Notre jouet sexuel

La rédaction 22 août 2021

Une lumière nacrée s’est posée sur ses fesses. Elle a de belles fesses. Que dis-je !? Elle a un petit cul d’enfer ! Ferme, haut, doux comme du miel. Elle dort paisiblement à mes côtés et dans ce halo matinal, son fessier est juste éclairé par un rai opportun. Je ne peux en détacher mon regard et évidemment je bande, je bande à en avoir mal. Je dégage le drap léger et je caresse mon membre du bout des doigts en n’osant toucher le prose somptueux qui s’offre à moi en toute ingénuité.

La porte de notre chambre est ouverte, j’entends le clapotis de vagues de la méditerranée juste en bas. Il est un peu plus de sept heures et demi et la maisonnée est paisible. Pas un bruit. Je me lève pour attraper mon téléphone avec un luxe de précaution pour ne pas réveiller Eve, ma compagne. Ma bite me tire tellement mon érection est forte, je la vois en reflet dans le miroir, mon épilation intégrale lui donne plus de volume et surtout de longueur. Ah ! Les hommes et la taille de leur sexe ! Je suis petitement membré à la vérité, mais Eve et mes autres compagnes avant elle s’en sont toujours satisfaites. Elle est courte et un peu trapue mais surtout vaillante et sans faille. Voici mon histoire porno.

Pris la main dans le sac

Je regagne notre couche et je prends des photos d’une main tout en continuant de me caresser de l’autre. Eve est allongée sur le côté, elle laisse ainsi un de ses seins au téton saillant libre. Je zoome dessus, j’adore ses aréoles sombres avec, planté en leur centre, ces deux dragées toujours dressées.

Je me rallonge, le matelas bouge légèrement et Eve « grogne » dans son sommeil. Je ne résiste plus et je commence à me masturber. Mon gland perle déjà, signe de mon excitation déjà bien avancée. J’aime sentir cette huile venir lubrifier mon fruit et aider ainsi mon prépuce dans ses va-et-vient. Je suis bien, je sais qu’Eve ne m’en voudra pas de m’être soulagé en catimini. Notre libido estivale, comme toujours, est au zénith et nous ferons l’amour lors d’une sieste crapuleuse cet après-midi.

Me revient en mémoire notre conversation d’hier soir, avec Babeth, sa cousine. Je ne sais pas pourquoi, mais mes pensées pérégrinent souvent en début de masturbation. Pour le coup, je sais très bien pourquoi je repense à cet échange. Les verres de Jet 27 faisant leur petit effet, les filles se sont laissées aller à des confidences.

En fait, elles sont toutes deux issues de couples recomposés et ne sont cousines que de « reconstruction familiale », néanmoins elles se sont connues très jeunes. Lorsqu’elles ont été adolescentes, elles ont flirté avec les mêmes garçons, elles se sont relaté leurs premiers émois et évidemment, ce qui devait arriver est arrivé. Une nuit, blottie l’une contre l’autre sous la même couette elles se sont touchées chacune l’une à côté de l’autre, puis ont sauté le pas et se sont masturbée mutuellement jusqu’à s’offrir leur langue pour des cunnilingus libérateurs. Autant vous dire que ma queue a fait des bons et bien que je sache Eve totalement bisexuelle, l’imaginer avec Babeth m’a retourné les sangs. Babeth … petit bout de femme drôle, dynamique, très blonde avec des seins voluptueux pour ne pas dire impériaux ! Pas de haut lors de nos baignades et de nos jeux aquatiques, je l’ai, de ce fait, regardée d’une autre manière après ces confidences vespérales.

Mais revenons à mes caresses, mon sexe vibre entre mes mains lorsque je vois la tête de Babeth se dessiner dans l’encadrure de la porte ! Je veux cacher ma queue mais, étant allongé sur les draps, impossible de dissimuler ma bandaison. Elle est entièrement nue et se glisse dans notre chambre sans un bruit, un doigt sur les lèvres pour m’intimer le silence.

Une délicieuse mise en bouche

Je suis comme un lapin pris dans les phares d’une voiture lui venant droit dessus ! Ma main continue ses gestes répétitifs, maintenant qu’on en est là … pourquoi stopper ? Mes yeux ne peuvent se détacher des pastilles brunes posées sur les globes volumineux de Babeth. Cette dernière ne se dirige pas vers moi, à mon grand soulagement, je suis libertin mais d’une fidélité de labrador. Elle s’assoit sur le rebord du lit, tout contre sa « cousine » et parsème ses épaules de doux baisers muets.

Elle glisse lentement sur les seins, Eve se tourne et s’allonge sur le dos, sa poitrine bronzée pointe vers le plafond, je vois ses bouts foncés trembler sous les coups de langue de Babeth. Ma main saisie ma queue, cette fois à pleine paume, j’agite plus énergiquement mon petit mandrin. Le lit est un peu secoué et Eve, dans un demi-sommeil, réalise que je ne peux être derrière elle en train de me branler et devant en train de lui sucer les tétons. Elle ouvre les yeux et saisi en un instant la situation. Le temps s’arrête quelques instants, quelle va être sa réaction ? Va-t-elle repousser les saphiques avances de Babeth ? Se retourner contre moi en pensant à un guet-apens ?

Rien de tout cela, elle sourit, encore dans sa phase de réveil et tend les lèvres à sa cousine tout en lui caressant les seins. Elles sont belles à mourir, Babeth, étant penchée, offre sa poitrine dans toute sa splendeur, Eve chasse ma main et emprisonne ma queue dans la sienne.

Je vis un rêve, ma compagne dont je suis fou amoureux est en train d’embrasser Babeth qui, je l’avoue bien humblement, me laisse tout sauf indifférent. Les rôles se précisent lentement, Babeth est plutôt du genre soumis tandis qu’Eve prend la direction des opérations, c’est drôle car entre elle et moi c’est tout à fait l’inverse, elle aime que je sois aux commandes sexuellement.

Je la vois pincer les bouts de seins de sa « cousine » assez fortement, aussitôt cette dernière gémit et lui dit à quel point cela lui avait manqué et comme c’est bon. Elle demande à Eve si elle peut venir à quatre pattes entre mes jambes pour me sucer, qu’elle a envie de ma queue. Je suis interdit, Eve la guide vers moi et lui enfourne ma bite entre les lèvres. Pulpeuses et épaisses, elles m’engloutissent totalement. Eve me regarde dans les yeux, un immense sourire illumine son visage bronzé, elle descend du lit et se glisse derrière Babeth.

« Tu sais que je t’aime bien ouverte et écartée non ?! » et une claque s’abat sur les fesses blanches. J’en ai mal pour ma suceuse mais bien loin de la faire se plaindre, elle redouble d’efforts dans sa fellation et Eve conclut, là-bas au bout du lit « Ah mais je vois que les fessées te font toujours mouiller à fond… », une seconde claque fait vibrer le derrière charnu et les genoux s’écartèlent « Ah, voilà qui est mieux ! ».

Le silence s’installe, enfin, le silence, disons que nous ne parlons pas. Je gémis sous les aspirations de Babeth, qui couine sous les coups de langue d’Eve qui fouraille tellement la chatte offerte que les bruits de succions emplissent la pièce.

Un point d’honneur à la jouissance

Je sens Babeth secouée d’avant en arrière, elle stoppe sa pipe divine et je vois son visage se déformer de plaisir. Eve m’appelle à son chevet. « Viens-voir mon amour … viens voir comme elle s’ouvre cette petite garce lubrique ! »

À ces mots, je vois le regard de la cousine défaillir un peu plus, je me tortille pour m’extraire du lit et je m’accroupis à côté de ma compagne. Sa main droite a disparu, seul son poignet émerge de la vulve béante, elle est en train de fister Babeth. Doucement, avec un petit mouvement de rotation, elle se dégage et m’invite à l’imiter. Je n’ai jamais fait cela avant. Eve me guide, je joins les doigts et les allonge pour donner à l’ensemble une forme de cône, Babeth mouille à un point qu’aucun lubrifiant n’est nécessaire, au passage le plus large de ma paume, elle pousse un cri, je vais pour me retirer mais Eve m’attrape le poignet et force la manœuvre, ça y est, je suis totalement à l’intérieur du vagin. C’est serré, chaud, onctueux. Je remue lentement et à chaque mouvement Babeth réagit, elle râle, elle feule, elle gémit, elle crie…

Eve m’encourage à y aller franchement… je m’enhardis et je… défonce, il n’y a pas d’autre mot, littéralement sa cousine qui finit par jouir dans un jaillissement irréel tant il est volumineux. Elle m’asperge, asperge Eve et noie littéralement l’extrémité de notre matelas. Sur le sol carrelé, un flaque se répand, cette eau de vie court le long des joints qui s’assombrissent en buvant le liquide surabondant.

Babeth est exsangue sur le lit, elle s’allonge sur le dos et Eve vient butiner ses lèvres tout en me demandant de la prendre en levrette. Je la baise comme elle aime, lui donnant de grandes fessées tout en lui assénant des coups de reins à en faire se fracasser le sommier puis, lorsque je la sens sur le point de basculer, lentement tout en glissant une main sur son clito. Le combo pénétration, caresses manuelles de sont bourgeon la fait venir en quelques secondes.

Je cesse tout mouvement, le temps pour Eve de profiter du plateau de son orgasme qui dure, qui dire qui dure… je sens l’étau de sa chatte se desserrer « Viens, viens me jouir dans la bouche en me doigtant le cul ou celui de Babeth, comme tu aimes mon amour ».

Je me mets debout, mes jambes flageolent tant l’effort a été rude. Je me branle d’une main tandis que de l’autre j’enfonce mes doigts dans les quatre orifices à ma disposition. Je viens comme une fusée, Eve plaque ses lèvres à mon gland, je sens fuser mon sperme et emplir la bouche de ma douce.

Je suis un peu surpris, voire déçu même, Eve, toujours avide d’avaler ma semence, le garde dans sa bouche mais… c’est pour mieux, d’une main sûre, ouvrir les lèvres de Babeth juste en dessous d’elle et laisser la liqueur d’albâtre couler en filet sur la langue de celle qui allait devenir pour tout l’été, notre jouet sexuel.

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