Rééducation gode

La rédaction 4 janvier 2023

J’exerce le merveilleux métier de sage-femme. À 31 ans, je travaille en libéral. Je me charge entre autres de la rééducation périnéale des jeunes mamans. Dans cette optique, j’utilise une méthode assez inhabituelle. Le périnée est un muscle situé entre l’anus et le vagin, et l’accouchement le soumet à rude épreuve. Pour le raffermir, chaque praticienne a ses exercices favoris. Pour ma part, je me sers d’un vibromasseur enveloppé d’un préservatif. D’abord surprises, mes patientes réagissent plutôt bien. Je leur explique que, bien que peu académique, ma méthode a fait ses preuves. Je m’appelle Eleanore et voici mon témoignage porno.

Une séance pas si habituelle

Le mois dernier, il m’est arrivé une drôle d’aventure. J’ai reçu une très jolie jeune femme de 22 ans. Je lui avais expliqué ma méthode au téléphone lorsque nous avons pris rendez-vous. Elle m’a regardée avec amusement enfiler la capote sur le gode. J’ai enfoncé doucement l’objet dans son vagin. Au bout de quelques instants, elle a fermé les yeux. Sa respiration est devenue plus forte et irrégulière. J’ai remarqué à travers son débardeur mauve que la pointe de ses seins se dressait. J’ai essayé de ne pas faire attention à ça mais, au fil des minutes, sa respiration s’est transformée en véritables soupirs ! Entre deux, elle s’excusait d’une voix haletante. Je la rassurais. J’ai hésité à interrompre la séance mais j’avoue que je me sentais moi aussi troublée.

Quand elle m’a pris la main je n’ai pas su quoi faire. Son bassin s’agitait. J’éprouvais de l’excitation. La jeune femme m’a caressé la cuisse. Sa main est remontée vers mes fesses. Elle a bredouillé quelque chose que je n’ai pas compris. Je ne parvenais plus à penser. Je l’ai laissé faire. Mes gestes sont devenus de moins en moins médicaux. Elle a glissé ses doigts sous ma culotte pour caresser l’entrée de mon vagin. J’étais humide et ouverte. Je me suis laissée aller à ce désir inhabituel. Mes gestes se sont faits sexuels. Je l’ai godée. Je lui faisais l’amour avec le gode. Ses doigts me pénétraient aussi bien le sexe que l’anus. Nous gémissions et soupirions ensemble.

Un plaisir nouveau

Nous avons ensuite échangé nos rôles. Elle m’a pris le gode des mains et me l’a enfoncé entre les cuisses, il était chaud et gluant. Je me tenais debout. Elle était allongée sur la table de travail. La jeune maman me pénétrait avec ardeur. Je m’aventurais timidement, du bout de la langue, sur son mont de Vénus. Au bout d’un moment, j’ai senti son clitoris gonfler et l’intérieur de sa cavité se contracter violemment sous mes baisers et les caresses de ma langue. Elle allait jouir. Elle a griffé l’intérieur de ma cuisse et a eu un orgasme violent, long et très bruyant. Je me suis concentrée sur les frémissements de son sexe pour accompagner et augmenter son plaisir. Le mien a été coupé pendant un instant, elle était trop fébrile pour faire autre chose que simplement subir l’orgasme.

Une fois remise, elle m’a allongée sur la table de travail. Ça m’a fait une drôle d’impression. Elle m’a léchée et godée en même temps. Elle se partageait entre ma vulve et mon petit trou. Ses mains pressaient sensuellement mes seins. Tout mon corps réagissait à ses caresses. Je vibrais de partout. Elle semblait savoir à l’avance ce qui me faisait frémir. Elle a prolongé ce délice un long moment. Elle m’a finalement fait jouir par-devant avec sa langue et par-derrière avec le gode, enfoncé aussi loin que possible dans mon anus. J’ai lâché un important jet de mouille dans sa bouche. Mon plaisir paraissait sans fin ! Mon coeur a battu la chamade un long moment.

Après, nous avons discuté. Pour des raisons déontologiques, je l’ai envoyée vers une consoeur. Mais elle m’a promis qu’elle m’appellerait. Hélas, elle ne l’a jamais fait, par timidité peut-être. Moi non plus, je n’ai pas osé la recontacter. Mais je pense souvent à elle et à cette expérience…


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru