Grosse bite dans la grosse pomme

La rédaction 27 septembre 2024

Lise, 35 ans profite de ses vacances et de son amant NewYorkais bien monté. Avec lui elle découvre de nouveaux plaisir comme l’exhibition et bien plus…

New York ! La ville qui ne dort jamais ! Tout y est démesuré, on le sait, mais lorsqu’on y est confronté en vrai, pas de doute, tout est fou, plus haut, plus grand, plus gros qu’en Europe. J’y suis allée l’été de mes vingt-cinq ans, j’avais loué un bel appartement dans Greenwich village, tout le charme des séries américaines sans le bruit de Manhattan. Je n’ai pas été longue à me faire draguer, cela tombait bien, j’étais là pour découvrir toutes les facettes de la ville, sexe inclus. C’est donc l’occasion de partager mon histoire de sexe amateur.

Mon amant New-Yorkais

Kenan, un pur New-Yorkais avec des ascendances irlandaises (d’où sa tignasse rousse, pubis compris), m’a introduit dans les secrets de la mégalopole et … m’a introduit tout court. Dès que nous avons commencé à fricoter, j’ai palpé son paquet, il était exactement comme je le désirais, lourd et volumineux. Mon amant d’outre-Atlantique s’est avéré être un cochon très vicieux et j’ai adoré ça ! De mon côté, je raffole du sexe et nous nous sommes éclatés au lit ! Quand je l’ai vu nu la première fois, il ne bandait pas, je l’ai fait grossir dans ma bouche en le suçant. Il était monté comme un âne le petit salaud et il souriait benoîtement en me forçant la mâchoire afin que j’accueille au maximum cet énorme morceau ! Il tenait son portable en main et me filmait en train de le pomper. Loin de m’offusquer, j’ai été très excitée par cette nouvelle perversion de sa part. J’ai donc abandonné sa bite pour un temps et j’ai joué les mannequins dans l’appartement.

Il était fou de ma croupe, je lui ai offert mon popotin bien rebondi sous toutes les coutures, m’agenouillant pour faire saillir mon bombé et écarter le plus possible mes globes pour qu’il se repaisse de ma chatte toute mouillée et de mon anus brûlant. Il n’en revenait pas que tout soit naturel chez moi, de mes seins à mes fesses, pas de silicone, aucune trace de collagène, juste une petite frenchie qui n’avait pas froid aux yeux. Son gourdin massif m’a emmenée au paradis à chaque fois que l’on a baisé ensemble. Ceci dit, j’avais l’habitude, avec le français, qu’on fasse tout pour que je jouisse en premier, là pas du tout. Il me prenait, la plupart du temps en levrette, il photographiait sa fierté masculine enfoncée dans ma chatte et éjaculait quasiment instantanément. Il filait sous la douche et revenait avec un priapisme qui n’avait rien perdu de sa superbe, il m’essuyait la fente avec des lingettes et me remettait son pieu dans le vagin comme si de rien n’était ! (Oui, bizarre quand même les Amerloques !)

Dentelle, éjaculation et exhibition

Comme moi, Kenan avait été biberonné au porno, il avait donc des idées précises sur ce qu’il désirait. Sa principale obsession, tout voir. Il me sautait toujours avec son téléphone à la main ou devant un miroir pour me mâter sous toutes les coutures. Et évidemment, à son panthéon du cul, se trouvait tout en haut l’éjaculation faciale. Je n’avais jamais eu de copain dont c’était le délire, mais je voulais bien essayer, j’avoue que j’y ai pris goût. Après m’avoir ramonée à mort et fait atteindre l’orgasme je ne sais combien de fois, je repérais une lumière s’allumer dans ses yeux, c’était le signal, je me mettais à genoux, à ses pieds, et soit il se branlait, soit c’est moi qui lui astiquais le manche. Quelques gouttes perlaient à l’extrémité de son gland puis cela fusait ! Des jets épais et denses d’un foutre liquide et grumeleux qui atterrissait au petit bonheur la chance sur mon front, mes paupières, mon nez ou ma bouche avant de couler lentement le long de mon cou jusqu’à mes deux beaux melons bien fermes.

Monsieur adorait également la lingerie, il m’en a couverte et, moi qui suis plutôt « no bra » et culotte en coton, j’y ai pris goût ! Je m’offrais donc à lui en ayant enfilé des bas fantaisie, des culottes à froufrou fendues au niveau du sexe… J’ai adopté le porte-jarretelles et, je dois reconnaître que quand un amant s’accroche à ce dernier, les coups de queue sont bien plus puissants et vont taper loin au fond de la chatte ! J’ai aussi goûté aux plaisirs de l’exhibition, doucement Kenan m’a poussé à poser près des baies vitrées de l’appartement. Pas mal de types m’ont bien reluquée alors que mes seins ou mes fesses étaient collés aux carreaux. J’en ai même aperçu un qui a sorti sa bite vite fait ! Cela a transformé ma sexualité, à la fin de mon séjour, je ne voulais plus qu’on baise qu’à côté des fenêtres ! Kenan me laissait le sucer ainsi puis me prenait debout, mon regard cherchant un spectateur, mes doudounes ballottant en tous sens tandis que je recevais les assauts de la grosse matraque tout au fond de ma grotte serrée.

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