Prends-moi… En photos !
2 juin 2021Lucie, 28 ans a découvert LE truc pour relancer sa libido : la belle est exhibe’ et en profite comme il se doit avec ses deux amants dans un trio endiablé !
J’ai expérimenté un truc qui a fait redécoller ma sexualité : l’exhibitionnisme. Je suis encore dans les études, en thèse, et, à 28 ans, je vis toujours dans un petit studio au papier peint fleuri vieillot sous les toits, où je reçois mes plans cul. Depuis quelque temps, je m’ennuyais un peu et je sentais que j’avais besoin d’un coup de pouce pour relancer ma libido. J’ai donc organisé un plan avec deux de mes amants. Je vous raconte mon histoire porno.
L’un, Andy, devait venir me voir comme d’habitude pour une partie de baise et un autre, Léo, ne devait pas bouger d’un coin de la chambre pour nous zieuter tout du long, nous prendre en photo et se faire du bien s’il en avait envie.
Les deux étaient de mèche et cela répondait aussi bien sûr à leurs délires respectifs : Léo était voyeur, et Andy exhib comme moi. Andy est un bel homme aux cheveux et aux yeux très noirs et à la peau brune. C’est un de mes préférés et je sais que moi aussi je lui plais pas mal avec mon corps mince, mon joli visage, ma chatte poilue qu’il adore… Bref, nous nous amusions bien et nous étions le duo parfait pour réaliser ce scénario.
Andy a sonné à la porte et je l’attendais déjà sur mon matelas, à poils. Léo était déjà installé. Il est entré, a vu Léo assis en tailleur face au lit de l’autre côté de la pièce et moi, à l’aise, la chatte à l’air. Il a eu un instant d’hésitation et puis il a souri. Il avait très envie de moi, et encore plus sous cet oeil de pervers-mateur. Je savais que ça allait le faire délirer ! Moi aussi, je voulais qu’il vienne tout de suite à mes côtés, qu’il s’allonge et qu’on baise à cœur joie. Andy m’a rejoint sur le matelas et il m’a embrassée.
Il s’est foutu à poil à son tour et s’est étendu sur le côté. Les cuisses écartées, j’ai donné en spectacle ma fente ourlée de poils à Léo qui nous prenait en photo en tremblant presque, tandis qu’Andy caressait l’intérieur de mes cuisses, effleurait mon clito et suçait mes lèvres. Ces deux hommes qui me regardaient et me touchaient, l’un avec les yeux et l’autre avec ses mains, me comblaient.
Ma libido repartait au quart de tour. Andy s’est déplacé entre mes jambes pour se mettre à me lécher avec sa technique dont il a le secret – des dizaines de mini-mouvements de la pointe de la langue, comme un agacement, qui a le don de me rendre folle. Je gémissais, perdant toute décence sous l’objectif de Léo qui, à me voir gémir, avait sorti sa queue et avait commencé à se masturber devant nous. Je voulais maintenant qu’Andy me prenne, me chevauche, me souille de ses sécrétions. Je le voulais tout à moi, et me donner pour notre spectateur lubrique. Nous nous sommes mis de côté pour donner un bel angle de vue au photographe et mon amant m’a prise en levrette avec brutalité et tendresse.
Il caressait mon cul, flattait ma coupe, mais en même temps, il ne me ménageait pas dans ses coups de trique qui surchauffaient ma chatte. Ensuite, nous nous sommes rallongés et j’étais légèrement au-dessus de lui, une jambe par-dessus son corps et il pouvait me fourrer avec sa bite de côté, tout en me tenant sous le genou. J’adorais pouvoir le sentir sous tous les angles, et éprouver l’animalité de sa queue. Je voulais à présent le dominer et je me suis mise sur lui, de sorte que Léo pouvait voir mon cul gigoter et sa bite entrer dans ma chatte.
J’ai calé mes pieds sous ses cuisses pour avoir suffisamment d’appui afin de valdinguer comme une furie sur son érection. Je ressentais son sexe qui occupait toute la place dans mon vagin et venait chaudement frictionner toute sa surface en me faisant mouiller comme rarement, d’autant que j’entendais derrière nous Léo qui s’astiquait la bite de plus en plus vite. Plus j’entendais les bruits de sa branlette et plus je poussais sur mes genoux pour baiser sauvagement mon amant, et plus sa bite s’enfonçait dans mon puits d’amour.
Nous étions en sueurs, pantelants. A force de le monter et de me frotter contre la rondeur de son ventre, je suis partie dans un orgasme violent qui m’a fait gueuler tout ce que je pouvais. La présence de Léo n’y était pas pour rien : je jouissais littéralement de me donner en spectacle. Andy n’était pas encore venu, alors je me suis installée, encore haletante, sur le matelas pour le sucer jusqu’à ce qu’il offre à notre photographe une belle giclée de foutre sur mes seins, et que Léo lui-même finisse par jouir dans des râles remplis de reconnaissance.
Depuis ce petit jeu, je suis devenue accro au fait d’être regardée. Du coup, c’est un peu plus d’organisation, mais aussi plus de plaisir !
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