Les meilleurs cigares sont cubains

La rédaction 7 février 2021

Chantal, 63 ans, réalise un fantasme vieux de plus de 30 ans : faire l’amour avec un beau métis…

Je m’appelle Chantal, j’ai 33 ans et voici mon histoire de sexe.

En préparant notre voyage à Cuba, mon mari m’avait indiqué que c’était une population chaude et très sensuelle, alors je me suis mise à penser que j’allais peut-être pouvoir réaliser un fantasme vieux de plus de 30 ans : faire l’amour avec un beau métis… Et c’est effectivement ce grand bonheur que j’ai connu. Nous avons pu très vite vérifier ce que mon mari avait lu, notamment les tenues sexy des filles : shorts et brassières moulants, elles étaient sans complexe et décontractées.

Une soirée salsa avec hommes et filles du pays où nous avons été très bien accueillis nous a vite convaincus sur leur grande sensualité et aisance avec leur corps. C’est à Cienfuegos, dans un hôtel près d’une plage de la mer des Caraïbes, que mon fantasme a pris les traits de Daisvel. Beau métis d’une trentaine d’années, grand, élancé, lèvres bien dessinées, souriant, avec de belles dents blanches. Il était élégamment vêtu d’un pantalon gris et d’une chemisette blanche ouverte. Il s’occupait de l’animation de l’hôtel. Mon mari avait encore à récupérer du décalage horaire, il est allé se coucher après le repas.

Nous étions une vingtaine à danser la salsa avec Daisvel et je n’avais d’yeux que pour lui et sa manière de bouger souplement son joli corps. J’avais opté pour une tenue en rapport avec la température extérieure : petite robe légère et colorée, elle m’arrivait à mi-cuisse, et laissait visible un beau tiers de la partie haute de mes seins (du 90B). Lorsque la danse s’est arrêtée, plusieurs personnes s’en sont allées et la salsa a fait place à des chansons très langoureuses de Béni Moré, l’enfant du pays. Sur cette musique douce, à ma grande surprise, Daisvel est venu m’inviter à danser avec un grand sourire. J’ai accepté, bien évidemment. Quel excellent danseur ! Il avait une tête de plus que moi. Après plusieurs minutes, il a doucement calé ma tête contre son épaule ; ses deux grandes mains, les doigts écartés, me tenaient serrée contre lui. Petit à petit, il m’entraînait tout en dansant vers un endroit plus sombre. Avec une très grande douceur, il a écarté ses doigts, quelquefois avec une petite pression, me prodiguant ainsi plusieurs mini-caresses en même temps dans le dos.

Toujours avec tendresse, il a remonté une main vers le haut de mon dos qui était nu. II a continué presque imperceptiblement ses toutes petites caresses très sensuelles. Il m’a demandé en anglais : « Tu aimes ? » Et moi : « Oui, oh oui ! » S’arrangeant pour ne pas être vu des autres, il a passé très délicatement deux doigts sur la partie nue de mes seins, et m’a dit « Ils sont beaux ». Je le trouvais sincère. Alors moi aussi je l’ai caressé doucement dans le dos. Il m’a regardée et m’a souri d’une manière complice. À la fin de la danse, nous n’étions plus que deux. Il s’est risqué à un très doux baiser de plusieurs secondes à la base de mon cou. Il m’a demandé : « Tu es seule ? – Oui. – Tu veux bien rester avec moi ? » Le tout en caressant doucement mes seins et en me fixant bien dans les yeux. Je lui ai demandé : « Tu as un préservatif ? » Son visage s’est éclairé et très souriant, il m’a lancé un triomphal : « Yessssss ! » Il m’a collée contre un mur et avec ses deux mains, il a caressé la partie nue de mes seins, puis nos lèvres se sont jointes. Il a fermé quelques portes, m’a prise par la main et m’a dit « Viens ».

Quelques deux-cents mètres plus loin, il m’a fait entrer dans sa chambre qu’il a fermée à clé. J’allais vivre un moment inoubliable. Il m’a caressée en partant de la nuque jusqu’au bas des fesses, de manière progressive et douce. Mon corps s’électrisait, ses mains s’insinuaient entre mes seins et mon léger soutien-gorge. Il m’a dit : « Fais-moi voir tes trésors », j’ai dégagé le soutien-gorge et la petite robe est tombée. Il a enlevé sa chemisette.

J’ai découvert son torse parfait et cuivré, ses mains et sa bouche sont venus pour mettre mes seins au garde-à-vous. « Merveilleux, ils sont merveilleux, je te veux » Je lui ai répondu : « Moi aussi. » Il a défait sa ceinture et posé son pantalon. Il n’avait plus qu’un slip où je devinais sans peine une grande tige déjà bien raide qui tirait en avant le coton blanc.

En me caressant doucement les hanches, en prenant bien son temps après avoir caressé mes fesses, il a baissé ma culotte et me l’a fait enlever. Il s’est allongé sur le lit et m’a fait signe de le rejoindre. « J’aimerais que tu suces mon cigare » a-t-il demandé en dirigeant ma main sur son slip. Très délicatement, j’ai largement dégagé l’élastique du slip et presque automatiquement, son beau cigare s’est dressé. Je l’ai caressé, mes doigts allant jusqu’à ses couilles. Et je me suis mise à fumer le cigare en ourlant le gland avec ma langue. Oui, il est bien vrai que les cigares cubains sont les meilleurs du monde ! Je me suis appliquée peut-être comme jamais, il me caressait la nuque et me disait qu’il était très heureux.

Il s’est retiré de ma bouche, m’a placée sur le lit, couchée sur le dos, un oreiller sous les fesses… Il a déroulé un préservatif sur sa belle bite colorée, en restant très calme et tout sourire. Il a placé sa tête face à ma chatte ouverte et avec une infinie douceur, pendant plusieurs minutes, avec sa langue experte, il m’a caressée du rectum au clitoris sans oublier le haut de mes cuisses. Je le laissais faire, c’était un délice tel que je n’en avais peut-être jamais éprouvé. Il m’a demandé si j’aimais et je lui ai répondu : « Non, j’adore. » Ma chatte, déjà bien mouillée, dégoulinait à présent. Il lapait ma mouille et en répandait partout du rectum au clitoris gonflé comme jamais. Ces instants étaient très intenses.

Il s’est positionné en face de moi, a placé sa verge à l’entrée de mon vagin et sans s’aider de ses doigts ou des miens, son gland a ouvert mes chairs les plus intimes. Simplement avec de longs mouvements de bassin, sa bite s’est enfoncée un peu plus en moi à chaque coup, jusqu’à la pénétration totale. J’ai senti sur mon clitoris le frottement de ce long membre, au rythme toujours langoureux. Ses longs va-et-vient m’ont menée à la jouissance. J’ai caressé et pétri ses deux belles fesses bien fermes. Je vivais un des plus beaux moments de ma vie et, presque au même instant, nous avons tous les deux atteint les sommets de l’orgasme. Il est venu coller son corps contre le mien pendant que son sperme s’écoulait en longs jets.

Il a cherché mes lèvres et les a trouvées. Nos langues ont joué, nos lèvres aussi, pendant plusieurs minutes, l’intensité est progressivement remontée. Puis, tout doucement, il s’est retiré. Il a retiré la capote et est allé se laver dans la petite salle d’eau. Quand il est revenu, j’étais décidée à redonner de la vigueur à ce cigare incomparable. Quelques trois minutes ont suffi. Je lui ai demandé si je pouvais le photographier, ce qu’il a accepté avec fierté. Il m’a raccompagnée à ma chambre. Le lendemain matin, nous avons changé d’hôtel sans que je le revoie. Inoubliable !

(Photo à la une : Getty Images)

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