Masturbation sous contrôle

La rédaction 2 février 2020

Alice, 24 ans

Je m’appelle Alice, j’ai 24 ans et je suis étudiante à Montpellier, en anglais. J’aime les mecs baroudeurs du genre surfeurs, marins ou globe-trotters. Et comme dirait ma grand-mère, on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre. Alors, pour choper des beaux gosses tout frais, je vais me servir directement chez le producteur : les plages perdues pour les amateurs de gros rouleaux, les campements sauvages fréquentés par les rockers ou les ports de plaisance…

Cet été, j’ai rencontré un type trop chelou sur une plage des Landes. Il m’a tout de suite plu avec son corps sec et puissant. Son short de bain moulant affichait complet et ses dreadlocks cascadaient sur ses épaules : il n’en fallait pas plus pour me faire fondre. Il m’a payé un panini au bar de la plage. Le soir, nous nous sommes retrouvés dans une discothèque du coin. Je commençais à le trouver un peu prude, l’étalon : il nous avait achetés de jolis bracelets de cheville tout mignons… Mais, à 2 heures du matin, il n’avait encore rien tenté.

Quand ils ont passé du Lady Gaga, je l’ai chauffé un peu sur la piste de danse et j’ai senti qu’il y avait du répondant en dessous de la ceinture. Nous étions dans la pénombre et dans la foule… J’ai dans le beau panier. Il a attrapé mon poignet et m’a demandé d’être patiente. Là, j’ai eu un vieux doute… Qu’est-ce que c’était que ce gros timide ?! J’ai mieux compris l’affaire quand nous avons atterri chez lui deux heures plus tard. Nous sommes directement allés dans sa chambre. Là, il m’a demandé de me déshabiller (enfin !). Puis il m’a fait prendre la position que vous pouvez voir sur les photos. Il voulait me photographier pour sa collection personnelle, ce sale petit vicieux !

Il fallait que je me branle en ouvrant grand les jambes ! Il m’écartelait du bout des pieds et caressait sa longue queue tout doucement, comme un massage. Il venait sucer mes doigts de temps à autre pour les humidifier et goûter à ma mouille. A force de me frotter le clitoris et de me fouiller la chatte, j’ai fini par jouir plusieurs fois de suite, en gémissant. Je me sentais lourde, la tête me tournait. Je dois bien avouer que cette position frustrante m’excitait pas mal. Et il n’arrêtait pas de shooter, encore et encore. J’avais l’impression d’être dans un studio de film porno.

A un moment, il s’est redressé précipitamment et s’est mis debout à côté de moi. « Branle-moi, Alice« , a-t-il doucement ordonné. Je l’ai pris en main, j’ai caressé ses couilles. Après seulement quelques mouvements de poignet, il m’a repeint tout le profil ! Je crois que je n’ai jamais eu autant de sperme dans l’oreille. Nous avons pris une douche, et il s’est excusé au moins cent fois de m’avoir baisée comme ça. Je lui ai suggéré un bon moyen de se faire pardonner. Il m’a léché la chatte pendant une heure dès que je suis sortie de la douche. C’était déjà beaucoup plus à mon goût !

Nous n’avons plus rien fait de sexuel de l’été, mais nous avons traîné ensemble. Je me marrais bien à le regarder brancher d’autres nanas, ça me rappelait notre partie de cul tordue. Enfin, je l’ai gardé en ami sur Facebook, et il m’a fait parvenir quelques clichés de notre nuit. Ils vous plairont peut-être, enfin j’espère ! A plus les polissons, et baisers salés à tous.

(Image à la une : Getty Images)

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