Double pénétration au boulot !

La rédaction 4 mai 2020

Jessica, 30 ans

Bonjour les interstron.ruistes,

Je m’appelle Jessica, j’ai pile trente ans depuis trois jours et je suis une femme qui assume sa sexualité depuis fort longtemps. Une sexualité libre, sans tabous, intense et multiple. J’aime varier d’amants, non pas que je veuille scorer à tous prix, non, juste parce que j’aime la diversité. En plus, il faut être honnête, avant de trouver un bon coup, il faut en essayer beaucoup qui se révèlent souvent décevants. Quand l’alchimie n’est pas au rendez-vous entre deux corps, à quoi bon insister ?

Juste avant le confinement nous sous sommes chauffé avec un gars de ma boite, Pierre. Un grand type baraqué, des yeux verts trop craquant et un humour fracassant. Il bosse à la compta et moi au marketing. Nous n’avons pas forcément l’occasion de nous voir mais nous nous sommes retrouvés plusieurs fois en bas pour une pause clope, charmant il m’offrait toujours un café et un soir de grève de la RATP, il m’a proposé de me déposer chez moi. J’ai accepté avec joie en lui disant que, s’il était libre, il pourrait rester dîner à la maison. L’affaire était entendue, nous sommes remontés travailler et, honnêtement, je n’y ai pas plus pensé que ça durant l’après-midi. Le boulot était dense, mon boss était sur mon dos pour que mon équipe rende un projet le soir même, autant vous dire que ça chauffait.

Dix-huit heures a enfin sonné et je me suis échappé de mon poste de travail. Arrivé à l’ascenseur je me suis rappelé de la proposition de Pierre qui m’était totalement sortie de la tête, j’ai donc fait un stop à l’étage du dessous. Pierre bavardait avec une grande blonde que j’avais aperçu au restaurant d’entreprise. Mignonne et surdiplômée, je ne suis pas tourné nana question sexe mais quand je n’ai rien d’autre à me mettre sous la dent … et elle je l’aurais bien croquée ! Elle avait, entre-autre, une paire de jambe à la Adriana Karembeu et des seins qui semblaient défier toutes les lois de Newton !

Mais Pierre m’a vu, il a fait la bise à la belle crinière dorée et s’est dirigé vers moi. Il m’a refait la bise comme si on ne s’était pas vu dans l’après-midi et j’ai bien senti, cette fois, qu’il se rapprochait nettement de la commissure de mes lèvres. Il était mignon, sentait bon un parfum assez poudré, pourquoi pas me suis-je dit ?

Nous nous sommes glissés dans la cabine, direction le parking pour récupérer sa voiture. Une grosse berline allemande nous attendait. Devant mon étonnement (il devait percevoir bon an mal an dans les deux mille cinq cent euros par mois) Pierre m’a expliqué qu’il avait réussi quelques beaux coups en bourse et que la voiture avait été son bonus à lui. Il m’a devancé pour m’ouvrir la portière et au lieu de m’engouffrer dans l’habitacle, je me suis blottie contre lui et j’ai plaqué mes lèvres ouvertes sur sa bouche. L’instant de surprise passé, il m’a roulé une pelle d’enfer et je lui ai mis la main directement au paquet. Vérification faite, il avait une grosse voiture mais ça n’était pas pour compenser la petitesse de son appareil génital. Monsieur était même, visiblement, plutôt gâté par la nature !

Pierre a refermé la portière avant et a ouvert celle donnant sur l’arrière de la bagnole, je m’y suis jetée la tête en avant, ce qui a eu pour effet de faire remonter ma robe légère et d’offrir à Pierre une vue imprenable sur mon fessier sportif et mon string blanc.

Il m’a suivi et a refermé la portière dans un bruit sourd et mat, les vitre étaient fumée de sorte que nous étions un peu dissimulés à la vue des regards extérieurs.

Il m’a dit « Tu sais qu’il y a des caméras de surveillance un peu partout ici ? »

Je lui ai répondu que tant mieux et c’est vrai, mon côté exhib trouvait que c’était encore plus excitant. Je n’ai pas été déçue !

Pierre a soulevé ma robe et je me suis retrouvée seins nus et en string sur les sièges en cuir, il bandait comme un taureau le petit salaud. J’ai baissé le zip de son pantalon et j’ai galéré à tirer sur le coton du slip pour dégager son mandrin. La vache ! j’en ai vue des queues mais celle-là était hors catégorie, hors norme même. Je n’avais jamais vu de gland « champignon », très écrasé et très large au niveau de la couronne, ce qui lui conférait un diamètre impressionnant, Pierre était en partie décalotté, son mât ne sortait qu’en partie de sa braguette et déjà quinze bons centimètres émergeaient tel un périscope ! Ça promettait !

Je me suis penchée pour le sucer, le petit salaud avait dû espérer qu’il se passerait quelque chose entre nous (à moins que ce ne soit la blonde qui l’ait excité avant) car son fruit était déjà visqueux de présperme et l’intérieur de son boxer noir portaient ces traces d’escargots caractéristiques du mec qui a mouillé abondamment sous l’effet d’une forte excitation sexuelle. J’ai pris en bouche tout ce que je pouvais en baissant tout le reste du tissus qui me gênait. Sa queue était démesurée mais je parvenais à mettre en œuvre ma science de la fellation, lui avait fait glisser la ficelle de mon string sur ma fesse et fouraillait de plusieurs doigts gaiement entre mes cuisses écartées. Il me doigtait avec dextérité, alternant pénétration avec un puis deux doigts puis ramenant ma mouille sur ma fente afin de branler mon clito qui ne demandait que ça. De mon côté j’ai gobé ses belles couilles légèrement duveteuses comme on sucerait des litchis, je les recrachais ensuite, pleines de salives qui me permettait de le branler sur toute la longueur de sa hampe.

