la trouvais assez excitante, mais je me disais que ce n’était pas une bonne idée d’avoir une aventure avec sa coloc. Du reste, elle ne paraissait pas particulièrement intéressée par moi. 

Découverte inédite

Parfois, elle organisait des fêtes lors desquelles elle se retrouvait quasiment à poil avec des copines à elle et je l’entendais de temps en temps finir avec plusieurs personnes dans sa chambre pour baiser, filles comme garçons. En général, je me branlais tout seul en écoutant ses gémissements qui ne me seraient jamais adressés, mais dont je profitais par procuration en l’écoutant baiser. Douce musique ! 

Un matin, je me suis retrouvé avec une amie à elle qui était restée pour le petit déjeuner alors que Lola était partie bosser. L’amie m’a demandé si je savais quel travail elle faisait. C’est alors que j’ai réalisé que j’ignorais tout d’elle. Pour moi, ma colocataire était une simple étudiante. C’est alors que sa copine m’a expliqué son boulot pour payer ses études : actrice porno. Lola, ma colocataire, n’était autre qu’une petite référence du X, assez connue de certains amateurs aux États-Unis ! J’étais abasourdi. Après que j’ai eu intégré cette information, je n’ai pas résisté à la tentation de la chercher sur Internet. Très vite, je suis tombé sur des vidéos d’elle. Et là, ça a été n’importe quoi.

Je me suis mis à tout regarder, tout lire, tout visionner sur elle. Je la voyais jour après jour, dans la vraie vie et sur les écrans, et je la fétichisais de plus en plus. J’avais des rendez-vous virtuels avec elle le soir, dont elle ne savait évidemment rien. Un jour, je regardais dans mon lit une vidéo dans laquelle elle faisait une double pénétration avec deux hommes. Son jeune cul et sa chatte prenaient deux bites qui alternaient pour bien la remplir pendant que son visage se tordait sous ces assauts – de douleur ou de plaisir ?

Je la désirais de plus en plus et je l’imaginais nue quand je la voyais dans l’appartement, nourri de toutes les images que j’avais absorbées d’elle. Un jour, elle m’a dit qu’elle savait que son amie m’avait mis au courant de ses activités. Elle m’a raconté son parcours et m’a parlé de sa liberté sexuelle et des plans cul qu’elle organisait parfois avec quelques amis proches. Elle m’a dit qu’elle appréciait ma discrétion et le fait que je n’ai jamais mentionné son boulot ni tenté de la draguer. Alors elle m’a proposé de venir voir le tournage d’une vidéo qu’elle tournerait dans sa chambre bientôt avec son pote producteur qui voulait faire des vidéos d’elle dans le style « amateur ». Il lui arrivait de convier certaines personnes pour les tournages intimistes dans lesquels les mecs pouvaient se branler dans leur coin pendant qu’elle performait. J’ai hésité puis, fasciné, j’ai fini par accepter. 

VIP

Le jour J, je me trouvais dans la pièce avec le réalisateur qui filmait avec un gros appareil photo et deux autres mecs spectateurs comme moi. Lola était avec un acteur porno, une espèce d’étalon plus âgé qu’elle. Elle l’a sucé devant la caméra sous les encouragements du producteur.

Ses seins fermes débordaient de son soutien-gorge trop petit et elle faisait passer la bite du mec dans le creux de sa poitrine. Une vision de rêve. Puis elle s’est placée à quatre pattes sur son lit, avec sa couverture avec des motifs de couleur rose, pour se faire sauter par son partenaire. 

La grosse queue l’a pénétrée en un mouvement et le mec s’est mis à la baiser avec force. Puis ils ont changé de position en fonction des indications du producteur et ont fini en cuillère face à la caméra pour que les spectateurs voient bien la bite du mec entrer dans sa fente et leurs deux corps remuer de concert. 

Son visage si doux et charmant était boursouflé de luxure, ses mines, certainement théâtrales, mimaient l’exaltation sexuelle. Je n’osais pas me branler comme les mecs à côté de moi, trop impressionné et tétanisé par la scène. Finalement, son partenaire a éjaculé sur ses seins pour la prise finale et elle en avait partout sur sa belle peau fine. Sonné et la bite dure comme du bois, je me suis volatilisé dans ma chambre pour me séguer comme un forcené. 

J’ai eu des images dans la tête pendant des mois, suffisamment pour me branler des dizaines de fois… Et avec tout ça, je n’aurais pas rencontré d’autre fille à New York. Après coup, j’ai trouvé ça assez pathétique. Mais Lola, à elle seule, m’avait donné suffisamment de bonheur et de plaisir pour tout l’été de mon stage. Depuis que je suis rentré en France, j’ai quelques nouvelles, elle m’a même envoyé des vidéos d’elle en exclu avant tout le monde. Délicate attention !

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