Coup fourré à l’arrière

La rédaction 1 septembre 2019

Clara, 23 ans, Paris.

Coup fourré à l'arrière

Avec mon copain nous sommes allés dans un musée d’art moderne. J’avais mis une jupe très courte, juste à la limite des bas, un haut croisé et plus que décolleté. Naturellement, je ne portais ni soutien-gorge, ni culotte. Mon homme adore quand je suis peu vêtue. Dans le musée, j’ai admiré les tableaux et les sculptures. J’avais laissé mon manteau au vestiaire. Mon ange, lui, a admiré mes reliefs. À chaque escalier, on pouvait apercevoir mes bas, et parfois plus…

Après le musée, nous sommes allés faire un peu de shopping et nous nous sommes arrêtés dans un sex-shop. J’ai fait quelques essayages de petites robes sexy qui m’ont surtout permis de me faire mater par la clientèle masculine. Puis, la nuit venant, nous sommes partis à la recherche d’un endroit calme pour apaiser le feu qui brûlait entre mes cuisses. Nous avons fini par nous arrêter sur un parking routier. Mon copain a stationné la voiture entre deux gros camions. Il a ôté tous mes vêtements, sauf mes bottes et mes bas. J’ai sucé sa queue dans la voiture, mais je me suis très vite rendu compte que quelque chose d’anormal se passait.

C’est à ce moment que mon amour m’a dit qu’on avait un observateur. D’abord, ça m’a angoissée et j’ai voulu arrêter, mais il m’a suggéré de faire comme si le voyeur n’était pas là. Par petites pressions sur mes fesses, il m’a fait tourner mon cul vers la vitre afin que le mateur voie tout. Mes fesses écartées se sont écrasées contre la glace, mon anus touchait la vitre froide. Pendant que j’avais son pénis en bouche, mon homme m’a ouvert les lèvres et m’a mis un doigt dans le cul sans prévenir, je n’étais plus gênée du tout. Au contraire, j’étais très chaude. Nous sommes sortis du véhicule. Mon copain a fait comprendre au routier qu’il avait le droit de regarder mais pas de toucher. Il m’a alors pénétrée par-derrière.

J’étais debout, lui derrière moi en train de me fourrer très fort, tout en me tenant les nichons. J’étais penchée en avant, et le chauffeur de camion, juste face à moi, se branlait énergiquement. J’étais fascinée par ce pieu assez noueux et qui était asticoté à quelques centimètres de mon visage. Mon homme, comme gagné par encore plus d’énergie, me pénétrait comme un fou. Alors que je me délectais de ses va-et-vient, l’inconnu en face de moi s’est approché de plus en plus près, au point de toucher mes lèvres avec son gland doux. Prise dans l’action, j’ai très naturellement gobé ce sexe dans ma bouche. Comme si je l’avais toujours sucé, comme si je le connaissais de longue date, et pendant que mon doudou me labourait, j’ai fait une fellation à un parfait inconnu.

J’ai senti mon amour jouir au même moment que moi, et le routier a lâché sa semence dans ma bouche en me maintenant la tête. Je l’ai aspirée et j’ai avalé jusqu’à la dernière goutte de son jus. L’inconnu est parti sans nous dire un mot. Nous nous sommes rajustés, et nous sommes repartis, enfin repus.

(Image à la une : Getty Images)

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En voiture, Simone !
« Elle nous a pompés l’un après l’autre, en s’appliquant à mort et avalant hyperprofond. J’étais le dernier des trois. Quand elle est passée à mon chibre, j’ai eu peur de débander devant mes potes. » Maxime.

À l’arrière du restaurant
« Ensuite, nous avons quitté le restaurant et, dans les escaliers du parking, j’ai commencé à la doigter, à la lécher, même. » Pascal.

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Ce garage est assez spécial, le patron adore prendre le joli cul de sa secrétaire pendant que ses deux mécanos font tout leur possible pour insérer une coquine en réinsertion. Malheureusement une cliente insatisfaite va se plaindre mais le patron sait bien qu’une bonne orgie entre les employés et les clients résout tout.


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