C’est qui le patron ?

La rédaction 18 mars 2021

Ingrid, 36 ans, chef d’entreprise.

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Si on m’avait dit un jour que moi, la chef d’entreprise qui impressionne ses salariés, je me ferai dominer par mon assistant, j’aurais bien ri. Et pourtant…

Cyril est nouveau dans la boîte. Dès ses débuts, j’ai senti qu’il n’était pas comme les autres employés de la PME que j’ai fondée. Plus sûr de lui, très détendu dans ses rapports avec moi, il est presque arrogant. Il faut croire que ça m’a plu, puisqu’un soir où nous travaillions tous les deux sur un dossier, je l’ai laissé se servir un whisky dans mon bar personnel et j’ai trinqué avec lui. Nous avons enchaîné deux autres verres, puis il a été l’heure de rentrer : le dossier était terminé.

Nous avons décidé de partager un taxi. Assise près de lui, enivrée par l’alcool et sa présence troublante, je l’ai laissé passer sa main sur ma cuisse. Puis remonter peu à peu. Puis glisser ses doigts sous ma robe et dans mon collant, à la recherche de mon clitoris. Le chauffeur était concentré sur la route, et moi, je perdais la tête sous ses caresses interdites.

Je me suis retrouvée chez Cyril, nue sur son lit, le souffle court. Il m’avait fait perdre tous mes moyens dès l’ascenseur, me murmurant des paroles torrides à l’oreille, faisant entrer ses doigts agiles en moi. J’étais tellement sans volonté que quand il m’a tendu une combinaison en résille, j’ai simplement hoché la tête et murmuré : « Retourne-toi s’il te plaît. » J’ai enfilé la tenue. Elle me moulait de partout, libérant simplement ma chatte et mes seins. D’un coup, je me suis sentie comme une autre femme, entièrement libérée de ses inhibitions mais aussi complètement soumise aux désirs de son nouvel amant.

Cyril m’a tout fait. Je me suis fait lécher, titiller, pincer, retourner, baiser par tous les trous. Après avoir défoncé ma chatte, il m’a obligée à sucer sa queue trempée de mouille, puis l’a plantée dans mon cul après m’avoir longuement doigté par-derrière. J’étais comme folle, chacun de ses gestes m’arrachant des hurlements de plaisir et de douleur mélangés.

Pour m’achever, il m’a mise entièrement nue et est allé chercher un collier en cuir dans sa table de nuit. Combien de femmes l’avaient porté ? Qui était la dernière qu’il avait soumise à son insatiable désir ?
Je ne le saurai sans doute jamais.

Je l’ai laissé me passer le ras-du-cou, serrant ma gorge et murmurant des paroles humiliantes qui me mettaient la vulve en feu. Je l’ai sucé à nouveau jusqu’à ne plus avoir une goutte de salive dans la bouche, demandant grâce quand il tirait trop fort sur le collier. Je repoussais des limites que je pensais totalement infranchissables…

Épuisée, j’ai fini par implorer qu’il arrête. Cyril m’a regardée avec un air de défi et a fait un nouvel aller-retour dans ma gorge, puis s’est retiré d’un coup. Il a giclé en plein sur ma figure en m’insultant de tous les noms et j’ai ressenti la plus grande satisfaction de ma vie.

Cette nuit hallucinante a eu lieu il y a un peu moins d’un mois. Je ne sais pas si je dois en reparler à Cyril mais plus les jours passent et plus je ressens au fond de moi l’envie de recommencer. Lui me regarde toujours avec cet œil sûr de lui. Il est confiant : il sait que je ne vais pas pouvoir lui résister longtemps.

(Photo à la une : Getty Images)

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