Mon boss, cet éjaculateur précoce

La rédaction 7 avril 2019

Laure, 24 ans, Nantes.

Il avait deux téléphones, un dans chaque main, et paraissait agacé par ses interlocuteurs. J’ai quand même osé frapper à sa porte, timidement. Toc, toc, toc. « Je ne vous dérange pas, monsieur ? » Il s’est servi de mon intrusion pour mettre fin à ses appels, et son visage colérique s’est d’un coup transformé en un large sourire. « Oui, qu’est ce qu’il y a ma petite Laure ? » Ce n’était pas la première fois que mon boss m’appelait « ma petite… » (et je n’étais d’ailleurs pas la seule à avoir le droit à ce traitement de faveur), mais je fondais littéralement à chaque fois.

« Ça y est, c’est le dernier jour. Ce soir, je pars définitivement. » Il a eu l’air étonné. « Ah bon, six mois déjà ? Mais vous allez où après ? » Je devais finir mes études en école de marketing et ne pouvais de toute façon pas continuer dans son entreprise. Il a fait une moue déçue. C’est vrai que j’étais plutôt douée pour mettre les gens à l’aise et j’avais obtenu quelques contrats intéressants pour la boîte durant mon stage. Mais je ne pouvais pas prolonger ma carrière ici. Il a commencé à mordiller son stylo d’un air perplexe. Je l’avais vu faire des centaines de fois, c’était un signe de contrariété. Pour être tout à fait franche, je passais mes journées à l’observer. Henri.

Mon boss. L’homme qui siégeait dans le fauteuil en cuir en face de moi, à travers la vitre teinté qui séparait son bureau de l’open space. Je craquais sur ses mains musclées, son autorité naturelle et son rire chaleureux depuis le début de mon stage.

« On peut peut-être se faire un café ce soir ? Pour que je vous fasse le débriefing ? » Ça y était, je l’avais fait ! J’avais osé l’inviter à un café ! Cela faisait six mois que je me promettais de passer à l’acte en n’osant pas lui marmonner plus qu’un simple bonsoir en rentrant chez moi… Mais, j’avais franchi le cap. Il m’a dévisagée, impassible. J’avais envie de disparaître sous la moquette, de fondre, de partir en courant, mais je suis restée plantée là, en me tortillant nerveusement, inquiète de sa réponse. « Bien sûr, ma petite. Dix-neuf heures, café du général. » Son téléphone s’est mis à sonner comme pour ponctuer la fin de la phrase, mettant fin à notre conversation.

Au café, je ne savais trop quoi lui raconter. Je monopolisais la parole (pour éviter les moments de silence gênants) en lui parlant de mes études, des clients que j’avais rencontrés au sein de l’entreprise et de mon enrichissement personnel. Il m’écoutait assidûment un sourire bloqué sur ses lèvres. « Tu sais que tu es incroyablement mature pour ton âge ? » J’ai rougi et, dans l’empressement du compliment, j’ai posé ma main sur la sienne. Je l’ai immédiatement retirée en balbutiant quelque excuse. « Pardon, je ne sais pas ce qui m’a pris… » Il s’est penché vers moi et m’a embrassée, d’un coup. « Pardon, je ne sais pas ce qui m’a pris… » Un long moment de silence gênant a suivi. Il a demandé l’addition, et nous nous sommes levés de nos chaises en même temps. Une fois arrivé à la porte d’entrée, il m’a soufflé à l’oreille : « Hôtel ? » J’ai acquiescé d’un signe de tête.

Nous avons pris le premier hôtel qui était sur notre route – un trois étoiles, pas terrible mais correct – et nous nous sommes jetés sur le lit. Il m’a déshabillée à la hâte en embrassant toutes les parties de mon corps. Il avait gardé sur lui son costume et sa cravate. J’ai essayé de les lui retirer avec peine, c’est qu’il était bien serré dans ses vêtements. Il a tout retiré avec facilité et dans des mouvements terriblement sexy. Nous étions tous les deux nus sur le lit. Ça pour être un débriefing, c’était un débriefing ! Je l’ai branlé et sucé. Sa queue n’était pas énorme (dans mes fantasmes, je m’étais imaginé une grosse queue virile et bien dure), mais elle faisait tout à fait l’affaire !

Quelle n’a pas été ma surprise de voir qu’au bout de deux minutes, à peine, il m’avait déjà joui dessus ! Il s’est excusé, un peu maladroit. « Désolé, je crois que je suis parti un peu trop vite. »

Mon boss, un éjaculateur précoce ! D’un coup, il m’est apparu beaucoup moins impressionnant que derrière son bureau… Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences ! Je savais bien que ce stage allait être très enrichissant…

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé, vous aimerez aussi…

Merci patron !
A l’occasion d’une soirée de lancement de produit, un petit vieux bedonnant m’avait fait des avances plutôt insistantes en me menaçant de se plaindre à mes supérieurs si je ne me «laissait pas faire».

Une bonne grosse promotion
« N’étant pas très fidèle, ce n’était pas un coup de bite de plus qui allait me gêner. Je me suis faite plus câline. Le DRH a déboutonné mon corsage et, toujours derrière moi, il a sorti mes seins de leur bonnet. Ce salaud m’excitait à me tripoter de la sorte. Je sentais son sexe grossir contre mon dos. » Véronique.

À retrouver sur notre plateforme VOD

Une femme classe habillée en tailleur se confesse et raconte comment elle a réalisé son fantasme.


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru