La coloc à fion

La rédaction 10 mars 2021

Seb, étudiant, se retrouve à partager sa grande coloc avec Chloé et Aïda, sa cousine, venue visiter Paris. Un trio chaud bouillant pour conserver le moral en période de pandémie…

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Bonjour,

Moi c’est Seb, je suis étudiant en dernière année de fac à la Sorbonne et je vis, comme beaucoup de mes comparses, en collocation. Un petit appart dans le 17ème arrondissement, sixième sans ascenseur, c’est loin d’être Versailles mais c’est propre, la vue est sympa et on a suffisamment de place pour trois ou quatre personnes.

Vivent avec moi Chloé, une étudiante en médecine aussi douée (elle a eu le bac à seize piges) que délurée, Charlotte, qui est en troisième année aux beaux-arts, elle est sage comme une image c’est le cas de le dire, voire aussi froide que le marbre des statues qu’elles rêvent d’exposer un jour, un peu à la Camille Claudel, la folie en moins. Enfin, par intermittence parce qu’il effectue des stages aux quatre coins du monde, Paul, un franco-anglais, sympa, des parents friqués et qui nous donne de quoi remplir le frigo même quand il n’est pas là.

Ah ! J’oubliais, nous avons deux autres « hôtes » dans l’appart, un hamster, qu’on a appelé Rocco Siffredi vu qu’il sort sans arrêt son machin rose et pointu et qu’il nous semble membré comme un âne … enfin, on manque de comparatif question pénis de hamster et bien sûr, ce cher et démoralisant confinement qui s’est installé chez nous comme partout en France et dans le monde.

Plus que deux dans la colocation

Du coup, avec les « stop and go » de la fin 2020, Paul est parti en Israël puis quelque part dans le Golfe Persique, Charlotte, qui n’avait plus du tout de cours en présentiel, est partie dans sa famille vers Tours, ne sont plus resté dans l’appart que Chloé et votre serviteur.

Comme dans une entreprise, nous avons des règles pour que notre petit co-living se passe bien, de l’attribution des rayonnages dans le réfrigérateur aux corvées de lessive, des courses à la cuisine et surtout, surtout, pas d’histoires de cul entre nous, meilleure façon de créer des tendions, si j’ose dire et de faire exploser notre petit groupe qui, bon an mal an, ne s’en sort pas mal du tout dans 80 m² !
Forcément à deux juste avec Chloé, on se marchait moins sur les pieds. Les quinze premiers jours sont passés tranquillement, on jouait pas mal ensemble le soir sur la console, on a discuté un peu plus de nos vies et j’ai découvert une nana vraiment sympa et à l’écoute, au-delà de son intellect étincelant.
La semaine suivante elle m’a demandé si elle pouvait accueillir une de ses cousines, même si tout était fermé sur la capitale, cette dernière voulait visiter un peu Paris et passer du temps avec Chloé. La moitié de nos co-locataires étant absente, nous leur avons quand même posé la question et en deux coups de téléphone tout était réglé.

Aïda est arrivée le surlendemain. Le choc !
Une petite bombe moitié marocaine, moitié française. Un mètre soixante-cinq, brune aux cheveux lissés interminables, une taille sculptée, des seins hauts en forme d’obus mis en valeur par un décolleté plongeant, des yeux de biche, une bouche ourlée et pulpeuse et un petit cul qui n’a rien perdu de sa superbe une fois son jean envolé … mais ne brûlons pas les étapes !
Le lundi et le mardi, comme pour Louis XVI le 14 juillet 1798 : RIEN

Un joli mercredi de fin d’année…

Mais le mercredi, le soir venu, j’ai entendu des bruits inhabituels venant de la salle de bain. Comme des plaintes mais polyphoniques et surtout étouffées. Il se trouve que notre appartement est doté d’un petit balcon et que, en se penchant de manière un peu acrobatique, on a accès à une espèce de vasistas dont la vitre n’est pas opaque. Je me suis risqué à aller voir de plus prêt ce qui se passait sous la douche. Je n’en suis pas revenu !

Charlotte et Aïda se caressaient sous la cascade d’eau, le pommeau fixé à son support, les deux corps recouverts partiellement de mousse que le jet effaçait au rythme de leurs mouvements. J’avais bien anticipé le fait qu’Aïda était gaulée comme une reine, pour l’heure elle était de dos et je voyais les courbes incroyables de ses hanches fines, ses fesses superbes, rondes et rebondies, Charlotte, quant à elle m’offrait ses seins voluptueux, deux fruits lourds aux aréoles petites et froncées d’où émergeaient de gros tétons bruns et, plus bas, stupeur, une touffe de poils bruns, comme j’avais pu voir sur d’anciennes stars de porno vintage. La main d’Aïda s’afférait dans ce buisson épais et les rictus de plaisir de ma coloc semblaient prouver que cette jongle fournie n’empêchait en rien la précision des caresses. Je me suis mis à bander sous mon pantalon de jogging mais dans ma position, impossible de me branler ou même de filmer.

J’ai tenu le plus que je pouvais, reluquant culs, chattes et nichons puis, gagné par les crampes (et pas que celle entre mes jambes !) j’ai regagné ma chambre pour me branler. Moi qui suis long à jouir, j’ai éjaculé en seulement quelques secondes. Mon sperme a fusé avec force, j’en ai reçu jusque sur mon menton ! Cela faisait un moment que je n’avais pas été aussi excité ! J’ai attendu que le bruit dans la douche se taise et j’ai filé à mon tour me laver. Je bandais toujours comme un âne et je n’ai pu résister à la tentation de fouiller le panier de linge. J’y ai trouvé les culottes de mes deux coquines, poisseuses de mouille et odorantes à souhait. Je me suis masturbé une seconde fois, mon gland en était rouge vif à force de frictions, les jointures de mes articulations blanches tant je serrais ma queue, j’ai craché une seconde fois, deux petits filets seulement se sont échappés de mon méat gonflé. J’en avais mal au poignet, au biceps et à la bite. J’ai fini de me laver, je me suis séché et j’ai regagné mon lit. Impossible de trouver le sommeil, les images rémanentes de Charlotte et d’Aïda me hantaient.

A trois au Strip Trivial Pursuit

La journée du jeudi a été bizarre. Chacun a vaqué à ses occupations, entre cours en ligne, révision, repas sur le pouce et petites pauses. Rien de spécial à première vue mais les filles riaient pour un rien, minaudaient, se lançaient des œillades mystérieuses. J’avais l’impression d’être le dindon de la farce, sujet de moquerie mais je ne me suis pas vexé, j’ai joué le jeu du type qui fait comme si de rien n’était. Bien m’en a pris.

Le soir venu les filles ont proposé de faire une partie d’un jeu de société quelconque. Le choix, limité, s’est porté sur un Trivial Pursuit. Le plateau a été installé, j’ai préparé des cocktails assez chargés en rhum et nous nous sommes installés autour de notre petite et unique table qui nous sert à peu près à tout. Les fameux camemberts ont rejoint le centre du plateau et là, les filles se sont regardées, ont opiné du chef en même temps et Aïda a lancé :
« On pourrait changer les règles ! On n’a pas besoin des camemberts, celui ou celle qui ne répond pas correctement enlève une fringue ! Strip Trivial ! »

J’ai dû avoir les yeux comme des billes quelques instants mais les images de ces deux petits canons sous la douche m’ont vite fait opiner du chef ! Mon esprit avait beau être un peu tourneboulé, l’opportunité était trop belle pour ne pas la saisir. Et même si les deux ne voulaient baiser qu’entre elles, je les aurais au moins vues à poil d’un peu plus près. Toujours bon à prendre.
Le jeu a commencé, le dé roulait, les filles choisissant leur thème et répondant brillamment aux quatre premières questions qui leur ont été posées, j’ai eu moins de chance, deux erreurs sur quatre, ce qui m’a valu de perdre mon sweat et mes deux chaussettes. Les filles arguant que, portant des collants, cela valait pour une pièce et que ça s’appliquait aussi aux chaussettes.

Les six questions suivantes m’ont vu reprendre l’avantage. J’ai perdu ma chemise et me suis retrouvé torse-nu mais les filles ont commis erreur sur erreur, Charlotte a terminé en culotte-collant-soutif et Aïda a opté pour virer tout ce qu’elle portait en haut et s’est offerte topless gardant tout ce qu’elle portait sous la ceinture.
Les questions suivantes m’ont permis de découvrir les seins de Charlotte, puis la culotte d’Aïda et m’ont fait perdre ma ceinture et mon pantalon. Encore quelques tours, deux autres cocktails et nous nous sommes tous trois découverts en tenue d’Eve … et d’Adam.
La situation avait clairement glissé, les filles ont commencé à se caresser et moi, à bander. J’étais tétanisé. Ne sachant si le jeu allait s’arrêter là pour moi, endossant le rôle de simple voyeur. Je n’osais même pas me caresser, obnubilé par les lèvres d’Aïda qui s’ouvraient pour permettre à la langue de Charlotte de la fouiller sensuellement. Puis ce furent leurs mains qui entrèrent en action. Caressant les seins de l’autre, effleurant leurs hanches, leurs fesses et leurs entrejambes.

C’est Aïda qui a rompu le silence, s’adressant d’abord à Charlotte :
« On ne va pas le laisser comme ça quand même le pauvre ? »
Puis se tournant vers moi :
« C’est quand même mieux qu’à travers la lucarne de la salle de bain non ? »
Je me suis senti rougir comme jamais, j’en ai même débandé sur le champ ! Merde ! Je m’étais donc fait gauler dans les grandes largeurs ! Moi qui pensais avoir été discret.
Charlotte s’est alors tournée vers moi et m’a embrassé, comme elle veniat d’embrasser Aïda. Ses lèvres pulpeuses me mangeaient littéralement, elle embrassait follement bien. J’ai fermé les yeux pour profiter de ces sensations délicieuses quand j’ai senti d’autres lèvres sur ma virgule devenue flasque. Je sentais quelques gouttes d’excitations perler à mon méat et d’un coup la langue d’Aïda qui venait butiner ce miellat salé. Et elle a pris toute ma queue dans sa bouche, aspirant doucement puis recrachant mon appendice qui a commencé à avoir un sursaut. Les ongles de la belle marocaine sur mes bourses, mes mains s’enhardissant, l’une sur un des seins de Charlotte, l’autre sur un de ceux d’Aïda, ma queue s’est gonflée à en exploser.

Je ne savais plus si j’étais dans un rêve ou si cette scène était bien réelle. J’ai rouvert les yeux pour découvrir la longue chevelure noire d’Aïda monter et descendre au rythme de la fellation dont elle ma gratifiait, la main de Charlotte enfouie entre ses cuisses, elle ouvrait sa chatte de deux doigts et caressait son bourgeon qu’elle avait énorme ! C’était ma première avec deux filles et je voulais graver chaque instant dans ma mémoire. Impossible de tout capter, de tout capturer, c’était trop ! Et il fallait que je me maîtrise pour ne pas balancer la purée avant d’avoir honorer ces dames … si elles désiraient aller jusque-là. Mais tout indiquait que tel était le cas.

Je suis sorti de ma torpeur et j’ai été plus proactif. D’abord je me suis de nouveau rincé l’œil, ou plutôt les deux yeux. Charlotte et Aïda se sont lovée dans le canapé, m’entrainant par le bout de la queue. J’ai eu tout le loisir de plonger mon regard dans tous les atours des deux filles déchainées.
La chatte de Charlotte était imberbe, lisse comme un abricot et fendu comme le fruit d’été. Son anus rose était une étoile aux traits fins et allongés, il palpitait au rythme des coups de langue qu’Aïda appliquait sur son clitoris.
Celle d’Aïda était assez touffue et très noire. Je suis d’une génération qui a été « biberonnée » aux foufounes rasées ou épilées intégrales, quel plaisir surprenant d’être confronté à un sexe de femme « entier », poils compris. Sa toison était soyeuse et sa fente rose vif aux nymphes exubérantes et voluptueuses tranchait, ainsi nichée au creux de cet écrin d’ébène. Elle mouillait énormément et sa cyprine coulait le long de sa raie, inondant son petit trou brun, petit puits lisse et sombre.

Leurs jeux de langue ont duré un moment, j’allais de l’une à l’autre, invité à jouer les voyeurs, elles se faisaient un malin plaisir à écarter les fesses de l’autre, à ouvrir les lèvres du sexe qu’elle léchait, m’offrant le spectacle de leur intimité la plus profonde. Je discernais parfaitement le clitoris de Charlotte gros comme une belle câpre, celui plus timide mais visiblement fort sensible d’Aïda, leur méat s’ouvrait comme de petite bouche alors qu’elles distendaient leurs nymphes trempées. Tantôt c’était la main blanche de ma colocataire qui me branlait, tantôt c’était les doigts cuivrés qui enserraient mon membre congestionné et j’ai enfin osé porter une main timide vers les deux corps entremêlés.
Vous imaginez ce que peut être un feu d’artifice constitué d’un unique bouquet, flamboyant et interminable ? Et bien c’est exactement ce que j’ai vécu ce soir-là.

Charlotte et Aïda se sont laissées glisser du canapé pour m’entraîner dans une des chambres, elles m’ont allongée et se sont agenouillées de part et d’autre de mon corps. J’ai vu ma queue disparaître successivement dans leurs bouches gourmandes, la délaissant parfois pour se rouler une pelle tout en me branlant doucement. La large bouche aux lèvres ourlées d’Aïda faisait des merveilles quant à Charlotte, elle avait une façon de me caresser les couilles en faisant onduler sa langue sous ma hampe qui a failli me faire partir plusieurs fois.

Une boite de capotes est apparue comme par magie et Charlotte a recouvert ma bite vibrante de désir, Elle s’est installée sur moi, a guidé mon pieu et s’est laissée glisser. Aïda s’est mise debout sur le lit, elle a tangué quelques instants en équilibre, s’est retournée pour me présenter son beau petit cul puis s’est accroupie au-dessus de mon visage, ma première expérience de face-sitting ! Elle basculait ses hanches d’avant en arrière, me donnant à laper son con puis son anus puis de nouveau son con, ainsi de suite. J’ai adoré son goût, son parfum anal musqué et sa mouille épicée. Elle coulait en goutte à goutte dans ma bouche, elle insistait en écartant son cul pour que mon anulingus soit le plus pénétrant possible. J’ai perforé son anneau, je lui ai littéralement bouffé le cul.

Charlotte se déchaînait sur moi, se branlant d’une main et me triturant les couilles de l’autre, j’ai même eu la sensation qu’elle se doigtait l’arrière-train en même temps. Puis elle s’est arrêtée net, j’ai senti son vagin se contracter avec une intensité folle. Elle a émis une espèce de stridulation suraiguë avant de se répandre en cris rauques et gutturaux. Elle m’a trempé tant sa mouille était abondante. Mon sexe était nimbé de sa fontaine tandis que mon visage était barbouillé par la cyprine d’Aïda.
Ma colocataire s’est levée, elle m’a embrassé sensuellement tandis qu’elle donnait à sucer ses doigts nappés de sa jouissance à Aïda. Elle lui a chuchoté quelque chose à l’oreille et la belle marocaine a juste répondu part un « Oh oui … » à m’arracher les couilles.

J’ai alors vu Charlotte venir lui bouffer le cul puis l’aider à se mettre debout, toujours dos à moi elle s’est accroupie au niveau de mes hanches et Charlotte s’est occupé du reste. Changement de préservatif, j’avais l’impression d’être une formule une rentrée au stand et dont on changeait les pneus à la vitesse du son ! Elle a remballé mon engin dans un capote neuve, elle m’a sucé goulument en laissant échapper de sa bouche un flot impressionnant de salive, ma bite baignait littéralement dans une mousse blanche et épaisse. Elle a glissé deux doigts dans l’anus d’Aïda, elle lui a foré le cul, tournant et retournant ses phalanges jusqu’à ce que le petit trou soit bien dilaté et ouvert. Elle a chopé ma queue et en a placé le gland à l’entré de ce trou du cul visiblement très accueillant. On parle souvent de l’hospitalité des marocains, ce n’est pas en vain ! Son derche m’a avalé jusqu’aux couilles avec une facilité qui trahissait une certaine habitude de la sodomie. Mais je n’en étais qu’au début de mes surprises ! La belle s’est mise à onduler puis à faire des va-et-vient sur mon obélisque, elle s’enculait doucement quand j’ai senti son anneau commencer à me pomper ! Incroyable, elle contractait son cul de telle sorte qu’elle imprimait un mouvement d’aspiration. Divine sensation que cette impulsion née de son fondement. Elle m’a attrapé les mains et m’a demandé de lui pincer les seins, Charlotte est venue appliquer un vibro sorti de je ne sais où sur son clito, la situation était folle !
J’ai penché la tête pour profiter du spectacle ? C’était trop pour moi. Ma queue apparaissait et disparaissait en alternance dans l’anus distendu d’Aïda, j’apercevais le sex-toy sur son clito, le corps d’Aïda, souple et félin cambré au-dessus de mon torse pour me permettre de lui malmener ses tétons bruns et érigés.

J’ai voulu prévenir de ma jouissance mais celle-ci a été aussi fulgurante que volumineuse. J’ai lâché un cri, aussitôt Aïda qui venait de jouir du cul et du clito en même temps s’est soulevée comme un chat, Charlotte a arraché ma capote dégoulinante de sperme et les deux se sont « battues » pour avaler mon gland qui continuait d’éjaculer de longs traits blancs.
Elle se sont roulé une pelle d’enfer sous mes yeux, je voyais mon lait perler à la commissure de leurs lèvres. J’étais dans la quatrième dimension.

Nous nous sommes blottis tous les trois, moi au milieu. Les trois jours qui ont suivi, avant le départ d’Aïda, n’ont été que parties de baise et trios endiablés. Elles m’ont fait découvrir le plaisir prostatique, la joie de l’ondinisme sous la douche et le mois prochain Aïda vient avec un de ses amis bi, au programme ? Double-pénétration, fist et fellation … promis je vous raconterai si j’ai aimé sucer un mec !
Voilà, comme quoi on peut toujours trouver du positif aux pires situations, le confinement est très limitant, c’est vrai, mais au sein d’une colloca … fion … il peut apporter bien des plaisirs !

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