Dans le bureau du patron

La rédaction 17 août 2019

Alexandra, 36 ans, Carros.

Dans le bureau du patron

Je suis une fidèle lectrice depuis quelques années. J’ai 36 ans, mariée depuis dix ans, et je me considère comme une « pute ». Voici pourquoi. À l’époque, je venais d’être nommée secrétaire de direction dans une petite entreprise du sud de la France. J’avais comme patron un homme grand, charmant, avec des yeux bleus, tout pour me plaire. J’ai compris par ses regards qu’il n’était pas insensible à ma personne.

Un jour, je suis entrée dans son bureau. J’avais une petite robe courte et légère avec un mini-string et un soutien-gorge, car c’était l’été et il faisait très chaud. Je me suis assise en face de lui, et en croisant et décroisant les jambes. Il regardait sous ma jupe, ce qui m’a excitée au plus haut point. Pendant tout l’entretien, il n’a fait que ça. Un moment après, il s’est levé, il est passé derrière moi, j’ai senti ses mains me caresser le cou, puis les seins. Je n’osais pas dire non, surtout que j’en avais envie. Je me suis levée à mon tour en lui faisant face, et nous nous sommes embrassés fougueusement.

Pendant ce temps, il avait fait tomber ma robe. Ses mains parcouraient mon corps avec sensualité. Je me suis mise à genoux et j’ai ouvert son pantalon. Dans son slip, j’ai déniché une belle surprise: un membre de bonne taille, pas trop long mais bien épais, exactement comme je les aime. Je l’ai mis dans ma bouche, et je l’ai sucé non seulement avec envie, mais avec plaisir. Au bout d’un moment, il a descendu mon string, enlevé mon soutien-gorge, et il m’a doigtée avec délicatesse. J’étais trempée. Je lui ai demandé de me prendre. Il m’a alors assise sur le bureau, et il s’est enfoncé en moi avec une douceur et une lenteur calculées. J’étais au bord de la jouissance, quand il m’a retournée et m’a prise en levrette. Après quelques minutes à me tarauder la chatte, il a pointé sa queue à l’entrée de mon cul, et m’a forcé les reins sans me faire mal. Après plusieurs va-et-vient dans mon fondement, je n’ai pas tardé à avoir un orgasme violent et très long, qui m’a fait hurler de plaisir. Il s’est vidé sur mon cul.

Quelques jours plus tard, il m’a demandé de me mettre sous son bureau pour le sucer au cours d’un entretien avec deux représentants. J’ai gardé son membre dans ma bouche pendant une vingtaine de minutes. À la fin de la discussion il a tout déchargé dans ma gorge. J’ai avalé au fur et à mesure. Pour moi, c’était une première ! Cela fait maintenant cinq ans qu’il me possède presque tous les jours. Je lui suis tellement soumise qu’il peut me faire obéir à tous ses caprices. Depuis trois ans, il m’a interdit de porter tout sous-vêtement. Que je sois au travail ou en dehors, je me promène entièrement dénudée sous mes robes.

Voilà, j’espère que j’ai fait bander beaucoup d’hommes, c’était le but de ce témoignage !

(Image à la une : Getty Images)

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C’est qui le patron ?
« Cyril m’a tout fait. Je me suis fait lécher, titiller, pincer, retourner, baiser par tous les trous. Après avoir défoncé ma chatte, il m’a obligée à sucer sa queue trempée de mouille, puis l’a plantée dans mon cul après m’avoir longuement doigté par-derrière. » Ingrid.

La promotion et le patron
« Puis, il m’a demandé poliment de me retourner à quatre pattes. J’ai accepté en silence et je me suis fait embrocher par son gros dard en moins d’une minute. » Rachel.

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