Les charmes sensuels de l’Asie
5 juin 2020Dans notre histoire de sexe du jour, Mimi, jeune femme 28 ans, nous raconte la torride expérience qu’elle a vécu avec l’ami d’un ami…
Je suis une jeune femme de 28 ans. L’heure est venue de vous raconter mon histoire de sexe. Mon apparence fait fantasmer pas mal d’hommes. Je suis fine, j’ai la peau pâle et douce, petits seins et petites fesses fermes et bien dessinés, cheveux noirs et raides coupés au carré. J’ai des origines asiatiques et je me suis rendu compte que certains hommes avaient une véritable attirance pour les femmes comme moi. Ils pensent tous que je suis hyper docile au lit et qu’ils peuvent me faire ce qu’ils veulent. Il se trouve que je ne suis pas exactement comme ça dans la réalité et que j’aime beaucoup tenir les rênes d’un coït. Alors, comme j’aime bien jouer, je prends plaisir à coucher avec ce genre de mecs aux idées préconçues. Dernièrement, j’ai fréquenté un ami d’ami qui louchait depuis un moment sur moi. Il adorait les femmes asiatiques, paraît-il. Et il me plaisait bien. Je me disais qu’il avait sûrement plein de clichés et que je me ferais une joie de les explorer avec lui !
Alors j’ai pris les devants et je lui ai proposé que nous soyons amants. Bien sûr il fut super surpris, mais il ne me l’a pas fait répéter deux fois !
Un après-midi chez moi, je lui ai ouvert la porte à poil pour notre premier rendez-vous coquin. Il s’est un peu figé. Il était tout timide ! Je lui ai dit : « Alors, comment tu crois que les femmes asiatiques sont au lit ? Tu veux que je te montre ? Tu es prêt à te laisser faire ? » Il a hoché la tête comme un petit enfant pris en flagrant délit. Je l’ai pris par la main pour l’emmener dans ma chambre.
Il s’est mis nu et, à ma grande satisfaction, lui aussi était très bien foutu ! La peau ferme, un ventre plat, une peau d’abricot… J’ai pris les choses en mains car je voulais qu’il fasse exactement tout ce que je lui disais de faire. Je me suis allongée sur le ventre, offerte. J’aime bien être stimulée par-derrière. Je me suis accoudée contre le matelas, les fesses à l’air, accessibles aux caresses. « Caresse-moi le corps », ai-je demandé. Mon amant a parcouru mon dos, mes fesses, mes cuisses, très respectueusement. « C’est bien. Maintenant, caresse-moi la chatte. » Il a avancé ses doigts vers ma fente sous mes fesses et j’ai légèrement écarté les cuisses pour lui donner accès à mon minou. « Allez, mieux que ça ! » l’ai-je motivé. Il a caressé plus délicatement, puis s’est mis à me doigter de son index qu’il a courbé comme un crochet pour stimuler mon point G. Je tendais davantage le cul en arrière pour qu’il me pénètre bien. Encouragé par mon attitude, il a introduit deux doigts et s’est bien appliqué à exciter l’intérieur de mon sexe. « Bon élève », ai-je dit. J’aimais bien qu’il procède en suivant toutes mes indications, il était comme soumis, à l’écoute de mes moindres désirs.
Quand il m’a eu bien doigté la chatte, je l’ai invité à avancer son pieu pour voir ce que ça donnait. Il bandait dur contre mon cul. Il s’est approché et est entré progressivement, en tenant mes fesses écartées dans ses mains pour mieux se frayer un chemin et jouir du spectacle. Hum, j’aimais son membre chaud ! « Maintenant, pénètre-moi bien, et applique-toi ! » Il a fait quelques allers-retours et cette stimulation qui prolongeait celle de ses doigts, ravissait mon point G qui palpitait sous ses assauts. Je le laissais malaxer mes deux globes de chair et même prendre des photos. Je tournais un peu la tête vers lui et je sentais qu’il dévorait des yeux ma chatte rose avec ses petites et grandes lèvres parfaitement ourlées dans lesquelles coulissait si bien sa verge tendue. Le coquin savait apprécier les jolies choses ! « Allez, finis de rigoler, maintenant je vais monter sur toi ! », ai-je déclaré. Il s’est allongé, docile et je me suis mise à califourchon sur lui, de dos, car je ne voulais toujours pas croiser son regard. Ainsi il pouvait continuer à se repaître du spectacle de mon joli cul et de ma minette qui avalait son chibre. Je n’avais qu’à remuer le bassin pour l’engloutir tout entier.
C’est moi qui avais le contrôle et qui m’auto-enfilais sa bite épaisse. Je l’ai laissé saisir mon cul à nouveau et même me donner quelques fessées délicieuses pendant que je descendais sur sa tige ! Les petits coups me faisaient dégouliner de mouille sur sa bite. « Alors, est-ce que tu aimes ça ? » Il semblait bien que oui, car il gémissait sans arriver à articuler plus de mots.
S’il ne pouvait plus parler, il s’avérait fringant et surtout très endurant.
Alors, pour qu’il me prenne encore plus à fond, je me suis allongée et j’ai basculé mes jambes par-dessus la tête, offrant ma vulve toute humide, suspendue en l’air, à sa bite qui m’honorait. Il n’avait qu’à s’y aventurer pour y disparaître d’un coup ! « Allez, baise-moi maintenant ! » C’était à son tour de bouger son bassin pour me satisfaire et son chibre entrait parfaitement entre mes cuisses. Mon corps basculait à chaque secousse et ma chatte amortissait ses allées et venues. J’adorais le sentir comme ça, dans cette position acrobatique. Seules nos parties génitales étaient en contact et j’en profitais pour me masser le clito. Encore une fois, il ne lâchait pas ma chatte du regard. Sa fascination et sa vénération de mon entrecuisse amplifiaient les efforts de sa queue ! Je frottais plus fort, jambes par-dessus tête et il me baisait plus vite, jusqu’à ce que je nous autorise à jouir. Cet homme s’était avéré être un amant excellent et, docile, il est devenu mon disciple dévoué !
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