Mais j’avais envie qu’il me prenne et, honnêtement, entre le parking et la voiture, on a déjà vu plus confortable. Mais l’excitation était trop forte, je voulais qu’il me baise. L’habitacle sentait fort ma chatte de brune, la transpiration de la journée, je sens fort très vite malgré mes douches quotidiennes et mon déo. Mais j’ai remarqué que ces odeurs animales, bien maîtrisées, les « odeurs du jour » comme je les appelle, excite fortement les mâles. On a beau dire que non, moi je suis sûr qu’on sent les phéromones comme les fourmis ou les félins !

Enfin, phéromones ou pas, Pierre était dingue de mes parfums intimes, il m’a basculé et m’a léché comme un esquimau ! Il m’a embrassé, m’a sniffé les dessous de bras et tandis qu’il se livrait à ses reniflements j’ai senti sa queue grossir encore contre ma cuisse. Puis il m’a léché la chatte comme un fou, se barbouillant tout le visage avec ma mouille abondante. Mais j’avais envie de jouir de sa grosse bite, je lui ai demandé de me prendre. Il s’est allongé sur le dos et je me suis empalé sur son pénis érigé en lui faisant dos, lui m’écartait les fesses et je le sentais lorgner sur mon petit trou.

Il m’a dit que j’étais belle, j’ai compris le message et je me suis moi-même doigté l’anus pour lui faire comprendre que cette voie-là était aussi disponible. Il ne se l’ai pas fait dire deux fois et à investi mon trou de balle dans lequel il a planté son pouce.

Et là je me suis figé, un type était sorti de nulle part et nous matait d’un air réprobateur à travers la buée qui avait commencé à nimber les vitres.

Pierre a penché la tête ! Il a fait un petit signe au type ! J’avais croisé les mains sur ma poitrine pour dissimuler mes seins, un peu tard.

« C’est Momo, le gardien, il a dû voir un truc louche sur ses écrans de contrôle … en tout cas il a l’air content de te voir … »

La voix de Pierre était coquine, je ne sais pas s’ils étaient de mèche ces deux-là mais j’ai décidé de tourner la situation à mon avantage. J’ai appuyé sur la commande des vitres et tel un rideau de thêatre le rectangle de verre s’est escamoté dans la portière. J’ai fait un signe « approche-toi » avec mon index que je repliais vers moi. Le fameux Momo s’est approché, taille moyenne, maghrébin à n’en pas douter, de belles mains fines. Il s’est approché et j’ai baissé sa braguette comme à Pierre tantôt. Il bandait déjà quand j’ai sorti son braquemard, totalement circoncis son gland sombre ressemblait à un casque parfait, j’ai refermé directement mes lèvres dessus et je me suis mis à le sucer tandis que Pierre reprenait ses pénétrations régulières dans mon con et dans mon cul. J’ai malaxé les couilles de Momo et j’ai commencé à le branler avec vigueur tout en suçant son gland et j’ai senti Pierre, sous et derrière moi, se contorsionner afin de remplacer son pouce par son pénis. J’ai soulevé mes hanches, j’ai craché un peu de salive dans ma main et je me suis lubrifié le petit trou, il a pointé son gland à l’orée froncée de mon puits serré, je me suis laissé choir lentement, introduisant ce pieu extraordinaire dans mon anale conduit.

« Vas-y, encule-moi bien ! » lui ai-je lancé. C’en était trop pour le pauvre Momo qui a choppé mes cheveux avec force, il m’a annoncé qu’il allait décharger et j’ai vu à son regard suppliant qu’il aimerait …

J’ai avancé la tête et j’ai pris sa bite tout au fond de ma gorges, à m’en étouffer, j’ai senti les contractions pré éjaculatoires entre mes lèvres puis un flot de sperme a fusé sur mon palais, emplissant ma bouche d’une purée épaisse et très salée. J’ai fait tout mon possible mais j’ai été obligée d’en recracher une bonne partie tant son sperme était en quantité ! Sa crème expulsée de ma bouche est venu couler sur la belle carrosserie noir métallisée de Pierre, laissant une longue traînée blanchâtre verticale. Momo s’est vite renfroqué et nous a dit de nous dépêcher de finir. J’ai accentué la pression de mon trou du cul sur la queue de Pierre qui a fini par exploser au fond de mon sphincter serré. Je me suis dégagée comme j’ai pu, j’avais un début de crampe, l’intérieur de la voiture était un véritable sauna qui sentait l’écurie, Pierre s’est jeté entre mes cuisses et m’a littéralement bouffé la chatte ! Le cul ! Léchant son propre foutre au passage ! La sauvagerie de la technique m’a rendu folle et j’ai rendu les armes très vite en me mordant les lèvres tant c’était fort.

Nous nous sommes remis à peu près en tenu acceptable, moi sans culotte, lui du sperme et de la mouille partout sur le visage. Il m’a ramenée chez moi en hâte et … il est resté pour la soirée, je vous garantis que nous n’avons pas fait que souper.

Depuis j’ai appris que Monsieur était un bourreau, si ce n’est des cœurs de la boîte, du moins des culs ! Et nous avons un plan à trois prévu avec lui et la blonde dans une semaine ! Pile pour le dé con finement !

(Photo à la une : Getty Images)

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