Camping paradis
21 décembre 2020Patrick, 54 ans, emmène une jeune femme rencontrée sur Internet en vacances dans un camping. Il lui réserve une belle partie de baise à 3 !
Retrouvez ici toutes nos histoires de sexe.
Moi, c’est Patoche, l’homme qui murmure à l’oreille des gourmandes. Une des plus chaudes, je l’ai connue il y a 2 ans. Un régal que les interstron.ruistes n’auraient pas boudé !
Pour ne pas trop en dire, je me contenterai d’expliquer que j’ai rencontré Cathie dans le Sud-Est, sur un site de rencontres. On s’est tout de suite bien entendus, et comme l’été arrivait, nous avons décidé de partir en camping sur la Côte. Je précise que j’avais à l’époque 52 ans et Cathie, 20 de moins. J’aime la chair fraîche et elle voulait quelqu’un de mûr, « pour changer des minets de son âge » soi-disant… J’ai vite compris qu’elle cherchait surtout l’aventure.
Dès que nous sommes arrivés au camping, Cathie a commencé à draguer d’autres mecs. Et pas discrètement : elle faisait ça sous mon nez ! Au début, ça m’a gavé et j’ai pensé la dégager. Et puis j’ai trouvé que c’était aussi flatteur de voir ma poupée se faire mater par des barbons. Là encore, elle tapait dans le vieux, alors j’ai pensé qu’on pourrait s’amuser un peu.
Un soir, on est allés au bar du camping. Vu que Cathie faisait des sourires à un quadra grisonnant qui servait au comptoir, je l’ai prise par le bras et on est allés discuter avec lui. Il s’appelait Roger. Au bout de 4 ou 5 cocktails, je lui ai soufflé à l’oreille que l’on pourrait se retrouver à notre bungalow. Puis on est rentrés avec la pépée, et un quart d’heure plus tard, il s’est pointé.
Le timing était parfait. J’avais préparé la petite : culotte blanche et rien d’autre, à part ma botte secrète : quand je voulais qu’elle kiffe un max, j’avais pris l’habitude de lui bander les yeux avec un masque. Elle s’est laissée faire, pensant que j’allais la niquer comme d’habitude. Mais ce soir-là, j’avais prévu un extra.
Cathie s’était allongée sur la banquette du bungalow et je lui caressais lentement les seins. En voyant Roger passer devant la fenêtre, je suis allé ouvrir la porte, un doigt sur la bouche pour qu’il reste silencieux. Il est entré discrètement. Là, j’ai vu ses yeux s’éclairer quand il a vu le petit lot allongé sur la banquette, les yeux bandés. Cathie rigolait en me demandant ce que je fabriquais. Je lui ai lancé en souriant : « Tout doux, j’arrive. » Je me suis désapé et Roger a fait de même.
Deux beaux mâles, la queue au garde à vous devant cette caille prête à embrocher… Tout était parfait. J’ai commencé par me faire sucer. Cathie ouvrait grand la bouche et je me laissais engloutir en donnant des petites claques à ses nichons tout durs. De sa main agile, elle me palpait les roustons puis me branlait alternativement, avant de me gober le gland de plus belle. J’étais fier de montrer à Roger, Cathie, la belle suceuse.
Je voyais le barman durcir de plus en plus et j’ai eu envie de le regarder farcir sa bouche. D’un geste, je l’ai invité à me remplacer. Les cocktails aidant, la petite n’y a vu que du feu. Pourtant, Roger avait du mal à ne pas se trahir avec ses grognements et se plantait si loin dans la gorge de ma coquine qu’elle en avait des haut-le-cœur… Mais elle a continué à pomper comme une championne.
Cathie a fini par comprendre le topo quand je me suis calé entre ses jambes, tandis que Roger s’accroupissait au-dessus d’elle pour une prise en bouche optimale. Je l’ai entendue rire entre deux sucions : la coquine était ravie de laisser ses orifices béants à deux hommes en même temps ! J’ai pu vérifier son niveau d’excitation en lui collant deux doigts au fond de la chatte. Dedans, c’était les grandes eaux !
Je l’ai léchée en la regardant se faire prendre le gosier. J’aurais pu la baiser mais j’étais trop heureux de sentir la mouille se déverser sur ma langue, tandis que Roger soufflait comme un bœuf en essayant de se contrôler. Je l’ai encouragé : « À mon avis, elle a envie d’un cocktail de plus… Tu devrais lui servir tout de suite ! »
Le type a un peu hésité, puis je l’ai vu se mettre à quatre pattes au-dessus de ma coquine. Il la couvrait presque et j’entendais Cathie qui s’étouffait sur sa queue. Il l’avait plantée jusqu’à la garde ! Un gargouillis plus tard et j’ai compris qu’il avait souillé sa jolie bouche. J’ai alors tout donné : en quelques coups de langue bien appliqués, elle a joui à son tour, en récompense du travail accompli.
Roger s’est tiré sans demander son reste. J’ai fait prendre une douche à Cathie, et j’en ai profité pour la niquer sous le jet d’eau brûlant.