Envie pressante

La rédaction 21 juillet 2019

Annie, 39 ans, Paris.

Envie pressante

Récemment, dans la clinique où je travaille, nous avons admis un accidenté du travail. Il s’était gravement brûlé les deux mains. Je me suis occupée de lui. Ses bandages devaient être régulièrement changés. Bien vite, j’ai senti qu’il se passait quelque chose entre nous. C’était mon genre de mec ! Grand, brun, la peau mate, le torse poilu, il avait tout pour me faire craquer.

Un après-midi où je me trouvais dans sa chambre, mon patient m’a fait comprendre qu’il avait un besoin pressant. Mais, avec les deux mains bandées, pas facile de faire pipi tout seul ! Je n’ai pas su résister à sa demande, d’autant que la poche placée sur son sexe était déjà pleine. Je l’ai conduit vers les toilettes. À ce moment-là, j’ai senti grandir en moi une excitation absolument incroyable. Une fois dans les WC, j’ai fermé la porte à clé, au cas où une collègue viendrait à entrer dans la chambre.

Contrairement à moi, l’homme semblait gêné. J’ai glissé la main à l’intérieur de son pyjama, et j’ai eu la surprise de sentir une tige énorme. Lorsque j’ai sorti l’engin, je n’en croyais pas mes yeux. Au creux de mes paumes, la belle bite s’est mise à grossir. Je me demandais si cela allait s’arrêter un jour ! Mon blessé était hospitalisé depuis une semaine et, avec ses deux mains bandées, il n’avait pu se satisfaire. Son gland était bleu. J’ai commencé à faire coulisser ma main sur toute la longueur de son sexe. L’homme n’a pu retenir un gémissement de plaisir. Jamais je n’avais eu en main un tel outil et je regardais fixement ce pieu d’une largeur impressionnante.

Au bout de quelques secondes, je me suis installée sur la cuvette des toilettes et j’ai commencé à laper ce morceau de chair qui pointait devant ma bouche. Je suis une bonne suceuse, mais je dois avouer que là, j’ai eu toutes les peines du monde à faire entrer son énorme gland dans ma bouche. Mon blessé me disait des mots dans sa langue natale. Je ne comprenais pas, mais je devinais le plaisir qu’il prenait. J’ai défait mon chemisier afin qu’il puisse profiter de la vue de mon imposante poitrine et, de ma main libre, j’ai enfoui mes doigts dans ma culotte pour me caresser.
Je me suis amusée à lécher ses grosses couilles poilues et remplies de foutre. Les mouvements de mes doigts sur mon clitoris se sont accélérés. Ma bouche suçait avidement cette queue où déjà perlait un avant-goût de semence.

J’ai joui, deux doigts bien plantés au fond de ma chatte, alors que mon patient, dans un dernier coup de reins, se vidait dans ma bouche. Plusieurs jets épais et tièdes sont venus frapper le fond de ma gorge. J’ai cru m’étouffer tant la quantité était impressionnante. Ne pouvant tout avaler, j’ai recraché le trop plein dans l’évier et j’ai remis le pantalon de mon bel étalon dont, visiblement, l’envie d’uriner s’était dissipée.
Il a quitté la clinique deux jours plus tard. Je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de le revoir. J’aurais pourtant été heureuse de pouvoir accueillir son gros dard au fond de ma chatte !

(Image à la une : Getty Images)

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« J’ai ouvert la bouche et j’ai saisi son pénis entre mes lèvres. Prenant soin de ne pas le mordre, j’ai entamé un va-et-vient. Etonnamment, j’ai pris du plaisir à sucer cette bite inconnue. » Corinne.

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« Le miracle a eu lieu, et j’ai craqué devant ce sexe en érection qui devait mesurer à tout casser 5 centimètres. Dur, son gland est devenu violet et luisant, un liquide clair et gluant sortait de l’urètre. » Laura.

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